Violence Combat 14 18

(Cette scène de bataille est parfaitement ordonnée et répond à une organisation stricte de l’espace et de l’écriture grâce aux connecteurs temporels : « d’abord (l.4), ensuite (l.5), enfin, (l.12)», spatiaux : « par-dessus (l.14), ici (l.17), là (l.19) ». A l’organisation du combat, répond donc l’organisation du texte. (Il faut également souligner l’équilibre des forces en présences dans cette bataille : « de chaque côté » (l.5) montre que les pertes sont égales pour chacun des peuples. En outre

Pouvoirs » Art du visuel Présentation générale: Je vais donc vous présenter « les joueurs de Scat » une œuvre d’Otto Dix un peintre allemand ayant participé a la première guerre mondiale. Ce tableau a été peint en 1920,juste après la guerre de 14-18. Ce tableau veut présenter les horreurs de la guerre, ses impacts, ses conséquences, ses destructions. Explication du sujet: Les joueurs de scat s’inscrit dans la thématique Art, Etats Pouvoir, ainsi que dans le domaine art du visuel. Ce tableau

La violence politique peut-elle être légitime ? De tout temps, le caractère légitime de la violence est apparut comme une préoccupation constante des hommes en charge de politique. Ainsi que ce soit à travers la célèbre citation de Salluste [1] « Quant à vouloir s’imposer à ses concitoyens par la violence, c’est toujours chose odieuse même si l’on se donne pour but de réformer des abus » ou bien que ce soit actuellement à travers l’affiche « par tous les moyens nécessaires » du Collectif Antifasciste

50. Le film fut réalisé en 1961 par Robert Wise sur une idée de Jérôme Robbins. La comédie musicale, comme le film (10 oscars), connurent un succès planétaire LE FILM Réalisation : Robert Wise et Jerôme Robbins Durée : 152 min Sortie le 18 octobre 1961 Acteurs principaux : Nathalie Wood, George Chakiris, Richard Beymer et Rita Moreno. Lyrics de Stephen Sondheim Musique de Leonard Bernstein Chorégraphie de Jérôme Robbins. DESCRIPTION Le film s’ouvre par un générique assez long

passait beaucoup de temps. Entre 1905 et 1909, il est apprenti du peintre Carl SENFF et apprend à peindre ses premiers paysages. Au début de la Première Guerre mondiale, il s’engage avec enthousiasme dans l’armée allemande. Il devient mitrailleur et combat en France notamment durant la bataille de la Somme. Il obtient la croix de fer mais il reste traumatisé par les horreurs de la guerre dont il a été témoin au point de faire des cauchemars dans lesquels il rampe dans des maisons en ruine. À la fin

que l'on néglige comme étant non prioritaires. Certains militaires de la guerre de 1914/18, gazés jeunes, n'ont jamais connu le monde du travail. On ne connaîtra que beaucoup plus tard les influences de ces produits sur la descendance, comme, par exemple, les effets de la bombe atomique, mais également ceux de la sous-alimentation. Les gazés ou les gueules cassées (grands blessés de la face) de la guerre 14/18 ont, en plus de leurs souffrances, été à la charge de la société, pensionnés à vie, parfois

principal reste l'apparence. I « Les joueurs de skat » : • Présentation de l’œuvre. « Les joueurs de skat », appelé aussi « Les joueurs de cartes » est un tableau d’Otto Dix* peint en 1920 à Dresde, à la suite du traumatisme moral de la guerre 14-18, de l'artiste. Ce tableau mesure 1.17m sur 0.87m. Cette toile est une peinture à l'huile agrémentée de collages. Elle est conservée à la galerie national de Berlin. Elle représente une scène de la vie quotidienne : trois personnes jouant aux cartes

« soupirs ardents, pitoyables cris » (v.15) ; « pleurs » (v.26) ; « éplorée » (v.21) ; « douleur » (v.21), qui amplifie la caractérisation des enfants en monstres. Elle est donc le lieu où se déroule le conflit qui oppose ses enfants « un combat dont le champ est la mère » (v.14). La France, représentée sous la forme d'une mère, est même, plus qu'une personnification ou une allégorie, une prosopopée puisqu'elle parle à la fin de l'extrait « Elle dit : « Vous avez, félons, ensanglanté Le sein qui vous nourrit

en adéquation avec ses fonctions.  - il est idiot => la reprise de « je ne comprends pas »l. 5 + « je ne comprends rien de ce que tu dis » l. 13 ; amplification de sa bêtise par l'exclamation en forme de constat de Mère Ubu : « Tu es si bête! » L. 14 => la Mère Ubu souligne sa niaiserie. - il est vantard => énumération de ses titres l. 8-9  comique de caractère. b) Mère Ubu - ambition démesurée, d’où antithèse par rapport au mari : => questions rhétoriques nombreuses l. 6 +

train va faire des dégâts "victimes", "écrasait", "sang", "mort". C'est un train qui roule inévitablement vers sa destruction. Le train est une image de la fatalité. La course vers le progrès devient peut être une catastrophe annoncée porteuse de violence et de mort. Epique : métaphore de l’animal qui refuse d’obéir (personnification du train) : l'impression d'une vitesse vertigineuse " la rétive, la fantasque " "fonçait" (l.9) "galop" (l.9) (l.21) "rué" (l.21) "débridé" (l.16) "indomptée" (l.2) "fougue"