Vilains Bonshommes

En octobre 1871, Arthur Rimbaud dîne avec les Vilains Bonshommes et collabore à l’Album du Cercle Zutique. Le Parnasse l’acclame lorsqu’il dit son Bateau Ivre. Rimbaud encanaille Verlaine qui se met à boire. Ils s’adonnent à l’absinthe et leur liaison fait scandale. Début 1872, Verlaine se dispute violemment avec sa femme Mathilde. Elle le quitte une première fois pour se réfugier à Périgueux. En mars Rimbaud se montre très «Vilains Bonshommes» en blessant l’artiste Etienne Carjat avec une

poèmes. Verlaine, de dix ans son aîné, qui avait déjà Publié des recueils importants, s'enthousiasme et l'invite à Paris. À la fin septembre 1871, Rimbaud est logé chez les beaux-parents de Verlaine, puis en divers endroits. Aux dîners des « Vilains Bonshommes », il lit Le Bateau ivre - 100 alexandrins répartis en 25 quatrains - qui suscite l'admiration de tous et reste son plus célèbre poème. Avec Verlaine, il collabore aux réunions des zutistes, dirigées par Charles Cros, et à l'Album zutique

Paris vers le 15 septembre. Il est difficile de situer le début de leur relation épistolaire. Bien que brillant élève, Arthur Rimbaud ne retournera pas au collège. Il est présenté et très bien accueilli par ses pairs plus âgés, au dîner des « Vilains Bonshommes » le 30 septembre. Il y rencontre une part essentielle des grands poètes de son temps. Il est successivement logé par Verlaine, non sans heurts avec la femme de ce dernier, puis chez Charles Cros, André Gill et même quelques jours chez Théodore

Charles Maurras: «Au dîner du Bon Bock», or il n'y avait pas alors, de dîner du Bon Bock où nous allassions, Valade, Mérat, Silvestre, quelques autres Parnassiens [et] moi, ni par conséquent Rimbaud avec nous, mais bien un dîner mensuel des Vilains Bonshommes [note illisible], fondé avant la guerre et qu'avaient honoré quelquefois Théodore de Banville et, de la part de Sainte-Beuve, le secrétaire de celui-ci, M. Jules Troubat. Au moment dont il est question, fin 1871, nos «assises» se tenaient

Maurras: «Au dîner du Bon Bock», or il n'y avait pas alors, de dîner du Bon Bock où nous allassions, Valade, Mérat, Silvestre, quelques autres Parnassiens [et] moi, ni par conséquent Rimbaud avec nous, mais bien un dîner mensuel des Vilains Bonshommes [note illisible], fondé avant la guerre et qu'avaient honoré quelquefois Théodore de Banville et, de la part de Sainte-Beuve, le secrétaire de celui-ci, M. Jules Troubat. Au moment dont il est question, fin 1871, nos «assises» se tenaient

photographie prise en 1871 par Étienne Carjat ? (L'image illustrant le quiz) 2. 17 ans 4. Quel poète Rimbaud n'a-t-il pas pu rencontrer ? Rimbaud (1854-1891) Gérard de Nerval (1808-1855) Rimbaud a connu les trois autres, notamment grâce aux dîners des "Vilains Bonhommes". 1. Charles Cros 4. Gérard de Nerval 5. Avec quel poète vécut-il une idylle pour le moins tumultueuse ? Ils ont tous deux une liaison amoureuse qui se termine par le "drame de Bruxelles" : dans un hôtel de Bruxelles, Verlaine, ivre,

beaucoup de roulements d’yeux, souffle court, grondement. B/ Comique d’attitude, entre gestes et mots La dimension comique d’Ar est très présent dans sont incrédulité par toutes les expressions exclamatives : « voyez comme elle me réponds la vilaine ?! » (vers 11), « Peste » (vers 12), « Ah ! » (vers 13) Et surtout interrogatives : « vous ne m’aimez donc pas, à ce compte ? » (vers 1), « Comment, non ? » (vers 2), « Pourquoi ne pas m’aimer, Madame l’impudente ? » (vers 3), « en dirait-elle

Claudine. C LUBIN: Ah! que tu es rude à pauvres gens. Fi! que cela est malhonnête de refuser les personnes! N'as-tu point de honte d'être belle, et de ne vouloir pas qu'on te caresse? Eh là! C LUBIN: Oh! la farouche, la sauvage. Fi, poua! la vilaine, qui est cruelle C LUBIN: Qu'est-ce que cela te coûterait de me laisser faire?
 C LUBIN: Un petit baiser seulement, en rabattant sur notre mariage. C LUBIN: Claudine, je t'en prie, sur l'et-tant-moins. C LUBIN: Adieu, beauté rude ânière.

connu des élèves (lecture et étude de compréhension littéraire faite auparavant). L’enseignant demande aux élèves de relever les expressions utilisées pour parler des personnages principaux : le loup ((ce bandit, il, le monstre, le loup glouton, la vilaine bête…) et les chevreaux (les enfants, les petits, les pauvres petits). Dispositif : les élèves sont amenés à travailler par deux (avec leur voisin de table, sauf pour les élèves en grande difficulté langagière qui travailleront chacun avec les élèves

étudiants. Le soir, Raphaël décide d'en parler à ses parents, qui lui conseillent de ne pas réagir, mais le jeune élève n'en fait qu'à sa tête. Le lendemain, pour contrecarrer la punition générale, Raphaël et ses amis décident de jouer un tour à la vilaine enseignante : visser les pieds de sa chaise à l'estrade de la classe. La manoeuvre est risquée, mais ils parviennent tout de même à réussir leur entreprise. Grivet entre, et est furieuse de constater qu'elle ne peut plus bouger sa chaise. Réginald