Visage

jalousie, la peur, l’amour et bien d’autres émotions. L’artiste cherche à fixer des « instants d’émotions », sur sa toile comme sur une plaque photographique. Ce portrait de face, parfois comparé à une momie ( ! ) est déformé par la torsion du cri. Le visage s’allonge vers le haut en ondulant et le mouvement bascule à l’horizontale au niveau du ciel. Le contraste entre couleurs chaudes et froides rajoute encore à la tension. Pour la Frise de la vie Munch s’est donné un programme : « Il faut que ce soient

Personnages Alexandra Finch: Sœur d’Atticus, pleine de principes Arthur Radley (Boo): Voisins des Finch, « Il avait des mains blanches, des mains maladivement blanches […] son corps mince […]. Il avait le visage aussi blanc que ses mains, en dehors d’une ombre sur son menton pointu. Ses joues étaient creuses, sa bouche large. Il avait des marques superficielles, presque délicates sur les tempes. Ses yeux gris étaient tellement décolorés que je le crus aveugle. Ses cheveux rares et fins formaient

éléments pour les exprimer. Après avoir montré comment le jeu du comédien participe à cette tâche, nous verrons en quoi la mise en scène joue elle aussi un rôle déterminant. Le jeu du comédien est composé du ton de la voix, de l’expression de son visage et de ses gestes. Le ton de la voix est parfois indiqué dans les didascalies mentionnées par l’auteur et contribue à exprimer les sentiments de tel ou tel personnages. Par exemple dans Le malade imaginaire, Molière précise qu’Aragon doit être

cheveux blonds, on perçoit ensuite son beau visage qui mange une sucette, avec la forme de la sucette dans sa joue, puis au bas le packet de Chupa Chups. A la fin, on perçoit la robe rose et le bras fin de Barbie pour encore montrer que c'est une fille. Le sens de lecteur pour Action man est la même que celle de la Barbie, on perçoit d'abord ses cheveux courts et noirs et ses sourcils épais et foncés pour montrer que c'est un homme, puis ensuite son visage de machot qui mange une sucette, sa joue

Le portrait de Julien → Quelle est la valeur symbolique du portrait de Julien ? I- Les caractéristiques du portrait Sur le visage de Julien, on a comme indication : «  avec des traits irréguliers mais délicats » (l3). Cet adjectif délicat nos informe dékà sur l'aspect féminin de Julien, sur sa jeunesse. De ce fait, on peut l'associer à un perso des Noces de Figaro de Mozart qui s'appelle Chérubin. L'adj délicat est introduit avec la conjonction adversative « mais » : on oppose ainsi délicat

allemands. Un espace privé, intime, une scène de la vie quotidienne. - L'atmosphère de la scène : Des morts-vivants : une tête de mort sur l'ampoule qui les éclaire. Les regards sont vides. - La représentation des corps : L'accent est mis sur les visages et sur les mains. Les prothèses, les corps rafistolés, les blessures cachées. Absence quasi- totale des membres inférieurs. * L'homme de droite se tient de profil sur sa chaise. On peut constater qu'il lui manque certains de ses membres, ses jambes

l’avant et vers l’arrière. Son visage, maigre et pâle, trahissait l’état dans lequel il se trouvait et seuls ses yeux d’un vert étincelant, l’éclairaient. Le bruit de l’osier craquelant à cause du balancement du jeune homme venait interrompre ce silence à couper au couteau qui régnait dans cette pièce sombre depuis déjà quelques jours. La jeune femme dont les cheveux dorés et ondulés tombaient sur les épaules et la fine bouche et le nez retroussé dessinaient le visage, se tenait debout, prés de

M : d’abord par devant puis je te sodomiserais violemment et je giclerais sur ton visage J : tu vas gicler tout sur ma face c’est ca que tu veux me dire ? M : oue et apres tes copines lecheront J : oh oui t’aimerais pas nous donner a chacun sur le visage toi ? M : je vous prendrais une par une J ah oui ? Et quand tu vas jouir qu’est ce qui va se passer ? M : je vais vous remplir de sperme J : sur nos visages et sur nos seins ? hmmm… M : partout et vous allez me branler comme des salopes

Courageuse aussi dans son attaque directe a Don Juan, l.33 elle se moque ouvertement de lui afin de toucher sa fierté. Elle le rabaisse constamment sur un ton satirique « pitié » l.34. Elle lui coupe la parole une dernière fois, a découvert son vrai visage « Ah ! scélérat » l.53. . Sa dignité l.4 « mais » adversatif, opposition entre ses espérances et la réalité tragique qu’elle affronte dignement. Opposition tout au long du texte entre le passé (connote l’espoir) puis le présent (connote la déception)

vivaient ne pouvaient pas se voir ; Pour se reconnaître, ils se tâtaient dans le noir et promenaient leurs mains palmées sur leurs visages. Certains parmi eux s’aperçurent de la présence des deux frères et dirent : « Il y a deux étrangers parmi nous. D’où venez-vous, étrangers ? Mais vous êtres nos pères, les prêtres divins. ! » Tous les êtres accourent pour tâter le visage des prêtres divins en disant : « Nos pères ! Vous êtes venus§ Montrez nous comment sortir d’ici. Nous avons entendu parler