Victor Hugo Le Manteau Imperial

La révolution littéraire préparée au xviiie siècle, annoncée par Chateaubriand et Germaine de Staël, couva encore assez longtemps. Le livre de Germaine de Staël en particulier demeura pendant plusieurs années enseveli par les soins de la police impériale. Tant que dura l'Empire, la littérature fut officielle, comme toutes les manifestations d'opinion. Il semblait que la poésie classique fût sous la haute protection du gouvernement, et que l'orthodoxie fît partie de la fidélité d'un bon citoyen.

| |- Musset, « A George Sand », Poésies posthumes |Dissertation : « Ah, insensé, qui crois que je ne suis pas toi ! » a écrit Victor Hugo dans la préface des Contemplations. Dans quelle mesure | |- Verlaine, « Ô triste, triste était mon âme », Romances sans paroles |l’expérience personnelle des poètes peut-elle concerner le lecteur ?

se rallier à l’armée (représentée par le rouge) ou alors faire preuve de piété, de dévotion et opter pour l’Eglise (le noir) d’où le titre évocateur. Defoura. M nous plonge dans la société féodale de Moyen Age à travers Notre Dame de Paris de Victor Hugo. C’est une histoire d’amour que nous raconte l’auteur qui a pour cadre les églises et plus particulièrement la cathédrale.Defoura nous a fait découvrir le décor gothique des églises, la religion qui tenait une grande place, et l’aspect architectural

l’engagement de l’auteur. AXE I. La littérature dans l’Histoire. 1. Les écrivains engagés. Dans l’histoire de la littérature, nombreux sont les écrivains qui mettent leur plume au service de leurs idées. Exemples : -Victor Hugo. Dans sa Lettre à Hetzel, Victor Hugo propose de « réveiller le peuple ». Les poètes, les écrivains, les artistes en général, lui paraissent pouvoir remplir cette mission. -Beaucoup d’hommes de lettres, surtout à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle, ont contribué

Verlaine, « Melancholia », Mon rêve familier, in Poèmes saturniens - Verlaine, « Eaux fortes», Promenade sentimentale, Poèmes saturniens - Verlaine, « Eaux fortes», Monsieur Prud’Homme, Poèmes saturniens NATHAN Interro des lycées 2008 (STG – avril 2007) - Hugo, Les Contemplations, IV - Eluard, « Sept poèmes d’amour en guerre », Au rendez-vous allemand - Cadou, « Hélène ou le règne végétal », Poésie la vie entière - Tardieu, « Formeries », L’Accent et l’accent aigu HACHETTE Annales Bac STG 2009 HACHETTE Annales

Vergne • 3 octobre 2000 : Vincennes, Théâtre de la Tempête (reprise le 15 janvier 2002 : Théâtre des Treize Vents Montpellier) Luc de Goustine (traduction), Philippe Adrien (mise en scène), Gérard Didier (scénographie), Ghédalia Tazartès (musique), Victor Garrivier (Lear), Jean-Pol Dubois (Kent), Wolfgang Kleinertz (Gloucester), Olivier Constant (Edgar), Catherine Rétoré (Goneril), Sylvie Debrun (Regane), Natacha Mircovich (Cordélia), Jean-François Vlerick, Dominik Bernard, Bruno Blairet, Éric Challier

Verlaine, « Melancholia », Mon rêve familier, in Poèmes saturniens - Verlaine, « Eaux fortes», Promenade sentimentale, Poèmes saturniens - Verlaine, « Eaux fortes», Monsieur Prud’Homme, Poèmes saturniens NATHAN Interro des lycées 2008 (STG – avril 2007) - Hugo, Les Contemplations, IV - Eluard, « Sept poèmes d’amour en guerre », Au rendez-vous allemand - Cadou, « Hélène ou le règne végétal », Poésie la vie entière - Tardieu, « Formeries », L’Accent et l’accent aigu HACHETTE Annales Bac STG 2009 HACHETTE Annales

Mémorial de Sainte-Hélène tente de présenter Napoléon au parlement britannique dans une pétition rédigée en 18183. Élie Faure, dans son ouvrage Napoléon, qui a inspiré Abel Gance, le compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï et de bien d'autres encore. Par ailleurs, un courant politique

l'Océan profond Des Germes, des Fœtus, des Embryons, au fond De l'immense Creuset d'où la Mère-Nature Le ressuscitera, vivante créature, Pour aimer dans la rose, et croître dans les blés?... Nous ne pouvons savoir! - Nous sommes accablés D'un manteau d'ignorance et d'étroites chimères! Singes d'hommes tombés de la vulve des mères, Notre pâle raison nous cache l'infini! Nous voulons regarder : - le Doute nous punit! Le doute, morne oiseau, nous frappe de son aile... - Et l'horizon s'enfuit

voilé. Il porte le grand collier de la Légion d’honneur, et, tout comme Louis-Philippe, l’écharpe de moire rouge de cet ordre barre sa poitrine. Sur ses épaules, drapé autour de lui, le manteau de pourpre doublé d’hermine. De la main droite dans laquelle il �ent fermement la main de jus�ce, l’empereur s’appuie sur une table où reposent la couronne fermée et le sceptre. Dans