Voltaire Texte Ironique

 Ce corpus composé de trois textes, La Guerre et la Paix de Proudhon, datant de 1861, Encyclopédie datant de 1751-1766 avec l’article « paix » de Damilaville ainsi que Candide ou l’Optimisme réalisé par Voltaire en 1759, présente un thème commun, celui de la guerre que nous étudierons en interrogeant les différents procédés d’écriture que mettent en scène les auteurs pour défendre ou dénoncer l’idée de la guerre. Tout d’abord, Les textes de Proudhon et Damilaville constituent

d'une idée. Elle consiste essentiellement en un écart, un décalage entre ce qui est dit et ce qui est pensé. C'est une forme argumentative, mais aussi narrative et dramatique.   Plusieurs procédés rhétoriques sont couramment employés dans un but ironique: * l'antiphrase, qui consiste à dire le contraire de ce que l'on pense et que l'on veut faire comprendre. Ex : « Quel courage ! », peut-on dire pour se moquer d'un lâche. * la litote, qui est une figure d'atténuation, peut également être

Micromégas, Voltaire. Séquence 2-FR10 83 © Cned – Académie en ligne Introduction > Découverte de l’objet d’étude et de la problématique Chapitre 1 > A B ................................................................................... 87 Histoire littéraire : l’évolution des idées et la situation des écrivains au XVIIIe siècle Introduction historique « De la Régence à la Révolution » ................ 89 Présentation du groupement de textes (Voltaire, Montesquieu

Immédiatement, ce texte nous installe dans un registre ironique, dans l'humour. On se trouve dans l'incipit de l'œuvre. On a l'impression d'être dans un conte : « Il y avait », « château, baron, baronne, princesse, Candide ». C'est de l'argumentation, et l'argumentation plus la narration du conte = Apologue. Ce texte est parfaitement programmatique de l'œuvre : Incipit Réflexion sur le genre Registre Introduction : Le texte est extrait de Candide, de Voltaire publié en 1761.

I. Une conception pessimiste de l’Homme   A. L’Homme vu par Voltaire   Un lexique péjoratif   Dans ce texte, Voltaire a une conception très péjorative de l’Homme. En effet, on peut lire : - « ...faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers... » (l.2-3) - « ...les erreurs attachées à notre nature... » (l.5) - « ...nos débiles corps... » (l.8) - « ...entre tous nos langages insuffisants, entre tous nos usages ridicules, entre toutes nos lois imparfaites

L’univers du conte Avant toute chose, l’incipit met en avant un univers du conte traditionnel, qui est illustré dans le texte par les formules du conte, les éléments spatio-temporels et les poncifs ainsi que des personnages représentatifs de ce genre très codé, qui fait partie des références culturelles du lecteur. A. Les formules traditionnelles du conte Tout d’abord, Voltaire a recours à la formule traditionnelle du conte : « Il y avait en Westphalie » pour débuter son récit. Il l’inscrit de

Zadig, Chapitre 3 « Le chien et le cheval »« Le grand veneur et le premier eunuque » jusqu'à « de ne point dire ce qu'il avait vu » Voltaire à l'honneur à la cour de France car il est élu historiographe de France (sous Louis XV). Il est ami avec Madame de Pompadour et est courtisan. Mais il commence à agacer la Reine et le Roi par son insolence et son franc parlé. Il s'exile donc et publie Zadig.Voltaire fait l'écho de sa propre vie, passer de courtisan à mal aimé de la cour.Dans ce conte Zadig

Candide, de Voltaire Candide ou l'Optimisme , Traduit de l'allemand par Mr. le Docteur Ralph, avec les additions qu'on a trouvées dans l a poche du Docteur lorsqu'il mourut à Minden, l'an de grâce 1759 Candide est un conte philosophique paru en 1759 et né sous la plume du philosophe des lumières, Voltaire. Candide, dans son intégralité détourne la censure et dénonce tous les maux de la société du XVIIIème siècle. Tout d'abord Candide a été édité en Suisse, à Genève et pas sous le

l'Optimisme Voltaire. Ces deux documents sont des textes appartenant à la littérature du 18e siècle ; ils abordent tous deux le thème de l'esclavage. Le premier texte est un article extrait de l'Encyclopédie, ouvrage pléthorique auquel ont participé de nombreux philosophes des Lumières entre 1751 et 1772. Le second texte est extrait de Candide ou l'Optimisme de Voltaire, écrit en 1759 : c'est un conte philosophique dans lequel Candide, personnage naïf et inexpérimenté en début de texte, apprend combien

issu de l’Encyclopédie et rédigé par Denis Diderot sous la forme d’un essai entre 1751 et 1772 et un extrait de Candide ou l’Optimisme, conte philosophique écrit par Voltaire en 1759. Ces deux textes illustrent l’objet d’étude « convaincre, persuader, délibérer » et nous nous demanderons quel aspect argumentatif illustre chacun de ces texte. En effet, si « convaincre » fait appel à la raison du destinataire  en développant rigoureusement une thèse s’appuyant sur des arguments divers et des exemples,