Vision Aristote Remise En Cause

critiquée, car perçue comme un encadrement excessif des individus. Cette structure de société porte atteinte aux libertés et est également source d’inégalités de naissance perçue bientôt comme insupportable. Tous ces corps intermédiaires ont été remis en cause et renversés par la Révolution Française. Au 19°s, on constate malgré tout des tentatives de retour en arrière. Le rapport de force politique évolue et on assiste à la Restauration, régime installé en 1814, Régime Monarchique avec l’arrivée au

et contempler tel qu’il est. – Nécessairement. – Après cela il en viendra à conclure au sujet du soleil, que c’est lui qui fait les saisons et les années, qui gouverne tout dans le monde visible, et qui, d’une certaine manière, est la cause de tout ce qu’il voyait avec ses compagnons dans la caverne. – Evidemment, c’est à cette conclusion qu’il arrivera. – Or donc, se souvenant de sa première demeure, de la sagesse que l’on y professe, et de ceux qui y furent ses compagnons

éthiques. À une échelle plus vaste, les domaines de l'environnement contribuent au développement de l'éthique sur des bases réelles. Par ailleurs, dans une moindre mesure, il est traditionnel de lier éthique et philosophie de l'action et ce depuis Aristote, dans la mesure où la théorie de l’action s’intéresse à certains problèmes fondamentaux pour l’éthique comme le jugement de la responsabilité de l’agent, de l’intentionnalité d’une action ou de la définition de ce qu’on appelle un agent. Histoire

artificiel. Maintenant Aristote (élève de Platon) continue de dire que c'est naturel -> valorisation de la sphère privée donc de la liberté individuelle [Ethique à Nicomaque, Aristote]. Pourquoi l'homme vit naturellement en poltq ? Parce que il vit en famille, puis en groupement en familles , la multiplicité aidant, on arrive au poltq. Pour Aristote l’idéal de la cité est l'autarcie eco. Chez Aristote on a besoin des autres pour satisfaire l’ensemble de ses besoins. L’idéal chez Aristote c’est l’autarcie

1 PREMIERE PARTIE : NOTIONS Chapitre un : le Bloc de juridicité La juridicité, c'est l'essence du droit, sa nature. Le geste philosophique, c'est la remise en question du savoir sur toutes les choses qui pourraient être évidentes au premier coup d'œil. « C'est le juge qui dit le droit », mais dans la tête des gens, le droit c'est la loi etc. Pourquoi le droit doit être distinguer de la loi alors qu'ils semblent profondément liés. Saisir le sens du droit n'est pas seulement répondre à la question

science moderne. Le tournant vers la science moderne se fait au 16eme et 17ème siècle avec des découvertes comme l'héliocentrisme, la gravité de Newton,... Tout ceci est du à un changement de paradigme (de vision du monde). On ne fait plus de science comme dans l'Antiquité, la physique comme Aristote et le finalisme reposant sur une physique qualitative et un cosmos organisé et fini qui pense que tout a une place prédéfinie et s'y dirige naturellement, pas d'expérience, pas de preuve, tout a un but

La théocratie, (définition mis en place au Moyen-âge) est selon laquelle l’Eglise détient la souveraineté dans les affaires temporels il s’agit donc d’une part d’une théorie politique il faut réalisé sur terre un type de gouvernement adapté à une vision du monde tenu pour idéale. L’Eglise entend détenir la souveraineté A  La Mésopotamie. Situé sur le territoire de l’Irak entre deux fleuves le Tigre et L’Euphrate. Cette civilisation c’est établi grâce à ces deux fleuves considérés comme nourriciers

(reconnaissance de la citoyenneté française et le fait d’être musulmane). Succès et mode de plusieurs d’auteurs (Hannah Arendt, Léo Strauss, Hans Jonas, Michel Serres) qui ont tous comme point commun de remettre en question la modernité = remise en question du sujet à cause du rapport au monde que cela implique. De manière plus subtile, toutes ces pensées militent pour une logique du ré enracinement de l’homme (dans la nature => Serres, dans le monde => Arendt). Il est intéressant de voir comment chacune

force, ne possèdent pas d’armes véritables : seules le sont réellement les 1. Un grand État est une chose difficilement envisageable pour un Grec. Pour Platon, aspirant à l’unité idéale, un petit État n’est pas susceptible de se diviser. 2. Pour Aristote, Politique, I,2 commentant la parole d’Euripide (Iphigénie à Aulis, v. 1400, trad. M. Delcourt-Curvers) : « C’est au Barbare à obéir au Grec, ma mère, et non l’inverse. / Car eux sont des esclaves et nous, nous sommes des hommes libres », il y a

ni les amender  Existe donc un net déséquilibre en faveur des organes de commandement au détriment des organes de délibération. 3. Avis sur cette organisation : partagées - Platon séduit, surtout par l'efficacité de la division des taches. - Aristote considère que : 1. structure sociales : éducation des enfants et la stricte égalité relèvent de l'esprit démocratique MAIS critique que les femmes aient trop de liberté 2. organisation du régime : régime est mixte (éléments démo, monarchie, oligarchie)