Voltaire Gouge Laclos

Nous sommes invité à présenter 7 textes du corpus . Dans ce corpus nous retrouveront différents auteurs dont , Montesquieu avec «  Les lettres persanes » , Voltaire avec «  Femmes soyez soumises à vos maris » , Pierre-Ambroise Choderlos De Laclos avec «  Les liaisons dangereuses » , Laclos avec « De l'éducation des femmes  » , Nicolas De Condorcet «  Sur l'admission des femmes au droit de cité  » , Olympe de Gouges avec «  La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ». Ces textes présentent

prendre conscience que la paix leur serait bien plus profitable. Voltaire dans Candide ou l’Optimisme s’adresse à un peuple effrayé donc aveuglé et dominé par une religion devenue fanatique. Il veut qu’ils se rendent compte de l’absurdité et de l’injustice des croyances chrétiennes de l’époque qui mènent souvent à la violence, et donc qu’ils luttent contre l’intolérance. Dans son ouvrage Des femmes et de l’éducation, Choderlos de Laclos critique les femmes qui se sont laissées réduire en esclavage

 TEXTE N°1 : Mélanges, Pamphlets et Œuvres polémiques, « Femmes soyez soumises à vos maris », Voltaire (1768) INTRODUCTION : Voltaire est un philosophe des Lumières (XVIIème siècle), qui a combattu toutes formes d'injustices à travers ses œuvres. Dans « Femmes soyez soumises à vos maris », extrait de Mélanges, Pamphlets et Œuvres polémiques, il aborde un type d' « esclavage » bien spécial, la dépendance des femmes à leur mari. On assiste alors à un dialogue

aussi bien à camoufler leurs critiques des mœurs de la société ou encore, leurs idées révolutionnaires. Candide et Zadig de Voltaire en sont des exemples. Candide est un conte philosophique dans lequel Voltaire illustre son opinion sur le bonheur. Voltaire fait remarquer que le bonheur est une illusion et que la seule manière d’être heureux est de chercher le savoir ; comme dit Candide « Il faut cultiver notre jardin ».

contre les stéréotypes de la femme; comme par exemple Voltaire « les femmes sont capables de toute ce que nous faisons et la seule différence qu’il y ait entre elles et nous c’est qu’elles sont plus aimables » en ayant la réponse en 1774 , Le Journal des dames répondit : « Qu’importe à notre gloire qu’ils adorent les charmes que la vertu nous a donnés s’ils veulent dénigrer les vertus et les talents que le ciel nous a départis. » Voltaire dénonce la pendaison de la femme pour infanticide et