Victor Hugo Le Soleil S Est Couché

Victor Hugo - Les Contemplations - Pasteurs et troupeaux A. Analyse du texte Effectivement, le texte est un texte difficile pour l'aborder sous la forme d'un commentaire composé. A quoi est due cette difficulté ? Essentiellement à l'entrelacement d'idées, de thèmes différents et qui semble se faire écho et traduire quelque chose de perceptible mais de difficilement reconnaissable. Par exemple, le premier vers est agréable "Le vallon où je vais tous les jours est charmant" La scène

ÉTUDE D’UNE ŒUVRE INTÉGRALE : Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo Séance 1. Entrée dans le roman. Dominante : lecture. Objectif : comparer les sentiments du narrateur pour voir dans quelle mesure ils ont évolué. Supports : chapitre premier – dernier chapitre. I – Les sentiments du narrateur au début du roman - 1 - L’énonciation. Qui parle ? A qui ? Où ? Quand ? De quoi ? Dans quel(s) but(s) ? 2 - L’écriture au service du récit (construction des phrases, types

ÉTUDE D’UNE ŒUVRE INTÉGRALE : Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo Séance 1. Entrée dans le roman. Dominante : lecture. Objectif : comparer les sentiments du narrateur pour voir dans quelle mesure ils ont évolué. Supports : chapitre premier – dernier chapitre. I – Les sentiments du narrateur au début du roman - 1 - L’énonciation. Qui parle ? A qui ? Où ? Quand ? De quoi ? Dans quel(s) but(s) ? 2 - L’écriture au service du récit (construction des phrases, types de phrases, temps

je prendrai mon repos ; Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour, et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain ; Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. VICTOR HUGO (1802 – 1885) Soleils couchants Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées; Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ; Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ; Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront

tout de moi. Prends cette rose et ensemble reçois Dedans ton sein mon coeur qui n'a point d'ailes: Il est constant et cent plaies cruelles N'ont empêché qu'il ne gardât sa foi. La rose et moi différons d'une chose: Un Soleil voit naître et mourir la rose, Mille Soleils ont vu naître m'amour, Dont l'action jamais ne se repose. Que plût à Dieu que telle amour, enclose, Comme une fleur, ne m'eut duré qu'un jour. MAÎTRESSE, EMBRASSE-MOI... Maîtresse, embrasse-moi, baise-moi, serre-moi

1. Contexte historique : La révolution de 1848 marqua un tournant dans la vie de Victor Hugo, qui commença alors une carrière politique. Le 2 décembre 1851, le poète tenta d’organiser la résistance au coup d’Etat. Puis il dut partir et se réfugia à Bruxelles. Son opposition féroce à Napoléon III, qu’il appelait « Napoléon le Petit », le rendit très populaire. Rayé en 1859 de la liste des proscrits, il refusa de rentrer en France avant la chute du Second Empire. Installé à Jersey, puis à Guernesey

1829 (poème). * Alphonse de Lamartine : Graziella, 1852 (roman) ; Méditations poétiques, 1820 (poème). * Alfred de Vigny : Cinq-Mars, 1826 (roman) ; Poèmes antiques et modernes, 1826 (poème) ; Chatterton, 1835 (pièce de théâtre). * Victor Hugo : Les Misérables, 1862 (roman) ; Les Contemplations, 1838 (poème) ; Hernani, 1830 (pièce de théâtre). * Alfred de Musset : Confessions d’un enfant du siècle, 1836 (roman) ; Les Nuits, 1835-37 (poème) ; Spectacle dans un Fauteuil, 1832 (pièce

Tout à fait, oui. Moi je suis chargé de la neige, de la glace et du froid. Je ferai souffler la bise, sortir écharpes et gros manteaux des penderies… L’ETE Et moi donc, comme convenu, en tant qu’Eté, je ferai mûrir les blés, scintiller fort le soleil. Je chaufferai l’eau de la mer pour que les vacanciers puissent s’y baigner. Je tarirai les rivières et je créerai la canicule. Je peindrai le ciel tout en bleu… LE PRINTEMPS Reste maintenant à savoir dans quel ordre nous allons passer… Prems

et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueilllez dès aujourd’hui les roses de la vie. 4. Ennemi, Baudelaire (romantisme 19ème siècle) : Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j’ai touché l’automne des idées, Et qu’il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où

Victor HugoELLE AVAIT PRIS CE PLI (NOVEMBRE 1846)Auteur: Victor HugoNé en 1802, mort en 1885 (XIX)Grand romancier (ex: Les Misérables), grand poète (ex : recueil les Contemplations), grand homme politique (élu député sous la IIe République en 1848. Il a eu de nombreuses maîtresses jusqu'à un âge avancé. Il a eu des enfants dont sa fille Léopoldine qui meurt noyé accidentellement en 1843 (c'est le thème de son poème (ELLE AVAIT PRIS CE PLI)). Il sera enterré au Panthéon comme étant un héros de la