Violence Qui Ruine

cents parquets de France ne sont que des variations plus ou moins sonores. Eh bien ! nous nions d’abord qu’il y ait exemple. Nous nions que le spectacle des supplices produise l’effet qu’on en attend. Loin d’édifier le peuple, il le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité, partant toute vertu. Les preuves abondent, et encombreraient notre raisonnement si nous voulions en citer. Nous signalerons pourtant un fait entre mille, parce qu’il est le plus récent. Au moment où nous écrivons, il n’a que

cents parquets de France ne sont que des variations plus ou moins sonores. Eh bien ! nous nions d’abord qu’il y ait exemple. Nous nions que le spectacle des supplices produise l’effet qu’on en attend. Loin d’édifier le peuple, il le démoralise, et ruine en lui toute sensibilité, partant toute vertu. Les preuves abondent, et encombreraient notre raisonnement si nous voulions en citer. Nous signalerons pourtant un fait entre mille, parce qu’il est le plus récent. Au moment où nous écrivons, il n’a que

croyance d’une fin proche du monde, ont pu mener ds les années 1560 à une violence de la possess° divine cherchant à réinstaurer la pureté du royaume. Nombreux rituels de violence ac pr but de mettre au grand jour la corrupt° des hérétiques : mises en scène macabres, mutilat° des cadavres, … Calvinistes auraient tentés de désenchanter ce monde pleins de signes divins en démontrant la rationalité de la religion du Verbe, d’où une violence + modérée en 1°, av d’adopter par la suite, une tactique terroriste

devait apporter progrès, confort prospérité ≠guerre, morts, souffrance, ruine Violence des combats (conditions de vie précaire, pénibles) → famines ( ravitaillement faibles, froid, immangeable) + en alerte permanente, stress → Hommes épuisés (car ils dorment peu → « bouffer par les rats » , les poux, le bruit permanent et le froid ) → Rapport avec la mort ( compagnons morts, entourés cadavre , risquent leur vie) → La violence des combats a provoqué une déshumanisation des soldats et brutalisation

siècle | |Origine familiale |Son père est rentier, sa mère est pianiste et harpiste amateur mais en1929, son père, est ruiné. Il est obligé de louer sa maison et de | | |s'installer dans la maison de service. | |Enfance, |A douze ans

de la dégénérescence des races : à l'origine ce mythe est simple. La terre était peuplé d'une race de demi-dieu a qui tout étais donnée ( la race d'or) qui disparaît puis apparaît la race d'argent d'argent, de fer elle se dégrade de plus en plus (violence, plus de travail...etc). ⁃ Le mythe de Platon : La marche rétrograde de l'univers : lorsque les dieux s'occupe de l'univers ils le font tourné dans un sens. Cet ordre des choses est l'ordre inversé de ce que nous connaissons cad que les hommes

lancer des sommations aux ennemis et leur demander de quitter la place. Au contraire les ennemis ont une mauvaise appréciation de la situation puisqu’un seul homme est de garde « au mâchicoulis ». Les ennemis réagissent aux paroles par la violence immédiate, ce qui crée une rupture brutale après les jeux de mots de Gargantua : « mais un ribaud de canonnier lui tira un coup de canon et l’atteignit à la tempe droite furieusement. » Le terme « ribaud » (= vaurien, fripouille), très péjoratif

suivre, il se met en marge de sa famille, se retrouve dans la misère et tous les deux sont conduits à des actions basses pour vivre leur amour./DG : Jeune noble fortuné, héritier d’une fortune, intelligent, brillant= finit déclasser hors de la société, ruiné, brouillé avec sa famille.- G M : est un jeune homme riche, il est humilié publiquement par Manon mais aussi par DG- Synnelet : se fait blesser quasiment à mort par DG, par jalousie.B) Manon est prête à tout pour l’argentElle est une femme tragique

souligne les sentiments du narrateur,des effets symétriques et de parallélisme qui manifestent l'opposition et l'affrontement ; au point de vue des figures de style :des comparaisons et des métaphores, qui s'ajoutent à l'impression de puissance et de violence, des hyperboles, ou des chiffres qui contribuent à l'amplification, des accumulations et des énumérations, qui marquent la profusion, des métaphores hyperboliques. Le merveilleux séduit le lecteur en le faisant entrer dans le domaine de l'imaginaire

le héros sera déçu par son pèlerinage. Une ambiance de magie, de charme règne sur ses souvenirs d’enfance et va être confrontée à la réalité crue, dure, des nouvelles constructions qui entourent la villa telle une prison, de la villa qui tombe en ruine, de la vieillesse de la dame y habitant. Cette nouvelle parle d’une rupture avec l’enfance, du passage à l’âge adulte et de la mort, de l’angoisse et de la peur de la transformation. Le héros est angoissé par ce deuil qu’il doit faire du passé, des