Vie Des Soldats Pendant La

0,6 mts. Courant: Expressionisme Autres : Otto Dix, avant de devenir peintre, était soldat. Il a participé dans la Première Guerre mondiale mais après avoir vécu cette guerre il décide de montrer ces souffrances et l’horreur de la guerre à travers de la peinture et c’est ce qu’il fait dans ce tableau. Analyse : -Sa composition est circulaire et se lit de gauche à droite. Cette forme montre le cycle de la vie ou les étapes de la guerre. -Il utilise des couleurs sombres, pour signaler aux spectateurs

combattante dans une guerre totale Pq peut on parler d’un changement de degré et de nature dans la violence ? INTRO Expérience combattante : condition de vie des soldats Guerre totale : -définie en 1918 par Léon Daudet et employé par gll Ludendorff - mobilise toutes les ressources de l’état (économique, industrielle, culturelle, homme, femme, enfants…) pendant une longue période à un degré qui n’avait jamais été atteint. - volonté d’anéantir l’ennemi -A l’échelle mondiale (empire coloniaux) « Dynamique de

civils ! Pendant la « Grande guerre », la vie du soldat au front a complètement changé. Elle n’était plus comme auparavant notamment à cause de l’industrialisation de la guerre. Les méthodes de guerre et les stratégies ont changés et ont créé la guerre d’usure et ses tranchées. Comment les soldats vivaient pendant la première guerre mondiale ? Nous allons voir tout d’abord voir la dureté des conditions de vies du soldat durant cette guerre des tranchées, puis nous parlerons du moral des soldats au plus

ETUDIER UNE ŒUVRE D’ART PRESENTATION DE L’OEUVRE TITRE DE L’ŒUVRE : « Initiales », A la vie à la mort AUTEUR (nom et éléments biographiques) : Paule du Bouchet est née, en 1951. Cette romancière aime situer ses histoires dans des cadres historiques précis, évoqués, avec soin : par exemple la France en 1914 (Le journal d’Adèle, 1998), la Pologne en 1939 (Chante Luna, 2005). DOMAINE ARTISTIQUE (arts de l’espace, arts du langage, etc.) : Arts du langage NATURE (peinture, sculpture, œuvre

Le cinéma et la guerre du Vietnam I le cinéma pendant la guerre Il y a eu pendant les 10 ans de guerre seulement deux films de fiction sur la guerre du Vietnam : le premier est devenu inconnu et a sombré dans l’oubli contrairement au second film que John Wayne a réalisé en 1968 : Les Bérets Verts. Les producteurs de Hollywood sont très prudent et ne finance aucun film pendant la guerre, John Wayne pourtant connu a ainsi dû trouver des fonds lui-même pour réaliser un film pourtant très patriote

avons choisi cette photographie car nous pensons qu’elle représente le thème que nous avons choisit, qui la vie dans les tranchées. Sur cette photo, on peut voir 2 soldats adossés à un mur, mangeant un morceau de pain. Durant la guerre, le pain était un repas très courant pour les soldats car il était relativement abordable et facile à manger. Malgré la monotonie de leur repas, les soldats n’avaient jamais faim. Transport du courrier Collection d'archives George-Metcalf MCG 19930012-740

 Captain America, aussi surnommé « Le Sentinel De La Liberté », s'appelle en fait « Steve Rogers ». Pendant la Seconde Guerre Mondiale, il est horrifié par les Nazis et cherche à rentrer dans l'armée, mais est réformé. Repéré pour son patriotisme, il participe au projet « Renaissance » mené par l'armée américaine qui souhaite créer le super soldat de la Liberté. Son costume reprend ouvertement les couleurs du drapeau américain. Les 13 bandes rouges et blanches (colonies 1776) et les étoiles symbolisant

de vies conséquance (physique et psychologique) Les soldats français avaient un uniforme bleu et un casque d’acier. Le front est constitué de plusieurs lignes de défenses creusées dans la terre, les tranchées, reliées entre elles par des boyaux d’accès.Il y avait plusieurs moyen de tuer l'énnemie il utilisaient pour se battre des fusils sur lesquelles était fixée une baïonnette, des mitrailleuses, des obus, des gaz asphyxiant .Les soldats vivent et meurent dans les tranchées, dans la boue, dans

millions de soldats français ont combattu. La guerre a constitué pour eux un véritable traumatisme, une perte de repères. La confrontation à la violence, à la mort et à la souffrance était quotidienne même si les temps de combat alternaient avec des périodes de repos voire d’ennui. La vie collective et l’éloignement des proches ont favorisé la solidarité mais ont réduit les moments d’intimité. Toutefois, les combattants qu’ils aient accepté ou subi la continuation de la guerre pendant plus de quatre

mon père, au 19 de la rue Gay-Lussac. Ma mère était morte quand j’avais six ans, après une grave maladie. Mon père était seul pour élever mon frère, Jacques, et moi. Cela était difficile car il devait nous cacher des soldats allemands. Je ne pouvais pas sortir beaucoup car si un soldat me voyait dans la rue ou où que se soit, il pouvait m’emmenait avec lui et je ne pourrais plus jamais revoir ma famille. Mon père avait une amie catholique, qui était aussi une cliente de la librairie, elle s’appelait