Voyage Aux Pays Du Coton

le développement fut difficile. De plus les nombreuses guerres ralentissaient le commerce. Mais lorsque Louis XIV mourut, lorsque les nombreuses guerres furent finies, un second souffle vint des îles, des Amériques. Des matières premières comme le coton, le sucre ou le café sont en pleine expansion. Il y a dans le même temps un réaménagement des grands ports et une croissance démographique importante dans ces zones. Entre 1704 et 1791, on passe de 700 navires commerciaux de plus de 100 tonneaux à

l’alcool, etc… Ces bateaux proviennent de pays différents tels que la Hollande, la France, l’Angleterre, le Danemark et l’Espagne. Une fois arrivés en Afrique, ils échangent leurs marchandises contre des esclaves. Les prisonniers sont ensuite enchainés et embarqués dans les bateaux européens. Ils partent en direction des Antilles. Sur le continent Américain, les esclaves sont vendus sur des plantations. Avec l’argent de ces ventes, les Européens achètent du coton, du café, du sucre, du tabac…

Christophe Colomb est la première personne de l’histoire à traverser l’océan Atlantique et en cherchant une nouvelle route vers les Indes , il découvre une route aller – retour entre le con continent américain et L’Europe .ll effectue en tout quatre voyages en tant que navigateur pour le compte des souverains espagnols qui le nomment avant son premier départ amiral ,vice-roi des Indes et gouverneur général des territoires qu’il découvrait . Christophe Colomb et la découverte

régime ne comportait aucun produit frais.    La soupe au chou utilisée alors devait contenir de la vitamine C en quantité suffisante pour les guérir du scorbut.  La bière d’épinette contient aussi de la vitamine C.  On sait que, lors du troisième voyage de Jacques Cartier en Nouvelle-France, durant l’hivernement de 1536, la plupart des hommes de son équipage ont été atteints de scorbut et que plusieurs en sont morts.  Ceux qui ont survécu l’ont pu grâce à une boisson que les Amérindiens leur ont

noces de coton. J : Oui c’est ça. Nous sommes ensemble depuis nos 15 ans. On ne s’est jamais quitté depuis. Je pense que c’est la femme de ma vie. Elle attend depuis peu notre premier enfant. V : toutes mes félicitations ! J : Je vois que vous êtes mariée vous aussi. V : oui effectivement depuis 2 ans. J : vous êtes partis en voyage de noce ? V : Oui nous avons choisi la nouvelle Calédonie. C’était notre destination de rêve. Je vous le conseille car mon mari et moi avons adoré ce pays ! J :

Jean de Léry, Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, chapitre XIII, 1578 (orthographe modernisée) Artisan d’origine modeste et de religion protestante, Jean de Léry participa à une expédition française au Brésil. À cette occasion, il partagea pendant quelque temps la vie des indiens Tupinambas. Vingt ans après son retour en France, il fit paraître un récit de son voyage. Au reste, parce que nos Tupinambas sont fort ébahis de voir les Français et autres des pays lointains prendre tant de

REGLEMENT STATUTAIRE du COMITE CONSULTATIF INTERNATIONAL DU COTON Table des matières ARTICLE I ARTICLE II ARTICLE III ARTICLE IV ARTICLE V ARTICLE VI ARTICLE VII ARTICLE VIII ARTICLE IX ARTICLE X ARTICLE XI ARTICLE XII ARTICLE XIII ARTICLE XIV MANDAT ................................................................................................................ 1 MEMBRES ............................................................................................................. 1 COMITE

engagées dans un processus d’échanges qui se généralise créant de multiples interférences mais aussi de connexions. Le facteur culturelle prend une importance accrue et ne doit donc être négliger sous aucun prétexte dans la négociation entre différents pays, ethnies, et bien évidemment entre cultures. La négociation interculturelle a pris une tournure évolutive dans le monde d’aujourd’hui grâce à la technologie et au développement des moyens de communication dans la mesure où ils ont rapproché les individus

L'avenir de l'eau - Petit précis de la mondialisation II - Erik Orsenna Ce mois-ci, Erik Orsenna vient de publier son second opus de la mondialisation. Après le voyage du coton,, il a décidé cette fois-ci de s'intéresser à l'eau. Il lui aura fallu deux années et moult voyages à travers les continents pour nous proposer cet état des lieux : comment l'eau est-elle gérée ? En aurons-nous assez dans les années à venir ? Sera-t-elle l'objet des prochaines guerres ? Pour nous, occidentaux, qui n’ont

par le développement de la colonisation il y a eu un besoin d'esclaves pour les travaux de force. Ce sont dans les plantations qu'on en avait le plus besoin, nécessité d'une main d'œuvre abondante et bon marché pour la canne à sucre, le tabac, le coton, le caoutchouc et le café. •La traite des Noirs A la suite des conquêtes du Nouveau Monde, commencées en 1519, les colonisateurs ont besoin de main d'oeuvre. On estime que la traite négrière a débuté en 1444 par les Portugais. Plusieurs milliers