Vivre Au Sens Biologique

décrit par deux concepts-clés qui sont la disjonction et la réduction. La disjonction c’est séparer ce qui liée alors que la réduction unifie ce qui est divers. Par exemple, l’homme est biologique, culturel et métabiologique. D’un côté, l’homme est ainsi étudié au niveau biologique dans le département biologique comme étant un être physiologique et anatomique. D’un autre côté, l’homme culturel est étudié dans le département de sciences humaines et sociales. Mais on ne peut pas nier le fait que l’un

CULTURE A. La notion de nature B. La notion de culture II. LE RAPPORT NATURE/CULTURE A. La différence homme/animal B. Les apports de l'ethnologie C. Absence de nature humaine III. LA DOUBLE DIMENSION DE L'HOMME A. La dimension biologique et le racisme B. La dimension culturelle et l'humanisme C. L'unité de l'homme IV. LA DIVERSITE CULTURELLE ET LA NOTION DE PROGRES A. La tendance à l'ethnocentrisme B. La critique de LEVI-STRAUSS C. La nécessité de la diversité culturelle

Les hommes ne peuvent pas vivre sans lois Tant que Robinson Crusoé vit isolé, il n’a que faire des lois, et en cela loi dans le sens, en tant que normes réglant sa conduite . Puisqu’il est le seul et unique titulaire des prérogatives, il possède donc souverainement une liberté totale de faire ce qu’il souhaite. Mais l’appartion de Vendredi change sa condition. Cette rencontre marque le dèbut du besoin manifeste de lois, déstinés à lisser les conflits inévitables qui surgissent dès lors que

faut vivre d'abord et philosophé ensuite. C'est une thématique qui existe depuis l'antiquité : faut-il philosopher avant la vie, dans sa jeunesse, la réflexion philosophique préparant à la vie future ou après la vie, "à la retraite", pour devenir un vieux sage et donner un sens à ce que l'on a vécu ? Philosopher, c'est rechercher la sagesse dans cette problématique, plus largement, philosopher, c'est pratiquer la philosophie, c'est à dire réfléchir, exercer sa raison dans une quête de sens et/ou

respirer, boire, manger ( →alimentation adaptée, aménagement de l'espace..), éliminier, se vêtir, maintenir sa température corporelle, se reposer/dormir ( pour avoir l'énergie nécessaire et évidente pour vivre), se mouvoir (utiliser toutes les parties de son corps, ex. Des mains liées..), vivre sa sexualité - Ces besoins sont prioritaires, ce qui signifie que l'homme cherchera à les satisfaire avant tous les autres. 2. LES BESOINS DE SECURITE - il s'agit des besoins de se protéger et de

de vue « culturel » au sens où le comportement humain ne se réduit pas à des besoins naturels et à des instincts (l’homme est aussi un être intellectuel et social). 1ère grande idée : on ne peut séparer nature et culture comme 2 domaines disjoints, comme 2 choses : Nature et Culture sont 2 points de vue sur une même chose, 2 horizons. De ce fait, il ne faut pas prendre ces 2 termes au sens propre mais au sens figuré. Ce sur quoi nous nos interrogeons c’est le sens des relations entre ces

éprouve dans le sens éprouver des émotions mais aussi se mettre à l'épreuve. L'objet du cours et de comprendre ce qui émane de la psychanalyse et qui tente d'aborder une conception de sens de ce que nous sommes. Qu'est-ce que le psychisme? La réalité psychique? C'est ce qui permet à chacun de donner du sens aux rapports cité ci-dessus. C'est aussi ce qui caractérise le fonctionnement de l'humain par rapport aux autres espèces. Le psychisme donne sens, produit du sens. Le mot sens a ici deux significations

domestique. Il précise qu’être en couple, c’est « Etre libre ensemble » et que la famille est le lieu où se fabriquent des identités, par le jeu des recompositions familiales. On est de plus en plus confronté à des familles dans lesquelles le lien biologique ne coïncide plus avec le lien affectif, avec donc des conséquences sur la construction de l’enfant. Les nouveaux liens familiaux sont plus exigeants, plus précaires, plus contractuels, les réseaux familiaux sont fondés sur des « affinités électives »

opposition à la culture, c’est ce que l’on n’a pas besoin d’acquérir à la naissance, l’ensemble des propriétés qui caractérisent un être, comme le corps, les besoins fondamentaux : faim, soif, sommeil, sexualité, tout ce qui est lié à l’évolution biologique. Donc, parler de nature humaine, c’est parler des propriétés de l’homme, c'est-à-dire montrer qu’il existe un certain nombre de caractéristiques communes à tous les hommes sans faire d’exception. C’est donc dire qu’il existerait une définition

lequel la vie se maintient par l 'incitabilité qui permet aux êtres vivants d'être affectés et de réagir ; les maladies résident dans une modification de cette propriété. Dès lors, traiter les maladies doit consister à corriger l'incitation dans le sens de l'accroissement ou de la diminution, et il importe de trouver le moyen de mesurer le phénomène pathologique. Lynch, l'un des disciples de Brown, construira une échelle des degrés d'incitation, qui se veut un véritable thermomètre de la santé et