Villequier

Charles Vacquerie avec qui elle se marie le 15 février 1843. Ils emménagent près du Havre au domicile de la belle-famille. Peu de temps après, le 4 septembre, c’est le drame : le jeune couple se noie lors d’une sortie en bateau sur la Seine, à Villequier. Hugo apprend la nouvelle de ce décès le 9 septembre dans un journal, sur le chemin de retour d’un voyage en Espagne. Il n'ira sur sa tombe qu’en septembre 1846 Le 4 septembre 1843, Léopoldine Hugo se noyait dans la Seine avec son mari. C'est

« L’adieu » : * Il écrit ce poème après sa visite au cimetière de Villequier où il évoque les tombes de Léopoldine Hugo et de Charles Vacquerie * Il s’agit d’un quintil en octosyllabe * Il n’y a pas de ponctuation * Pas de liens logiques et temporels * On ne sait pas exactement de quel deuil il parle dans les vers 2 et 3, celui de la saison ? De la femme ? Le sens est problématique * Deux personnes sont présentes, avec l’utilisation de « je » et de « tu », où l’on comprend

puis à partir de 1848, de la Seconde République. 12. Membre de l’Académie Française et membre de la chambre des Pairs 1845. 13. Sainte-Beuve entretient une liaison platonique avec sa femme, Adèle Foucher ; Léopoldine et son gendre se noient à Villequier en 1843 ; sa liaison adultère avec Léonie Biard fait scandale. 14. élu député, il soutient Louis-Napoléon Bonaparte puis se détourne de lui et se rapproche de la gauche républicaine. 15. Il est menacé d’arrestation pour le coup d’état du 2 décembre

Juliette Drouet, actrice rencontrée en 1833, qui lui consacrera sa vie. Hugo accède à l'Académie française en 1841, après trois tentatives infructueuses. Il est le premier académicien né au XIXe siècle. En 1843, Léopoldine meurt tragiquement à Villequier, noyée avec son mari Charles Vacquerie dans le naufrage de leur barque. Hugo sera terriblement affecté par cette mort: c’est le « tournant» de sa vie qui lui inspirera plusieurs poèmes des Contemplations — notamment, son célèbre « Demain, dès l'aube

BILAN DES COMPETENCES N°1 – 4e (septembre 2010) Victor Hugo (1802-1885), Les contemplations (1856) (Le 4 septembre 1843, Léopoldine, la fille aînée de Victor Hugo et son mari se noient dans la Seine à Villequier où ils sont enterrés.) Demain, dès l'aube... Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées

C'est le livre du deuil. Le 4 septembre 1843, Léopoldine et son mari, (Charles Vacquerie), se noient dans la Seine à Villequier. Hugo médite sur cet abîme qui sépare hier d'aujourd'hui. Il y exprime tour à tour sa révolte contre la cruauté du destin (trois ans après), sa nostalgie (elle était pâle et pourtant rose) . Parfois aussi il semble se soumettre à la volonté divine (A Villequier) . La douleur causée par la mort de sa fille Léopoldine semble inconsolable (Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit

mari Charles Vacquerie qui tenter de la sauver lors du chavirement de leur barque sur la Seine entre Caudebec et Villequier le 4 septembre 1843. Cet événement bouleversa Hugo et lui inspira plusieurs poèmes tels que « Demain, dès l’aube… », qui n’est pas le titre proprement dit, on le surnomme par les premiers mots qui le composent (incipit), «À Villequier ». Extrait de « À Villequier » : « […] Voyez-vous, nos enfants nous sont bien nécessaires,Seigneur ; quand on a vu dans sa vie, un matin

un rendez vous avec sa fille Léopoldine qu’il ne peut désormais retrouver qu’en lui-même.Mais l’ensemble du poème, son harmonie, se douceur sont la marque d’un travail de deuil abouti. C’est d’ailleurs ce qu’il affirme dans le poème suivant : A Villequier : « j’ai ce calme sombre/De pouvoir désormais/Voir de mes yeux la pierre où je sais que dans l’ombre/Elle dort pour jamais ». A travers le recueil «Pauca Meae », Victor Hugo prouve le pouvoir exceptionnel de la poésie, qui, en redonnant vie aux

il évoque la misère des sociétés modernes. Le Livre IV avec 17 poèmes et 800 vers. Pauca meae , « Quelques vers pour ma fille » est le livre du deuil. Le 4 septembre 1843, Léopoldine se noie avec son mari en faisant du bateau sur la Seine à Villequier. Victor Hugo ne l'apprend que le 9, il est en Espagne avec Juliette. Il ne se rendra sur sa tombe que 3 ans plus tard en 1946. « Si depuis ces quatre ans, pauvre cœur sans flambeau, Je ne suis pas allé prier sur son tombeau ». Hugo médite sur

forts les uns que les autres : une enfance de rêve, le mariage controversé avec Adèle Foucher, la bataille d'Hernani, la trahison de son ami Sainte-Beuve, une longue liaison avec la comédienne Juliette Drouet, la noyade de sa fille Léopoldine à Villequier, son combat contre Napoléon III, dix neuf années d'exil : "Je resterai proscrit, voulant rester debout", un retour à Paris qui lui permet d'être député puis sénateur, la folie de sa fille Adèle, la vieillesse paisible et glorieuse avenue d'Eylau