Virus de l'immunodéficience humaine

2. SCIENCES BIOLOGIQUES ET MEDICALES UE 2.5.S3 : Processus inflammatoires et infectieux CM : 30 heures - TD : 10 heures - TP : 10 heures Année 2013 - 2014 Coordonnateur universitaire 2013 – 2014 : Dr Jean-Winoc Decousser Co-coordonnateur IFSI 2013 – 2014 : Madame Chantal Boisson Programmes finalisés pour les cours magistraux en octobre 2012 et pour les travaux dirigés en juin 2013 Cours Magistraux (28h30) Nombre d’heures Enseignants Année universitaire 2013 - 2014 Date

Dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne, la grossesse est, pour une femme, la preuve de sa fécondité, une étape qui signifie que la vie continue, que le groupe social se renouvelle grâce à elle. La femme a le pouvoir de donner la vie aux humains ce qui lui confère des responsabilités et des pouvoirs spéciaux.2 La conception du rôle de la femme est donc claire et précise « puisque même si une femme ne se marie pas, elle doit au moins chercher à avoir un enfant, tant il est vrai qu’une femme

 Les moyens de contraception Introduction : Nous allons parler de deux moyens de contraception qui sont le préservatif masculin et les implants. Qu'es que la contraception ? La contraception est l'ensemble des moyen employer pour éviter une grossesse. I) Les implants L'implant contraceptif est un bâtonnet qui ressemble à une allumette, en beaucoup plus fin, fabriqué un matière plastique souple, mesurant 4 cm de long sur 2 mm, il faut le renouveler tous les trois ans et coûte

il faut réaliser une transfusion sont fréquentes. Les dons de sang permettent de sauver des vies. e) Quels sont les risques? Les incidents défavorables liés à une transfusion se classent en deux catégories : ceux de nature infectieuse dus à : des virus (ex: VIH), des parasites et des bactéries et ceux de nature non infectieuse. Si la transfusion de sang est incompatible, les anticorps du receveur se fixent sur les antigènes des globules rouges du donneur. Les globules rouges sont ensuite détruits

Cas pratique : PAUL Les faits : Paul pris d’un malaise en voiture, traverse la chaussée, s’encastre contre un autre véhicule d’où il commet quelques dégâts. Trois personnes sont blessées, lui-même contaminer par le VIH, la conductrice perd l’usage de ces jambes. Qualifications juridiques des faits : Nous sommes amenés à nous interroger sur de nombreux points pour rechercher la responsabilité de tous ces dommages : Paul verra sa responsabilité engagée dans l’accident qu’il a causé par la perte

-Idem pour la Russie où l'ONU sida estime que" le nombre de personnes vivant avec le virus hiv est quatre fois plus élevé que les chiffres relevés " (83000 nouveaux cas relevés en 2001) Pourquoi n'arrive-t-on - grâce aux molécules antivirales - à ne bloquer que la production du virus dans le corps en faisant disparaitre toute trace virale circulante dans le sang, mais sans parvenir à éliminer complètement le virus de l'organisme ? Une première voie a été ouverte par le professeur David Ho, au congrès

Evolution de la maladie après l’infection par le VIH Phase 1 : primo infection ou séroconversion Phase 2 : Phase asymptomatique ou phase silencieuse SIDA déclaré Durée Contagieux (oui/non) Séropositif (oui/non) Variation de la quantité de virus Variation de la quantité de lymphocytes T Variation de la quantité d’anticorps Symptômes Que penses-tu du comportement du garçon et de la fille dans la chanson de Jacky Brown ? Jacky Brown - N'y Pense Même Pas

avec 23,3 4 – Afrique du Sud avec 17,3 % 5 – Zimbabwe avec 14,9 % 6 – Namibie avec 13,4 % 7 – Zambie avec 12,5 % 8 – Mozambique avec 11,3 % 9 – Malawi avec 10,0 % 10 – Ouganda avec 7,2 % Le pourcentage de la population française infectée par le virus du Sida est de 0,4 %, les chiffres ne sont pas précis, mais la fourchette est entre 0,3 et 0,5 %, c’est pourquoi le résultat est arrondi à 0,4 %. Document 2: Les médecins dans le monde Source:http://www.maxicours.com/se/fiche/5/7/393857.html

IFSI Mathilde FREBAULT SESSION 2014/2017 Analyse de pratique professionnelle La communication dans la relation soignant soigné BELHAIZA Omaira Semestre 2 SOMMAIRE I. Présentation du CCSPMI 1.1 Pôle de protection maternelle 1.2 Pôle de protection infantile II. Mon analyse de pratiques professionnelles : la communication entre le soignant et soigné 2.1 La situation de départ 2.1.1 Mon questionnement 2.2 Partie Théorique 2.2.1 La communication dans la relation

cellules la présence d’un AG. Ils s’accolent alors et libèrent des molécules afin de tuer la cellule infectée. Chaque lymphocyte T ne reconnaît qu’un type d’AG : action spécifique. 2. Ils s’attaquent directement aux cellules infectées notamment par les virus qui se trouvent à l’intérieur hors d’atteinte des AC. 3. Points communs : spécificité donc étape de reconnaissance + multiplication + production dans les mêmes organes et même circulation et différences : LB produisent les AC qui neutralise, les LT