Vivons Heureux Vivons Cachés

se serait produite: une femme qui criait (moi) alors qu’un fou s’approchait d’elle avec un pistolet. Si elle n’obéissait pas, le pistolet tirerait... et il en serait fini de sa vie à 16 ans. Quelle idée avais-je de courir dans les bois, de me cacher et de m’y assoupir? Tout cela pour ne pas perdre un défi… *** J’étais venue passer une semaine de vacances à la campagne avec ma famille et mon ami d’enfance. Ce dernier me connaissait bien, trop bien même. Sinon il ne m’aurait pas demandé cela

chose» ? Agent complice des EF: Mes amis j’ai une information importante pour vous. La semaine prochaine une mission viendra de la direction des eaux et forêts pour faire des perquisitions au niveau des sites d’exploitation. Alors, il faut cacher vos tronçonneuses pendant cette période. Faut pas nous créer des problèmes avec nos patrons. Les deux (02) exploitants Merci infiniment chef, nous savons que nous pouvons toujours compter sur vous. Tenez ce petit cadeau pour votre bière

beauté par des artifices qu’elles croient servir à les rendre belles : leur coutume est de peindre leurs lèvres, leurs joues, leurs sourcils et leurs épaules, qu’elles étalent avec leur gorge, leurs bras et leurs oreilles, comme si elles craignaient de cacher l’endroit par où elles pourraient plaire, ou de ne pas se montrer assez. Ceux qui habitent cette contrée ont une physionomie qui n’est pas nette, mais confuse, embarrassée dans une épaisseur de cheveux étrangers, qu’ils préfèrent aux naturels et dont

reprenant cette place rendue, À mille coups mortels contre eux me dévouer, Et chercher en mourant à la désavouer. L'Euxin, depuis ce temps, fut libre, et l'est encore ; Et des rives de Pont aux rives du Bosphore, Tout reconnut mon père, et ses heureux vaisseaux N'eurent plus d'ennemis que les vents et les eaux. Je voulais faire plus. Je prétendais, Arbate, Moi-même à son secours m'avancer vers l'Euphrate. Je fus soudain frappé du bruit de son trépas. Au milieu de mes pleurs, je ne le cèle

si chère; J'ignore jusqu'aux lieux qui le peuvent cacher. THÉRAMÈNE Et dans quels lieux, seigneur, l'allez-vous donc chercher ? Déjà pour satisfaire à votre juste crainte, J'ai couru les deux mers que sépare Corinthe; J'ai demandé Thésée aux peuples de ces bords Où l'on voit l'Achéron se perdre chez les morts; J'ai visité l'Élide, et, laissant le Ténare, Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare. Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats Croyez-vous découvrir la trace de ses pas

ANTHOLOGIE POÉTIQUE : LE VOYAGE Apparition de ma cousine Carolinetta, Salvador Dali, 1934 1 SOMMAIRE -Préface...................................................................................................................... 3 -Heureux qui comme Ulysse, Joachim du Bellay, 1558............................................. 7 -Le voyage, Jean-Pierre Claris de Florian, 1799........................................................ 9 -Saltimbanques, Guillaume Apollinaire, 1913..

; J'ignore jusqu'aux lieux qui le peuvent cacher. THERAMENE  Et dans quels lieux, Seigneur, l'allez-vous donc chercher ?  Déjà, pour satisfaire à votre juste crainte,  J'ai couru les deux mers que sépare Corinthe ;  J'ai demandé Thésée aux peuples de ces bords  Où l'on voit l'Acheron se perdre chez les morts ;  J'ai visité l'Élide, et, laissant le Ténare,  Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare.  Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats  Croyez-vous découvrir la trace de

tête si chère ; J’ignore jusqu’aux lieux qui le peuvent cacher. THÉRAMÈNE Et dans quels lieux, seigneur, l’allez-vous donc chercher ? Déjà, pour satisfaire à votre juste crainte, J’ai couru les deux mers que sépare Corinthe ; J’ai demandé Thésée aux peuples de ces bords Où l’on voit l’Achéron se perdre chez les morts ; J’ai visité l’Élide, et laissant le Ténare, Passé jusqu’à la mer qui vit tomber Icare. Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats Croyez-vous découvrir la trace de ses pas ? Qui

tête si chère ; J'ignore jusqu'aux lieux qui le peuvent cacher. THÉRAMÈNE Et dans quels lieux, Seigneur, l'allez-vous donc chercher ? Déjà, pour satisfaire à votre juste crainte, J'ai couru les deux mers que sépare Corinthe ; J'ai demandé Thésée aux peuples de ces bords Où l'on voit l'Acheron se perdre chez les morts ; J'ai visité l'Élide, et, laissant le Ténare, Passé jusqu'à la mer qui vit tomber Icare. Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats Croyez-vous découvrir la trace de ses pas ?

si chère ; J’ignore jusqu’aux lieux qui le peuvent cacher. THERAMENE Et dans quels lieux, Seigneur, l’allez-vous donc chercher ? Déjà, pour satisfaire à votre juste crainte, J’ai couru les deux mers que sépare Corinthe ; J’ai demandé Thésée aux peuples de ces bords Où l’on voit l’Acheron se perdre chez les morts ; J’ai visité l’Élide, et, laissant le Ténare, Passé jusqu’à la mer qui vit tomber Icare. Sur quel espoir nouveau, dans quels heureux climats Croyez-vous découvrir la trace de ses pas