Vision De Crozier Sur Les Attentes Des Parties Prenantes

Les parties prenantes et les contre-pouvoirs Intro Les organisations sont des lieux de pouvoir et de lutte pour le pouvoir. Différents acteurs s’y retrouvent avec des attentes différentes. Quels sont ces acteurs, appelés aussi parties prenantes ? Quelles sont leurs attentes ? Qu’est-ce que le contre-pouvoir et quels sont les modes de gouvernance dans l’entreprise ? 1. Les parties prenantes a) Qu’est-ce qu’une partie prenante Il s’agit d’un individu ou d’un groupe d’individus qui peuvent influencés

former les salariés. 2. Analysez le mode de gouvernance de l’entreprise. Point 1.3 Diriger et décider Les parties prenantes et les contre-pouvoirs Il est courant de distinguer le mode de gouvernance actionnariale du mode de gouvernance partenariale. L’entreprise Nespouls développe le second mode de gouvernance. • Elle prend en compte les intérêts des parties prenantes : - les salariés par la formation accordée et une capacité d’écoute ; - les fournisseurs par le respect de leur

Chapitre 5 : parties prenantes et contre-pouvoirs   I) L’influence des parties prenantes sur le processus de décision   A. DÉFINITION ET TYPOLOGIES DES PARTIES PRENANTES Pour R. Edward Freeman, philosophe et professeur américain, une partie prenante est un individu ou un groupe d’individus qui peut affecter ou être affecté par la réalisation des objectifs de l’entreprise. Les parties prenantes peuvent être des individus, des communautés, des groupes sociaux ou des organisations définis par leur

5 parties prenantes et contre-pouvoirs Objectifs du chapitre : ➢ Cerner l’influence des parties prenantes sur le processus de décision ; ➢ Evaluer les enjeux liés aux intérêts des parties prenantes ; ➢ Montrer en quoi l’analyse des contre-pouvoirs permet-elle d’appréhender le fonctionnement de l’entreprise ? ➢ Montrer en quoi le mode de gouvernance de l’entreprise permet-il d’arbitrer entre des intérêts contradictoires ? I. L’influence des parties prenantes sur le processus

également en compte les attentes du personnel ainsi que la satisfaction du client. La finalité de Nespouls intègre 3 dimensions : La dimension économique par la réalisation d’importants investissements dans les 2 centres de traitement de fèves, la modernisation des ateliers, développement des points de ventes La dimension sociale par la création d’emploi, l’amélioration des conditions de travail et de production a Madagascar et en Equateur, par l’écoute des salariés en prenant en compte leur aspiration

entrepreneuriale qui est mise en place dans l'entreprise. En effet, Jacques Tromer a investi des capitaux personnels dans son affaire et a donc pris beaucoup de risques financiers. Il est le seul qui prend les décisions et qui a recruté la plus grande partie de ses salariés. Il a aussi ouvert ses capitaux à des actionnaires ce qui va entraîner une logique managériale dans l'entreprise. 3) Un indicateur pertinent est un indicateur qui correspond aux objectifs fixés. Il doit permettre de contrôler l’activité

subordonné. Simon affirme que la décision est le résultat d’un processus en 3 étapes : IMC (identifier les problèmes, réfléchir à des modes d’action et choix d’une solution) Les parties prenantes selon Freeman sont définies comme celles liées par une relation contractuelle (salariés, clients, fournisseurs..) et les parties prenantes de second rang à savoir médias, presse, concurrents, gouvernements) Cyert et March étudient la firme comme une coalition de groupes aux intérêts divergents. Les comportements

». Peter Drucker (1909 – 2005 auteur de management autrichien) La satisfaction du client est la finalité de l’entreprise ; la recherche du profit n’est donc pas une fin en soi. Le management est le fait de la direction générale qui doit avoir une vision à long terme et l’organisation doit être décentralisée. Henry Mintzberg (1939 professeur de management canadien) Il est à l’origine des idées de stratégie délibérée (ou anticipée) et de stratégie émergente. Il a aussi cherché à savoir comment les

pour privilégier la satisfaction de toutes les parties prenantes. Cela est dû principalement aux particularités du model capitaliste japonais, dans lequel il existe une complémentarité institutionnelle entre le marché du travail et le marché financier. A la différence du modèle japonais, le modèle américain est gouverné par un système capitaliste de type libéral, reposant plus sur des considérations financières que sur les intérêts des parties prenantes. Par ailleurs, dans le système japonais, nous

des fondateurs de la sociologie d’entreprise : il est considéré comme étant l'un des principaux théoriciens français de la sociologie des organisations. Il a fortement contribué au développement de cette discipline en France, en prenant la suite des travaux de Michel Crozier au sein du Centre de Sociologie des Organisations. Il a également développé la sociologie de l'entreprise rapprochant la sociologie des organisations vers la sociologie du travail par la confrontation des différentes approches