Vote T On Comme On Est Socialement

Approches et Terrains Vote-t-on comme on est socialement ? Texte de Michael POLLAK, Paul F. LAZARSFELD fondateur d’une multinationale scientifique : Michael POLLAK, est l’auteur du texte Paul F. Lazarsfeld fondateur d’une multinationale scientifique, était un sociologue politique et moral ainsi qu’un historien de la seconde moitié du 20ème siècle. Ses travaux ont principalement portés sur l’histoire et la sociologie de la culture et sciences contemporaines : la recherche de l’identité

Séance 4 "On pense politiquement comme on est socialement" L'intérêt de discuter cette citation est de voir son degré de pertinence. Ainsi, il n'est pas nécessaire (et même déconseillé) d'abonder dans le sens de cette phrase : il faut aussi en pointer les limites ou les insuffisances. Rappeler qu'on est ici dans le cadre d'une vision déterministe selon laquelle l'orientation politique d'un individu dépend avant tout de ses attributs sociaux (The people's choice, Lazarsfeld). Mais il existe

Texte Lehingue: Les explications du vote. Patrick Lehingue, dans son texte Les explications du vote, étudie non pas à la différence d'Alain Garrigou la manière dont les individus votent mais au pourquoi de leur vote. Il s'intéresse aux motivations des individus, aux raisons de leurs votes. Tout d'abord l'auteur rappelle l'évolution de l'électorat passé du suffrage censitaire au suffrage universel proclamé en 1848. Il va s'intéresser à la manière dont les études électorales visent à caractériser

de Columbia ou paradigme de Lazersfeld Il a été mis au point à l’université de Columbia par Paul Lazarsfeld (un des premiers sociologues empiriques travaillant principalement sur la question des effets des médias : on représente les individus comme des individus passifs, absorbants). Pendant la campagne présidentielle de 1940 (Roosvelt/Willkie) : voir si oui ou non les médias ont vraiment des effets sur les comportements électoraux des américains. Lazersfeld va monter une équipe de recherche

I) D’un vote « assisté » vers un vote « éclairé » a- L’apprentissage du vote comme un choix raisonné Le vote ne s’est pas d’emblée imposé comme l’expression d’une opinons. Il fut conçut initialement comme une technique de ratification.la différence est importante. D’un côté on insiste sur la liberté d’un sujet, on exalte une voix personnelle d’où est censée émerger une raison éclairée. De l’autre, l’accent est porté sur une formule d’approbation. Alors, Qui est comment faire voter 

fonction de ses propres capacités de raisonnement. Le "nouvel électeur", l'électeur rationnel ou consommateur, sont autant d'appellations pour exprimer cette réalité. Toutefois, la rationalité de vote semble être un concept particulièrement ambigu ou polysémique : la rationalité doit-elle être comprise comme la simple capacité de calcul coût/avantage et donc être réduite à un aspect d'ordre économique ? ou bien peut-on imaginer d'autres formes de rationalité, plus complexe, faisant intervenir des éléments

Faut-il rendre le vote obligatoire ? En France, lors d'une élection, d'un référendum ou plus généralement d'une délibération, la volonté de s’abstenir marque le refus d'une personne à participer au vote. Les personnes qui s'abstiennent sont qualifiées d'« abstentionnistes ». Le vote blanc ou nul n'est pas compté dans l'abstention et leur suffrage est dit "non exprimés". Le taux d'abstention se calcule en divisant le nombre des électeurs n'ayant pas participés au vote par le nombres d'inscrits

encore le vote ? Plan L’appartenance sociale détermine t-elle encore le vote ? Le vote est il encore déterminé socialement ou est il le résultat d’un choix rationnel ? Le groupe social est il aujourd’hui le seul facteur déterminant le vote ou est ce que ce phénomène a évolué au cours des dernières années ? L’électeur est il devenu plus compétent et a-t-il ainsi changé sa manière de voter pour laisser place à un vote plus rationnel et individualiste ? I. L’appartenance sociale comme déterminant

Un électorat au profile social et démographique multiple et complexe. Le raccourci instinctif, nourris par les médias, d’un vote FN protestataire. Tente d’associer le vote FN à la crise, au chômage, et à l’insécurité, établissant par là un lien de causalité et systématique entre les succès électoraux du Front National et les problèmes sociaux. La réponse à cette impression répandue semble beaucoup plus complexe qu’il n’y parait. Tant l’électorat en question semble nuancé et hétérogène.

Le vote, expérience individuelle ou collective ? Introduction Conformément à l’article 3 de la Constitution de 1958, tous les Français majeurs jouissant de leurs droits civils et politiques ont le droit de voter, sans distinction de sexe, d’origine, de religion ou de conviction politiques.Beaucoup de nos idées politiques ont pris racine durant notre enfance ; c’est ce qu’on appelle la socialisation politique, définit par la Sociologue française Muriel Darmon comme l’ensemble des processus par