Vitraux de Chartres

Pourquoi ? 1. Le roi est toujours sacré le premier, en général peu de temps après l’accès au roi. Les reines peuvent être sacrées beaucoup plus tard. Il n’y a plus de sacre conjoint. 2. Le roi est toujours sacré à Reims (Henri IV est couronné à Chartres) et s’inscrivent toujours dans une histoire sacrée. Les reines sont toujours sacrées à Saint-Denis dans la basilique royale et jamais à Reims. On exclut donc les reines de la dimension religieuse ; elles ne bénéficient pas d’une grâce divine particulière

cisterciens insistaient sur la nécessité d’orner uniquement l’âme de leurs frères et refusaient en conséquence les ornements dans leurs églises, à la différence des bénédictins portant trop, leur semblait-il, d’attention aux édifices, à la richesse des vitraux et à leurs vêtements liturgiques. La comparaison nous semble justifiée car, de même, les ornements extérieurs des locaux, les objets de la Loge et ceux manipulés physiquement au cours du rite ne doivent pas faire oublier qu’ils ne sont nécessaires

parler d'elle, ajouta timidement : −− " Est−ce que je ne pourrai pas la voir ? " Elle était dans son pays, près de sa mère malade. Il n'osa faire de questions sur la durée de cette absence. Il demanda seulement quel était le pays de Mme Arnoux. −− " Chartres ! Cela vous étonne ? " −− " Moi ? non ! pourquoi ? Pas le moins du monde ! " Ils ne trouvèrent, ensuite, absolument rien à se dire. Arnoux, qui s'était fait une cigarette, tournait autour de la table, en soufflant. Frédéric, debout contre le poêle

centaines d’années, était l’orgueil des habitants de la ville et son ornement principal. Né dans la deuxième moitié du XIIe siècle, l’art gothique connaоt son plein épanouissement au XIIIe siècle. Les cathédrales de Paris, d’Amiens, de Reims et de Chartres en sont les plus beaux monuments. Par rapport au style roman, le style gothique représente une estyétique nouvelle, mais en mкme temps c’est le caractère général de l’activité artistique qui se transforme ; l’art religieux qui était presque

d’elle, ajouta timidement : — « Est-ce que je ne pourrai pas la voir ? » Elle était dans son pays, près de sa mère malade. Il n’osa faire de questions sur la durée de cette absen-ce. Il demanda seulement quel était le pays de Mme Ar-noux. — « Chartres ! Cela vous étonne ? » — « Moi ? non ! pourquoi ? Pas le moins du mon-de ! » Ils ne trouvèrent, ensuite, absolument rien à se dire. Arnoux, qui s’était fait une cigarette, tournait autour de la table, en soufflant. Frédéric, debout contre le poêle

qui ont permis de renouveler les métiers d’art français. Conseiller de Louis VI, puis de Louis VII, Suger, abbé de Saint-Denis, est le premier grand mécène des métiers d’art du XVe siècle : il fait travailler des orfèvres et réaliser de magnifiques vitraux et une croix monumentale pour son abbaye. C’est à cette époque que les objets en « œuvre de Limoges » (tabernacles, croix, chandeliers ….), mariant dorures et émaux polychromes, sont vendus dans l’Europe entière. Aux XVe et XVIe siècles, les métiers

qui ont permis de renouveler les métiers d’art français. Conseiller de Louis VI, puis de Louis VII, Suger, abbé de Saint-Denis, est le premier grand mécène des métiers d’art du XVe siècle : il fait travailler des orfèvres et réaliser de magnifiques vitraux et une croix monumentale pour son abbaye. C’est à cette époque que les objets en « œuvre de Limoges » (tabernacles, croix, chandeliers ….), mariant dorures et émaux polychromes, sont vendus dans l’Europe entière. Aux XVe et XVIe siècles, les métiers

Cambremer Méséglise, ni la plus jeune une Valintonais. Peu nombreux, peut-être même pas recrutés dans la plus haute aristocratie (ce ne sont pas forcément les dévots, ni même les catholiques, qui sont le plus savants concernant la Légende Dorée ou les vitraux du XIIIe siècle), mais souvent dans une aristocratie secondaire, plus friande de ce qu’elle n’approche guère et qu’elle a d’autant plus le loisir d’étudier qu’elle le fréquente moins, se retrouvant avec plaisir, faisant la connaissance les uns des

à son tour fidélité et protection. Acte bilatéral, même si il y a inégalité. L’hommage crée un lien qui est durable. II) Les obligations qui résultent du lien de vassalité. Elles apparaissent comme des obligations limitées. Fulbert, évêque de Chartres, écrit au duc d’Aquitaine, et lui explique ce qu’est la vassalité. « Le vassal ne doit pas nuire à son seigneur, ni dans sa personne, ni dans sa dignité, ni dans son bien. Il ne doit pas faire la guerre à son seigneur ». C‘est ainsi qu’il explique

Saint-Nectaire (dépassant à certains endroits les 80 m.), mais ce fait est renforcé par l’architecture de la cathédrale (tours, clocher, arcs-boutants) et par la décoration des façades. L’intérieur est également plus lumineux, dans la mesure où de larges vitraux viennent l’éclairer. Les éléments architecturaux sont plus travaillés : la forme des arcs brisés et des voûtes gothiques renforce l’impression de verticalité et de luminosité. Quant aux plans des deux édifices, ils présentent les mêmes éléments