Vocabulaire Madame Vauquer

éance 2 : L.A « La pension Vauquer » (p.12-14) –Questions p.362 Questions préparatoires : 1-Pourquoi Le Père Goriot occupe-t-il une place fondamentale dans le cycle de la Comédie humaine ? Le Père Goriot occupe une place fondamentale dans le cycle de la Comédie humaine car il met en place la stratégie littéraire balzacienne du retour des personnages. Il met en pratique la théorie de l’influence des milieux sur l’être humain et de la physiognomonie. 2-Qui est Geoffroy St-Hilaire et quel lien entretenait-il

L’organisation du récit : la narration.- Le roman réaliste. | Partie 01 : « Monsieur Goriot était un homme frugal… un espion attaché à la haute police. » | lecture analytique1 | 4 | Activités de langue 1 | 1h | La modalisation | - La modalisation : le vocabulaire : valorisant/ dévalorisant. | | lecture sélective1 | 5 | Expression écrite 1 | 1h | - Le plan analytique :1. Lire l’énoncé et définir les mots clés.2. Chercher les idées. | Sujet 1 : La calomnie est un fléau social très répandu au Maroc. Quelles

5 10 15 20 Le père Goriot, vieillard de soixante-neuf ans environ, s'était retiré chez madame Vauquer, en 1813, après avoir quitté les affaires. Il y avait d'abord pris l'appartement occupé par madame Couture, et donnait alors douze cents francs de pension, en homme pour qui cinq louis de plus ou de moins étaient une bagatelle. Madame Vauquer avait rafraîchi les trois chambres de cet appartement moyennant une indemnité préalable qui paya, dit-on, la valeur d'un

(pour un oral) Un extrait du Père Goriot, roman daté de 1833, avec lequel Balzac installe la veine du roman réaliste. Les 2 extraits appartiennent au début du roman, nous sommes encore dans la fonction informative de l’ouverture, dans la pension Vauquer. Il s’agit de la présentation du personnage éponyme. Curieusement, ces 2 portraits ne sont espacés que de qq pages, et de qq années. Ils témoignent de l’histoire récente du PG, et de sa déchéance rapide. Celle-ci ne sera donc pas le sujet du roman

cette pension. Champ lexical de la laideur, vocabulaire dépréciatif. « Cette pièce est dans tout son lustre ». « Ici règne une misère sans poésie ». La misère est personnifiée. Elle impose son règne partout (lieux et personnages). Deuxièmement, la présentation du personnage principal est particulièrement bien détaillée. Champ lexical de la vieillesse Oxymore embonpoint blafard qui souligne le délabrement de la santé de Madame Vauquer Enfin, Balzac illustre dans cet extrait à saveur

| | | | | |4. Cohabitations de |L’arriviste n’ap-partient-il|L’art du portrait. |Vocabulaires mélioratif et |Extraits du Lys dans la|S’intéresser aux canons |Mettre en relation un texte et | |personnages |qu’à la classe sociale des |Comprendre que le courant |dépréciatif ; |Vallée

de Goriot, il fait celui d’un contre-exemple, la fille abandonné du père, qui vit dans une misère forcée par le désintérêt paternel et le mépris du frère préféré par le père. Victorine Taillefer est une malheureuse enfant qui vit dans la pension Vauquer comme une jeune pousse croîtrait maladivement plantée dans un sol contraire à son épanouissement. Balzac pratique la physiognomonie qui passait pour science de son temps : les traits physiques expriment les caractères secrets de l’âme parce qu’ils

même auteur, le narrateur réalise une description loin d’être statique sur Madame Vauquer et son environnement. Elle va de la pièce de la salle à manger à Mme Vauquer puis au pensionnaire. En effet, à coups de comparaison <<sa personne dodue comme un rat d’église ;sa figure fraîche comme une première gelée d’automme>>, de métaphore, et d’expression, l’on passe d’un milieu à l’autre. Le portrait de Madame Vauquer permet de comprendre le fonctionnement du pensionnat qui est aussi décrit

; mais effroyable tragédie parisienne »2 ? C’est dire que le premier chapitre sert d’une part à présenter les protagonistes du drame et de l’autre part à planter le décor où vont se mouvoir ces protagonistes. Certes, la description de la pension Vauquer foisonne de détails sur les personnages, sur l’architecture et sur les meubles. On dirait une description faite par un commissaire priseur qui inventorie les lieux et les objets avec la minutie de celui qui veille à ne rien oublier. Mais ce n’est

Mme de Marcillac, que Rastignac est introduit auprès de sa cousine : « Après avoir secoué les branches de son arbres généalogique, la veille dame estima que, de toute personnes qui pouvaient servir son neveu parmi la gent égoïste des parents riches, madame la vicomtesse de Bauséant serait la, moins récalcitrante ». Et c’est sa cousine qui lui apprend comment se comporter avec les femmes et qui lui permet de trouver l’amour avec Delphine de Nucingon. Mme Bauséant est considérée comme l’initiatrice