Voie normale

test de Wilcoxon, le test de Mann-Whitney… Un test statistique portant sur la loi de probabilité suivie par la population suppose que l’hypothèse nulle est vérifiée quand la population étudiée suit une loi de probabilité donnée, par exemple la loi normale et l’hypothèse alternative est celle selon laquelle la population ne suit pas cette loi de probabilité. IV- Risques d’erreur : Le but d’un test statistique est de rejeter ou garder l’hypothèse nulle, ceci se fait à travers les observations

car on découvre plus tard, par le biais d’Edwin Hubble, que l’univers est en perpétuelle expansion. Il permit ainsi d’améliorer la compréhension de la provenance de l’univers en démontrant qu’il y a d’autres galaxies à l’extérieur de la nôtre, la Voie Lactée, et que chaque galaxie dans l’univers se distancerait entre elles à une vitesse proportionnelle à leur distance. Donc, l’expansion de l’univers démontre clairement que l’univers ne peut être statique, étant donné que les galaxies s’éloignent

et 500.000 années-lumière de diamètre) et de forme. Le rayonnement provenant des galaxies permet de répartir ces dernières en galaxies normales et galaxies actives, parmi lesquelles se trouvent les quasars. Les regroupements de galaxies que l'on observe dans l'univers sont appelés amas et superamas. La galaxie à laquelle appartient le système solaire est la Voie lactée Système solaire : Le système solaire se compose du soleil , de 9 planètes et de leurs lunes, de la ceinture d'astéroïdes (entre

déplace très vite : elle parcourt en une seconde 300 000 km. Une année-lumière représente la distance parcourue en un an par la lumière. Dans l’Univers on distingue des galaxies rassemblées en un grand nombre d’amas et de super-amas. Notre galaxie, la Voie Lactée mesure 100 000 années-lumière de diamètre et compte 200 milliards d’étoiles. Le soleil est une de ces étoiles, autour desquelles gravitent neuf planètes : cet ensemble constitue le Système solaire. » Document 1 : L’Univers 1. A combien

en 1837 que s'ouvrit dans la banlieue parisienne une première ligne pour voyageurs, entre Paris et Saint-Germain, suivi en 1940 des deux lignes de Paris à Versailles, dites de la "Rive droite" et de la "Rive gauche. Durant la même année, une autre voie ferrée permettant également de transporter du charbon entre les mines de la Grand ‘Combe, Alès, Nîmes et Beaucaire sur le Rhône. En 1841 est construit la ligne de Strasbourg à Bâle qui est à la fois première ligne française à grande distance (140 Km)

1. TERMINOLOGIE Stomisé : patient dont une voie naturelle n’est pas fonctionnelle et ayant une stomie Stomie : abouchement sur la paroi abdominale permettant un court circuit des voies naturelles, on distingue plusieurs types de stomie, définies en fonction de la voie non fonctionnelle (iléostomie = stomie de l’iléon, colostomie = stomie du colon, urostomie = stomie de l’urètre) Poche de recueil : dispositif médical destiné à recueillir les effluents d’une stomie. Poche monobloc : poche munie

sonde vésicale à demeure. Appréhendant un nouvel épisode de rétention des urines, Monsieur A. a fait le choix d’une résection trans-urétrale de la prostate sous anesthésie péridurale. Les résultats des examens sanguins préopératoires se sont avérés normaux : • - Numération globulaire formule sanguine, • - glycémie, • - ionogramme, • - créatininémie ; ainsi que l’Examen Cyto-Bactériologique de Urines. Monsieur A. a donc été opéré le 14 juin 2002 à 8h d’une résection trans-urétrale

| | | |1. Sélection d’une voie d’administration | |2. Sélection d’une forme pharmaceutique

CHAPITRE 12. Variables al´atoires ` deux dimensions ; esp´rance conditionnelle. Lois normales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141 e D´finitions et premi`res propri´t´s. Loi de probabilit´ absolument e e ee e continue, densit´ de probabilit´. Loi de probabilit´ conditionnelle, e e e esp´rance math´matique conditionnelle, r´gression. R`gles de cale e e e cul concernant les esp´rances conditionnelles. La loi normale a e ` deux dimensions. Compl´ments et exercices. e e e CHAPITRE 13. Fonction g´n´ratrice

2.0 2 3 4 5 6 7 Fig. 1.2 – Densités estimées des longueurs des pétales selon les espèces (noir=”Setosa”, rouge=”Virginica”, vert=”Versicolor”). Nous pourrions supposer que ces densités ont une forme connue, par exemple la loi normale N (µ, σ), où bien entendu les paramètres de moyennes et de variances seraient différents d’une espèce à l’autre. Nous aurions alors que pour l’espèce 1 (noté Y = 1) la densité s’écrierait f (x|y = 1) = √ 1 1 exp − 2 (x − µ1 )2 , 2σ1 2πσ1 Régression