Violence politique

de la violence de la répression franquiste avant de se convertir en symbole de l'horreur de la guerre en général. Il est exposé au musée de la Reine Sofia à Madrid. Analyse: Guernica est une œuvre de dénonciation et de protestation contre le bombardement de la ville basque Guernica (qui a donné son nom au tableau), Guernica est une lutte révolutionnaire par la peinture, le manifeste politique de Picasso et l'emblème de la participation du peintre aux drames de son temps : la violence, la barbarie

barrage de Sivens. le journal l’Opinion a choisit de mettre en avant la violence de ces confrontations qui ont lieu, la violence de ces individus, que sont certains zadistes, une violence illustré par cette article composé majoritairement de photos que le quotidien a publié sur son site internet le 29 octobre 2014 soit trois jours après la mort de Rémi Fraisse. Les photos qui constituent l’article mettent en avant une violence extrême, une dangerosité des zadistes, des lieux saccagés, des armes dangereuses

autres tue la paix. Rester passif envoie le mauvais signal. Cela autorise les violents à augmenter la violence. C'est en formant un contrepoids, majoritaire, où la paix prime dans les interactions humaines, qu'on peut susciter une remise en cause des "violents" et les éveiller au meilleur d'eux-mêmes. En restant passif, on se désolidarise de cet effort de contrepoids, on fait le choix de la violence des autres, même si on est le plus doux des êtres. La paix demande une combativité positive dans nos

Malentendu ; et Révoltés avec L’Etat de Siège et Les Justes. ✓ Rétrécir le champ et parler de la pièce elle-même : rappel historique par Camus lui-même en introduction du texte + questionnement que pose la pièce : légitimité de l’acte violent en politique ? ✓ Situation du passage : ➢ Première tentative d’attentat qui a échoué : les enfants sur le carrosse ➢ Acte III : Voinov est en proie au doute et quitte le groupe terroriste car il n’est « pas fait pour la terreur » (p.76)

Impact éducatif des nouvelles technologies Souvent les parents, les éducateurs, les professionnels de la santé, et même les politiciens tendent à diaboliser les nouvelles technologies comme une source d’incitation à la violence, à la pornographie ou encore comme source de conduites de dépendance (surtout envers les jeux en ligne). Bien que ce constat s’applique à une minorité d’adolescents, en général vulnérables, la majorité des jeunes, garçons autant que filles, s’adapte relativement bien à ces

Le Dictateur a été écrit en 1938, tourné en 1939 et est sorti sur les écrans en 1940. 2) Rappelez le contexte historique. Hitler prend le pouvoir en Allemagne en janvier 1933. Dictature du parti nazi. Mesures contre les Juifs en Allemagne. Politique d’expansion dans l’Est de l’Europe. La Seconde Guerre mondiale commence en 1939, mais les Etats Unies ne sont pas encore entrés dans cette guerre . Cet extrait est la 2è séquence du film : il s’agit du discours prononcé par le dictateur de Tomainia

les populations de jour comme de nuit. Ce mal qui se circonscrivait dans les grandes villes, surtout à la capitale a désormais gagné les campagnes les plus reculées où on enregistre régulièrement des actes de gangstérisme à caractère crapuleux ou politique. » Le phénomène prend des proportions plus grandes et plus dangereuses. Il arrive que « les bandits en armes débarquent à visage découvert sur les lieux de leur forfait. Ils tirent les biens pour lesquels ils sont là puis s’évaporent dans la nature

soulignent que les journalistes ne sont que spectateurs des évènements, ils décrivent, observent, commentent mais ils n’agissent pas. En outre, ce qu’ils écrivent n’est pas toujours une source fiable. Par exemple, ils peuvent annoncer que tel homme politique se marie la semaine prochaine or ce n’est pas vrai. En effet les journalistes ont tendance à lancer des rumeurs qui celles-ci peuvent nuire aux célébrités et même aux citoyens. Par exemple: certains journalistes/paparazzis poursuivent parfois même

S’il existe donc la violence du social, on dénote aussi une autre sorte de violence, plus ou moins liée, mais individuelle celle-ci, concernant le cœur même de l’individu qui compose la société. Car, bien que la société est formée d’un ensemble d’individus, elle n’est rien de plus que le résultat d’un besoin naturel de ceux-ci, vitale pour des hommes dont la survie dépend de la masse. Ainsi, un homme qui vit exclu de la société finira tôt ou tard soit par se faire absorber par celle-ci, soit par

Voltaire est violent envers ceux qui pratiquent la guerre( meurtrier (li.1): "entreprise infernale" -champ lexical de la violence et de la guerre= 'li.1):"meurtrier",(li.2)"exterminer",(li.5) "détruire"… -L'utilisation d'hyperboles=(li.3) " 2ou3 milles hommes",(li.25) "5 ou 6 milles mourants",(li.20) "nous déchire en mille morceaux". La guerre est une expérience de violence incontrôlée. 2) Une entreprise insensée Il y a une antithèse entre le nombre de victime (li:21)