Voué

 Introduction : Phèdre c’est la tragédie de la passion. Dans l’œuvre ; l’amour que l’un des personnages voué a son beaux fils est perçu comme une force irrésistible. Une passion dévastatrice entre dés lors en jeu et donc prend une place considérable dans les écris de racine et dans notre exposé et qui est le désamour relation qui débouche a la haine la trahison ou la malédiction : la mort donc que nous qualifieront de passion tragique par excellence. Le chef d’œuvre de racine est imprégné

que l’Afrique est tout ce qui le conduit à l’isolement dans ce « tour de verset ». Vivant ainsi ses maux augmentent et persistent au point qu’il les assimile à des « migraines ». Voilà pourquoi il invoque les  « ancêtres » qu’il vénère et auxquels il voue un très grand respect ce qui explique l’utilisation du  « A » majuscule. Se situant dans une position privilégiée de versets transparents et de tour dominant tout, il a un champ visuel qui lui permet de scruter l’horizon. Cette vision le calme et

L'ouvrage est un roman b) Il s'agit d'aventures imaginaires et c'est un texte sentimental. 2.Etude de l'ouvrage a) C'est l'histoire de Jeff, un petit garçon de 13 ans. Il vient de déménager avec ses parents et son petit frère Bubby qui a 6 ans et qui voue à Jeff une trés forte admiration. Il a du mal a s'intégrer a cause de sa malformation au niveau des lèvres qui lui vaut le surnom de Grosse-Lèvre auprès de ses camarades. Il est rejeté par ses camarades à cause de sa cicatrice. Il n'a pas d'ami et

possible de l’activité poétique. Etant donné que vous n’avez pas choisi de faire des études d’alchimie, le plus raisonnable est de s’en tenir à cette interprétation. L’or, dans ces conditions, ce serait la beauté, et peut-être le poème lui-même ; poème voué à travailler sur ce qui existe de plus vil et de plus sale, trouvant peut-être même son sens et sa nécessité dans cette transformation. Comme s’il s’agit d’un vers de Baudelaire, on peut en effet le comprendre à travers ce que nous connaissons de sa

hypocoristique qui rappelle le registre pathétique : « la force du pauvre corps humain » vers 10. Ici, l’Homme n’apparait de plus que par métonymie à travers son enveloppe charnelle, ce qui tend à prouver que c’est bien uniquement le corps qui est voué à la destruction et non pas l’âme. Le registre pathétique est également présent par la présence d’une dévalorisation chrétienne : l’épithète de cette expression vise à faire ressentir au lecteur un sentiment de pitié. * L’Homme doit qui plus

-> L’Histoire n’aurait donc réellement pas de direction précise ; tout semble se répéter : les religions s’opposent depuis toujours, les crises économiques se succèdent et les guerres s’enchaînent. 3. Les crises/guerres -> «  Tout semble voué à la disparition, rien ne demeure. » -> gâchis des hommes ; l’histoire serait donc une destruction progressive de tout ce qui se reconstruit au fil du temps. La violence n’a pas de sens. -> (Transitoire)Cependant, Hegel pense que ce qui constitue

(ou Keats) pourraient être relégués dans l'oubli comme Ménandre : la précarité de la civilisation est alors soulignée. →pour bien montrer que tout est voué à disparaître ainsi que le souligne la métaphore « abîme de l'histoire … assez grand pour tout le monde » : la simplicité de la caractérisation illustre parfaitement l'idée que chacun est voué à disparaître. b) En évoquant le traumatisme effrayant de la 1ère guerre mondial (bilan de la guerre) : →Hyperboles « les plus belles choses et les

son éducation chez les Ursulines à Honfleur. Félicité va alors reporter son amour sur son neveu Victor qui s'engage pour un voyage au long cours dont il ne reviendra pas. Quelque temps après, Virginie meurt d'une fluxion de poitrine. Félicité, seule, voue alors une immense tendresse à Loulou, un perroquet dont on lui a fait cadeau. Suite à une angine, la servante devient sourde; ainsi isolée du monde, elle ne perçoit plus que la voix de son perroquet quand un matin d'hiver elle découvre Loulou mort

a une évocation de la vie avec des durées variables mais qui sont toutes destinées à la même fin. Les 2 premiers vers du premier tercet sont des images religieuses : le corps humain redevient poussière. Ils tirent la leçon des quatrains, tout est voué à la religion, car ce sont des paroles présentent dans les évangiles. «Le temps avec ses jours dévore ses trésors » = référence mythologique à Chronos, dieu du temps qui a dévoré ses enfants… On relève aussi quelques allitérations en « r » et « o

romantique est avant tout un anticonformiste qui provoque (cf. ledandysme)pour masquer son malaise. - Complaisance à la mélancolie : l’homme est voué à la souffrance. Le romantique finit par s’enfermer dans la tristesse dont il semble avoir besoin ! Le thème du déclin, de l’automne et de ses tempêtes, est un lieu commun de l’esprit romantique. Etre à part, voué à un destin sur lequel il n’a aucune prise - cf. Hernani de Hugo -, le romantique va mettre à profit cette insatisfaction pour échapper au monde