Volkspolizei

infranchissable. Les miradors (= point de vue : grande tours) sont omniprésent et ne cessent d’augmenter au fur et à mesure des années. Un second mur est édifié, renforcé par des pièges et surveillé par des rondes incessantes de Vopos (ou aussi nommés Volkspolizei : police nationale de l’Allemagne de l’est) et les points de passage entre l'Est et l'Ouest sont limités à deux : par exemple Checkpoint Charlie et celui à proximité de la gare de Friedrichstrasse. 5 043 le nombre de personnes à avoir réussi

pour rouler silencieusement, une clôture électrique de 2 mètres de haut Le Mur a connu 35 attentats (qui ont échoué), 5043 personnes qui se sont échappées à l’ouest (sous-terrains par exemple) C’est un no man’s land surveillé par les VoPos = Volkspolizei LA TRABANT , Birgit Kinder. ROSTROPOVITCH , BACH = symbole de liberté. 

la première véritable manifestation de masse qui réunit environ 70 000 personnes toujours à Leipzig. Peut-être pour ne pas prendre la responsabilité d'un bain de sang, les responsables locaux ordonnent aux différentes forces de sécurité (Stasi, Volkspolizei et NVA) de ne pas interrompre le défilé. Egon Krenz déclarera plus tard avoir personnellement donné cet ordre. Dès lors, le nombre des manifestants ne cessera d'augmenter les deux lundis suivant pour atteindre respectivement 120 000 porsonnes le

Bau der Mauer. In der Nacht vom 12. auf 13. August 1961 begann der Bau der Mauer. Der Bau der Mauer war zuvor ein großes Staatsgeheimnis der DDR, denn sie wurde vom der SED -regierung diese Nacht angeordnet unter den Schutz und der Aufsicht der Volkspolizei und der Soldaten der NVA (Nationale Volksarmee). Die Menschen wussten dies nicht und konnten deshalb auch nicht darauf reagieren. Viele Familien wurden getrennt, es war eine Katastrophe für ganz Europa und die Welt. Ab diesen Tag konnte man wirklich

séparées qui ne se voient plus pendant de longues années, même si le régime des visites à l’est a été élargi. Enfin, la vie est bouleversée. Plus moyen d’aller à l’ouest pour les berlinois de l’est : un no- - - man’s-land surveillé par les VoPos (Volkspolizei) longe le mur à l’est. Ceux qui veulent le franchir risquent leur vie : des centaines de personnes sont mortes durant une tentative. Berlin-ouest est « libre », mais est en fait encerclée par le mur qui l’isole à l’intérieur de la RDA. Même si

régime communiste. Un mur de 46 km de long est construit à Berlin dans la nuit du 12 au 13 août 1961. Franchir le Mur constitue un crime et une trahison : la photographie d'un membre de la police des frontières est-allemande (un Vopo, abréviation de Volkspolizei) sautant par-dessus les barbelés, le 15 août 1961, fait le tour du monde. Même si la propagande est-allemande vante la construction du Mur comme « protection antifasciste » pour éviter une agression venue de l'Ouest, celui-ci est entièrement orienté

régime communiste. Un mur de 46 km de long est construit à Berlin dans la nuit du 12 au 13 août 1961. Franchir le Mur constitue un crime et une trahison : la photographie d'un membre de la police des frontières est-allemande (un Vopo, abréviation de Volkspolizei) sautant par-dessus les barbelés, le 15 août 1961, fait le tour du monde. Même si la propagande est-allemande vante la construction du Mur comme « protection antifasciste » pour éviter une agression venue de l'Ouest, celui-ci est entièrement orienté

nation divisée en deux. C’est aussi le malheur de familles séparées qui ne se voient plus pendant de longues années.Leur vie est bouleversée. Plus moyen d’aller à l’ouest pour les berlinois de l’est : un no-man ‘s-land surveillé par les VoPos (Volkspolizei) longe le mur à l’est. Ceux qui veulent le franchir risquent leur vie. Berlin-Ouest est « libre », mais est en fait encerclée par le mur qui l’isole à l’intérieur de la RDA. La vie à l’ouest est soumise à l’oppression du mur. L’œuvre : 
Le «

les autorités Est-allemande (Slogan : « Gorby aide-nous ; Wir sind das Folk ; die Mauer musst weg »). Peut-être pour ne pas prendre la responsabilité d'un bain de sang, les responsables locaux ordonnent aux différentes forces de sécurité (Stasi, Volkspolizei et NVA) de ne pas interrompre le défilé. Les cérémonies officielles commenceront quand même le 6 octobre 1989. Tandis que Erich HONEKER rappelait dans son disocurs que la fondation de la RDA avait été «un tournant historique dans l’histoire du

première véritable manifestation de masse qui réunit environ 70 000 personnes toujours à Leipzig. Peut-être pour ne pas prendre la responsabilité d'un bain de sang, les responsables locaux ordonnent aux différentes forces de sécurité (Stasi, Volkspolizei et NVA) de ne pas interrompre le défilé. Egon Krenz déclarera plus tard avoir personnellement donné cet ordre. Dès lors, le nombre des manifestants ne cessera d'augmenter les deux lundis suivants pour atteindre respectivement 120 000 personnes