Volsques

paix et, au milieu du IVe siècle av. J.-C. des garnisons romaines stationnent dans le Sud de l'Étrurie et un grand nombre de colons romains s'établit dans la région. Des victoires sur les Volsques, les Latins et les Herniques permettent aux Romains de contrôler l'Italie centrale. Une révolte des Latins et des Volsques est matée et, en 338 av. J.-C. la Ligue latine, une confédération des cités du Latium déjà ancienne, est dissoute. De puissantes coalitions, composées d'Étrusques, d'Ombriens, de Gaulois

française classique. Vers 1638, il peint sur commande Volumni et Veturie devant Coriolan. Cette peinture historique représente une scène de l'histoire romaine : Coriolan, nommé général, fut déshonoré par Rome et décide de faire alliance avec le peuple Volsque, l'armée romaine lui envoie sa mère ( Veturie ) sa femme ( Volumni ) et ses enfants pour le convaincre de revenir vers le peuple romain. Ainsi on peut se poser la question de comment le peintre procède pour montrer la supplication de la famille et

de la gens Fabia parviennent sept fois d'affilée au consulat : Quintus Fabius en 485 et 482, Caeso Fabius en 484, 481 et 479 et Marcus Fabius en 483 et 480. En 485 av. J.C., Quintus est élu consul, il remporte des victoires militaires contre les Volsques (peuple italique vivant dans les marais au Sud du Latium) et les Èques (peuple italique du Nord-est du Latium). Il décide alors de vendre le butin et de reverser les bénéfices au trésor public. Il a fait un très mauvais choix pour ce qui est de sa

droite de la partie finale du cours du Tibre, des monts Albains jusqu’à la côte de la mer Tyrrhénienne. Leur territoire était limitrophe de celui des Étrusques dont la zone d'influence commençait immédiatement sur la rive septentrionale du Tibre. Les Volsques, d’origine osque, occupaient la partie méridionale du Latium et les monts Lépins ; les Aurunces la côte tyrrhénienne à cheval sur l’actuelle limite entre le Latium et la Campanie ; au nord, sur les monts Apennins, se trouvaient les Sabins ; à l’est

voisins du Latium. C’est un signe que désormais, la cité est reconnue comme entité politique. A l’issu de ce traité, Rome connait certains succès qui lui garantis contre les voisins belliqueux qui pose un certain nombre de pb qui sont au Sud : les VOLSQUES et au Nord les EQUES. Ils sont réputés pour être remuant. Cet ensemble de difficultés freine Rome et sont confirmés par une baisse démographique importante. En effet, à l’époque des rois étrusque, la population avoisinait les 130 000 habitants.

conduite, la noblesse de son origine. On a sur la condition de son père des opinions très opposées : les uns prétendent qu'il naquit et fut élevé dans la boutique d'un foulon ; les autres font remonter sa maison à ce Tullus Attius qui régna sur les Volsques avec tant de gloire. Le premier de cette famille qui eut le surnom de Cicéron fut un homme très estimable ; aussi ses descendants, loin de rejeter ce surnom, se firent un honneur de le porter, quoiqu'il eût été souvent tourné en ridicule. Il vient

controle définitif de cette région avant les années qui suivirent la prise de Tarente en 272. Note 131 P 415 Parmi les populations littorales, entre les Ausones et les Campaniens, ces lucaniens du Volturne nouèrent, conjointement avec les peuples volsques des Fabraterniens, des contacts diplomatiques avec Rome dès l'année 330. Comme, d'autre part, une cohorte de leurs combattants avait été assujettis dans cet intervalle chronologique. La Lucanie dont scipion Barbatus obtint la soumission possède donc

aux prises Rome et les Latins, et fit de ses anciens alliés de véritables sujets, il n'y eut pas de colonie exclusivement romaine. Les colonies fondées par les rois (Signia et Circeii par Tarquin le Superbe), et par la république au détriment des Volsques, des Rutules, des Etrusques, ennemis communs de Rome et des Latins, paraissent l'avoir été d'accord entre ceux-ci. Les Romains eurent le rôle directeur; les nouvelles cités étaient assimilées aux autres villes du Latium; elles concouraient à assurer

Monarchie, suivi par une crise militaire, économique et politique. D’une part à l’intérieur il y a des graves problèmes sociaux, déterminés par des tensions croissantes entre plèbe et patriciat. D’autre part vers l’extérieur on a les guerres contre les Volsques (qui habitent une zone de collines et de marécages au sud du Latium) et les Èques (qui vient de l’est entre la vallée de l'Anio, du Tolenus et de l'Himella) ainsi que parfois les Sabins (du nord-est) des montagnards (pag. 22 fascicule), qui cherchent

(patriciens = hautes magistratures et siègent au Sénat) b. Politique extérieure Rome lutte contre ses voisins immédiats ; alliée aux Latins, elle guerroie contre les Eques, les Volsques et les Etrusques. La politique devient plus autonome ; une alliance renouvelée avec les Latins permet à Rome de refouler les Sabins, les Volsques et les Eques. A la fin du siècle, les Romains attaquent la ville Etrusque de Véiès, la prennent (Camille). Création de 4 tribus nouvelles sur la ripa etrusca. 5. Le IVème