Violence Selon Hobbes Et Rousseau

comme on dresse des haies, non pas pour arrêter les voyageurs, mais pour les maintenir sur le chemin. C’est pourquoi une loi qui n’est pas nécessaire, c’est-à-dire qui ne satisfait pas à ce à quoi vise une loi, n’est pas bonne. HOBBES * impétuosité : ardeur, fougue, violence. Pour expliquer ce texte, vous répondrez aux questions suivantes, qui sont destinées principalement à guider votre rédaction. Elles ne sont pas indépendantes les unes des autres et demandent que le texte soit d’abord étudié dans

Sujet : Quels sont les apports respectifs de Machiavel et de Hobbes dans la définition de la politique moderne ? Il va s’agir ici de poser la question de savoir ce que peut et doit être une philosophie politique d’aujourd’hui, et de poser cette question à partir de la pensée de Machiavel et de Hobbes qui sont pour Léo Strauss les penseurs de la première vague de la modernité. Il va s’agir de problématiser l’héritage de la pensée politique de ces auteurs à la lumière de la politique moderne

✓ ARISTOTE, La Politique (*) ✓ AUGUSTIN D’HIPPONE, La Cité de Dieu (*) ✓ Nicolas MACHIAVEL, Le Prince (*) ✓ Jean BODIN, Les 6 livres de la république ✓ Thomas HOBBES, De Cive et Le Léviathan (*) ✓ Charles de MONTESQUIEU, L’Esprit des lois ✓ Jean Jacques ROUSSEAU : Du Contrat social (*) ✓ John LOCKE, Du gouvernement civil (*) ✓ Baruch de SPINOZA, Tractacus politicus (*) ✓ Emmanuel KANT, Projet de paix perpétuelle (*) ✓ Georg

Etat), interdit, oblige, bref, dirige des comportements (c’est ce qu’on appelle une « norme 1»). Son outil : la loi (possibilité de vous sanctionner, cf. institution de la justice, chargée de « rendre le droit », d’appliquer la loi2). Recours à la violence légitime, pour reprendre une expression de M. Weber à propos de l’Etat. Donc, si certes on « peut » désobéir à la loi de l’Etat au sens où nous en avons la capacité, cela paraît être contradictoire de dire qu’on peut avoir le droit d’y désobéir :

Le pouvoir politique selon Max Weber Le pouvoir politique, c'est la domination exercée par une personne ou un groupe de personnes dans une société, dans le but d'organiser celle-ci. La cohérence d'un projet politique est assurée par un pouvoir politique qui mène cette action. Ce contrôle peut être fait à l'encontre de la volonté populaire (dictature) ou au nom du peuple, c'est à dire par et pour le peuple (démocratie). A ce niveau, il est questions de systèmes et de régimes politiques, qui méritent

1)les theses naturalistes Elles analyse la formation des Etats comme un processus naturel Weber explique que ls Etats resultent du processus par lequel 1 groupe po acquiert ce qu’il appelle le monopole de la justice ,le monopole de la violence légitime .Les hommes entre eux ont des rapports violents . Marx ,approche semblable de Weber ms l’Etat apparait comme le résultat de la domination d’un groupe qui est éco 2)Les theses contractualistes Les Etats ne se forment pas naturellement

civile est une des notions les plus confuses du débat politique actuel. Cette notion était à l’apanage (monopole) des philosophes, des hommes d’Etats, sociologues, qui d’une part assimilaient le concept de société civile à l’Etat. Entre autres, Thomas Hobbes qui est l’un des premiers penseurs modernes. Mais, d’autres penseurs ne partageaient pas ce point de vue notamment GUY SORMAN (écrivain et enseignant de sciences politiques Français.) qui stipule qu’ ‘’il est nécessaire de retracer en clair la frontière

pesanteurs psychologiques, socio-politiques ou même religieuses ? PROBLEME 1 : La connaissance de l’homme est-elle possible ? Objectif : montrer la complexité de la nature de l’homme / Notions : conscience et inconscient, violence, mémoire, liberté INTRODUCTION Alors que SOCRATE invite résolument à faire du « connais-toi toi-même » inscrit au fronton du temple de Delphes, un principe fondamental de notre vie, le philosophe allemand NIETZSCHE (1844-1900) estime qu’il

Comparer les théories de Rousseau et de Kant sur les facteurs qui permettent aux humains d’éviter ou de mettre fin à la violence. Rousseau et Kant, 2 grands philosophes, ont élaboré chacun une théorie dans lequel l’humain chute dans le mal. Avant tout, essayons de comprendre comment l’humain de Rousseau vivait-il dans un monde sans violence. L’environnement était favorable à la survie de l’homme. Ainsi, l’homme n’avait qu’à satisfaire ses 3 besoins élémentaires; manger, s’accoupler et dormir. Facile

Pacifisme L'action des partisans de la paix Doctrine de non violence Pas toujours assimilable à la non violence, bien que la vision d'un pacifisme non violent soit bcp plus répandue. C'est un pacifisme radical. Pblq : Le pacifisme est-il contre nature ? I. Non, le pacifisme est humaniste On parle de guerre « inhumaine » (1GM et 2GM notamment), preuve que la paix semble plus naturelle à l'homme. Il élève l'homme car refus de céder à la facilité, maîtrise de ses pulsions= ce qui