Vision De Crozier Sur Les Attentes Des Parties Prenantes

dirigeants doivent sans cesse chercher des ajustements entre les différentes logiques conflictuelles ou les compromis ➢ et donc les décisions prises apparaissent comme le résultat de négociations entre les différentes parties prenantes |[pic] |Michel CROZIER | | |(1922) | |

allouer les ressources matérielles et humaines, construire une structure permettant à l’entreprise de fonctionner avec les objectifs qu’on veut atteindre. L’organisation dépend des ressources mises à disposition * Le commandement : tirer le meilleur parti des employés par l’autorité et l’exemplarité (compétences + comportements) dans l’intérêt de l’organisation. Fayol s’aperçoit que l’obéissance des salariés n’est pas acquise (elle se mérite) et ne doit pas être systématique (parfois il ne faut pas

profit n’est donc pas une fin en soi. - Les principaux objectifs se trouvent à l’extérieur de l’entreprise, dans son propre environnement puisqu’il s’agit de satisfaire le consommateur. - Le management relève de la direction générale qui doit avoir une vision à long terme. - L’organisation doit être décentralisée. La DPO (Direction par objectifs) nécessite des conditions de coordination et de cohésion interne. Fiche auteur Page !1 sur 10 ! Alfred P. Sloan «Mes années à la (1875-1966) General Motors

l’unité d’analyse rêvée par Durkheim. La crise du structuralisme va permettre l’émergence de courants théoriques faisant montre, révélant de l’hétérogénéité des problèmes sociologiques. Nous nous limiterons à 4 grands courants théoriques : Boudon, Crozier, Bourdieu et Touraine. Chapitre 1 : Raymond Boudon et l’individualisme méthodologique. Raymond Boudon est né en 1934. Agrégé de philosophie, il consacre sa thèse de doctorat à l’analyse mathématique des faits sociaux où il défend une sociologie

à l’étape de fixation des objectifs, c'est-à-dire au pilotage de l’entreprise dans son environnement futur. Ce pilotage s’effectue en prenant en compte la position de l’entreprise par rapport à ses concurrents, mais aussi les forces dont elle dispose ainsi que les opportunités de l’environnement. C’est la vision de ce que l’on veut (où on veut aller) Cette vision à long terme, prise par les dirigeants de l’entreprise afin d’assurer sa pérennité. Elle peut concerner plusieurs domaines dont les plus

à l’étape de fixation des objectifs, c'est-à-dire au pilotage de l’entreprise dans son environnement futur. Ce pilotage s’effectue en prenant en compte la position de l’entreprise par rapport à ses concurrents, mais aussi les forces dont elle dispose ainsi que les opportunités de l’environnement. C’est la vision de ce que l’on veut (où on veut aller) Cette vision à long terme, prise par les dirigeants de l’entreprise afin d’assurer sa pérennité. Elle peut concerner plusieurs domaines dont les plus

management. Troisième histoire, fondateur de Microsoft en 1983, Bill Gates et Paul Allen Le management c’est aussi bâtir (entreprise moyennemultinationale) Dans l’histoire, le management était considéré comme un art puis s’est transformé en science à partir du moment où on commençait à expérimenter. Observer afin de tirer une loi générale. Qu’est-ce que le management et quel est son intérêt dans le monde aujourd’hui ? I/ L’environnement économique et les organisations : A/L’environnement économique

exploitant un avantage concurrentiel. En découle de la stratégie des choix stratégiques qui orientent l’entreprise vers sa pérennité en prenant compte des évolutions de l’environnement. L’environnement est l’évolution des parties prenantes qui entourent l’entreprise tel que la politique, l’économique, le social, la technologie, l’écologie et le législatif. En prenant compte de ses éléments, il peut y avoir une influence sur la structure de l’entreprise qui désigne l’architecture générale de l’entreprise

travail) de l'entrepreneur, alors qu'elle est plutôt du ressort du chef d'entreprise. Cette conception est également contraire à celle, marxiste, qui place l'origine du profit dans la confiscation de la plus-value, c'est-à-dire l'appropriation d'une partie du fruit du travail des salariés par le rentier-capitaliste. L'innovation revient le plus souvent à détenir une position favorable dans sa branche. Schumpeter considère les monopoles nés de l'innovation comme nécessaires à la bonne marche du capitalisme

Gouvernement d’entreprise [pic] Introduction Partie I : cadre préliminaire I- le pouvoir : notions et sources   1- définition du pouvoir 2- les sources du pouvoir  II- le pouvoir managérial et  le pouvoir actionnarial 1- le pouvoir managérial 2- le pouvoir actionnarial  Partie II: le pouvoir managérial versus le pouvoir actionnarial I- la situation initiale: la dominance du pouvoir discrétionnaire II-