Villon Le Lais

Histoire littéraire : François Villon, frise chronologique -1431 : naissance sous Charles 7, période de guerre de 100ans, mort de Jean d’Arc. Il fait des crimes, puis écrit Le Lais : poème lyrique de l’amour courtois = satire (=moquerie) de l’amour courtois + legs périodiques : joue sur les mots « lais » et « legs » -1461 : règne sous Louis 11 Puis écrit  Le testament : méditation sur la mort, la fuite du temps -1462 : condamner à être pendu pour avoir blessé un notaire dans une rixe

montre le bonheur d’être jeune. Pour d’autre la jeunesse est lugubre, car elle n’est pas toujours synonyme de bonheur. J’ai voulu aussi regrouper ces poèmes car je voulais avoir des points de vue différents sur la jeunesse comme celui de François Villon « Le grand testament -extrait » nous montre un autre côté de la jeunesse du regret de ce qu’il a pu faire dans sa jeunesse qu’il aurait aimé vivre une enfance comme les autres ainsi celui de Jean Cocteau « Voici l’âge » démontre un questionnement

lentement »(«A morte devagar ») Il meurt lentement Celui qui ne voyage pas, Celui qui ne lit pas, Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux. Il meurt lentement Celui qui détruit son amour-propre, Celui qui ne se laisse jamais aider. Il meurt lentement Celui qui devient esclave de l’habitude Refaisant tous les jours les mêmes chemins, Celui qui ne change jamais de repère, Ne se risque jamais à changer la couleur De ses vêtements Ou qui ne parle jamais à un

auteurs qui sont évoqués expriment l’affection qu’ils portent pour un être cher, le plus souvent disparu accidentellement. On ne pouvait pas constituer cette anthologie sans évoquer l’un des auteurs les plus emblématiques du Moyen-âge, François Villon. En effet, cet homme a été l’un des premiers poètes de son époque à s’intéresser au lyrisme, notamment dans « Le Testament », ou il fait part au lecteur des bons et des mauvais moments qui ont alimenté sa vie. Il retrace aussi toute sa jeunesse et

reposer en paix, soulignant l'idée du 2ème vers. Ceci est aussi une méthaphore. 2ème strophe: «testaments...tombeaux» Il ne veut laisser aucune trace de sa mort Il ne veut pas que quelqu'un souffre de sa mort. -4 «j'aimerais» Il exprime le désir de ne laisser pas de trace de sa mort. Dans ces vers se trouve aussi une référence à La ballade des pendus de François Villon. Dans ces 2 strophes, il y rédige ses souhaits pour sa mort. Il s'écarte aussi de toute forme de cérémonie contrairement aux gens

médiévale de MAROT, la ballade des pendu de VILLON, le sonnet ( qui la forme poétique dominant ) de RONSARD, de DU BELLAY ou encore de RINBOU, on peut aussi voir que l'utilisation des image comme les calligramme D'APOLLINAIRE donne un rapprochement des textes et des images, car aussi JACQUES PREVERT nous laisse comprendre que ses poésie peuvent naître des images comme des mots, nous pouvons donc conclure que certains forme poétique bien défini laisse au poète une liberté de pensés et d’expressions

d'illustrer le genre poétique selon les circonstances de la mort, qu'elles soient accidentelles, brutales, dues à la maladie, à la vieillesse, au suicide, à la guerre, au crime politique mais également au mystère de la mort. Le poète peut alors se laisser envahir par ses émotions, dévoiler ses souffrances, ses états d'âmes, ses angoisses, ses regrets, sa révolte et faire renaître l'être disparu. La nature, un lieu, un objet peuvent alors déclencher l'écriture poétique sur le thème de la mort. 

lyrique, j’ai ajouté le poème de Guillaume Apollinaire (1880-1918) intitulé Si je mourais là bas..., puisqu’il nous montre ses sentiments. Ainsi nous terminerons par La ballade des pendus appelés aussi L’épitaphe Villon écrit par le plus connu des poètes du moyen-âge dont François Villon (1431-1463). Ce récit est intéressant car l’auteur suscite un sentiment du lecteur. -1- Le premier poème aborde l’un des thèmes les plus importants de la poésie engagée : la guerre. Celle-ci a marqué les deux

très subtil d’une dame de compagnie ; mais Ivain part pour accomplir de nouveaux exploits et il laisse passer le délai prescrit par sa femme : celle-ci le bannit d’abord de sa présence, puis finit par lui pardonner. Lancelot raconte les aventures du chevalier de ce nom qui, pour plaire à la reine Guenièvre, ne cesse de mettre sa vie en péril. Il consent même, au risque de se déshonorer, à se laisser traîner sur une charrette ; mais il arrive ainsi à délivrer la reine. Enfin, Perceval se rapporte

souffrance du poète, le doute qui l’assaille. La musicalité est très présente :assonances et allitérations. Il est fait référence à une tradition élégiaque médiévale avec l’intertextualité : Rutebeuf et Villon. Mais la colombe est aussi le symbole de la paix, qui est icipoignardée, ce qui laisse le lecteur entrer sur le terrain de la guerre et de sa dénonciation. La colombe étant au-dessus de tout, elle figure la paix comme un idéal.