Vidame

lettre de M de Nemours où il a une liason avec une femme  ce qui la contrarie ainsi que lui puisque l'information circule dans toute la cour et risque de déshonorer et detruire la passion de Mme de Cleve.Alors une histoire est créer avec l'aide du Vidame de Chartres pour se justifier auprès de Mme de Clève et réussit a dissiper ses doutes et sa jalousie ,Mme de Clève retrouve alors la passion envers lui et decide de repartir en campagne malgrès les reproche de son mari qui ne la comprend pas.Elle

femmes) A) un portrait canonique (qui répond aux règles. Ici : les règles du portrait idéal) idéalisé - L’apparition à la Cour de Mademoiselle de Chartres suscite l’admiration et la surprise des courtisans, jamais nommés, et de son parent le Vidame de Chartres, d’où un lexique du regard «  yeux, regard »  important dans cette société du paraître. - Point de détails qui particulariseraient la jeune fille et mystère provisoire sur son identité. C’est une beauté canonique, forcément blonde au

beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle

une lettre égarée lui fait croire qu’il a une autre relation amoureuse. III. Troisième partie Le Vidame de Chartres, qui est l’oncle de la princesse de Clèves et l’ami de M. de Nemours est lui aussi très contrarié par cette lettre car c’est à lui que cette lettre appartient, et le fait qu'elle circule entre toutes les mains le contrarie énormément car il risque la colère de la reine. Le Vidame de Chartres souhaite que le duc de Nemours aille récupérer cette lettre comme étant la sienne, dans les

la princesse pense donc qu’elle fait partie des nombreuses passions de M. de Nemours, ses craintes vont augmenter lorsqu’elle apprend que Nemours reçoit une lettre de Mme. De Thémines étant destinée au vidame de chartres, mme. De Thémines montre son mécontentement vis-à-vis du comportement du vidame soit son infidelité, mais la princesse pense qu’il est sujet de Nemours (voir p113).Lorsque Mme de Clèves se retire à coulommiers et que M de Nemours l’apprend, il s’empresse de la rejoindre (p180 « il

une jeune princesse d’une beauté éblouissante et pleine de bonne manière. Son éduction, qui fut donné par sa mère, Mme de Chartres, l’avertis de tous les dangers d’amabilité et partage avec elle toutes les bonnes qualités qu’ils puissent exister. Le vidame de Chartres, son oncle, fut surpris de sa beauté et de son charme en la voyant arriver dans la Cour. Un jour, alors qu’elle se trouve par hasard dans une bijouterie, M. de Clèves qui entra par après, ne put s’empêcher de la regarder avec admiration

marque la signature de paix entre Henri II et le roi Philippe II d’Espagne. Les noces se voient célébrées par un considérable tournoi à Paris. Avant l’arrivée du duc d’Albe : une partie de jeu de paume (monsieur de Nemours/ le chevalier de Guise/ le vidame de Chartres/ Mme de Clèves). Chastelart prétend remettre à la dauphine une lettre de la maîtresse du duc de Nemours, tombée de sa poche lors du jeu de paume. Un signe de l’attachement de Mme de Clèves pour le duc de Nemours : elle eut une frayeur

qu'« elle était de la même maison que le vidame de Chartres » (lignes 3-4) et qu'elle porte le même nom que sa mère, Mme de Chartres. On en déduit que c'est la fille du vidame. Son père est mort jeune et sa mère la emmené en province pour pouvoir bien l'éduquer -La fin de l'extrait renvoie au début avec l'image stoppée de Mlle de Chartres qui rentre dans ce lieu, où tous les regards se portent sur elle, on peut le voir avec « lorsqu'elle arriva, le vidame alla au-devant d'elle » (lignes 25-26)

ne manque pas de réussir sa tâche et d’ainsi acquérir un grand pouvoir sur lui, et l’assurance de rester à la cour. Il en est de même pour le vidame de Chartres, qui grâce à sa liaison avec la reine Catherine de Médicis, se voit attribuer plus de pouvoir au sein de la société. D’ailleurs cette dernière ne se leurre pas sur les véritables motivations du vidame, elle lui dit même, que si une passion entre eux avait lieu, elle ne manquerait pas de grandir sa fortune. Quant à Anne de Boulen, elle, espère

désespoir. Elle regrette de n’avoir pas écouté sa mère, qui lui conseillait de quitter la cour. Elle songe encore à tout dire à un mari si généreux. La lettre, en fait, a été perdue par le vidame de Chartres (oncle de Mme de Clèves), qui cherche par tous les moyens à retrouver ce document compromettant. Le vidame conte à M. de Nemours son amour secret pour Mme de Thémines, auteur véritable de la lettre, et son engagement auprès de la reine Catherine de Médicis : celle-ci lui a proposé de devenir son