Voyage Du Silence

psychanalyste Manfred Pohlen. Ce dernier a publié le tout en 2006 en Allemagne. « Avec Blum, Freud n’est pas le psychanalyste sadique gardant obstinément le silence que des détracteurs comme Elias Canetti l’ont accusé d’être, rapporte Olivier Pfohlmann dans le Frankfurter Rundschau. Il accompagne avec douceur, et même avec affection, son patient dans son voyage intérieur, se comparant lui-même à Virgile, Blum à Dante, et leurs séances au cheminement des deux poètes à travers l’Enfer et le Purgatoire. »Freud

LE SILENCE DE L’APPRENTIE Le choix du silence m’est apparu comme une évidence. Personnellement, c’est ce qui m’a posé le plus de problème lors de mon entrée en F.M. Moi, la bavarde (je me souviens de mes bulletins scolaires!) obligée d’écouter, de regarder, de s’abstenir d’intervenir en loge, de me taire... Cette idée me semblait injuste et lors des première tenues, il m’était difficile de ne pouvoir intervenir sur des sujets qui me touchaient : je bouillais... La parole de l’apprentie ne mérite

Le silence de l’apprenti Vénérable Maître, Lors de mon passage devant la commission des cinq, il m’avait été demandé quel était le dernier livre que j’avais lu. Ce livre, c’était une relecture de l’Alchimiste de Coelho. Il s’agit du récit d’un jeune berger qui part en quête de son rêve. Initié entre autres dans le silence du désert, il apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin. C’était peut être aussi un signe pour moi, car ce qui m’interpelle le plus durant cet apprentissage

Anthologie poétique Thème : Le voyage en poésie. Sommaire : * Préface : * Poème n°1 : Du Bellay : - Heureux qui comme Ulysse * Poème n°2 : Jean de La Fontaine :- Les deux pigeons * Poème n°3 : Jean Pierre Claris de Florian :- Le voyage * Poème n°4 : Baudelaire :- L’appel du large * Poème n°5 : Stéphane de Mallarmé : - Brise marine * Poème n°6 : Paul Eluard : - Voyage du silence recueil * Poème n°7 : Isaac Lerutan :- L’ombre des anges * Conclusion :

Suivre ce blog Accueil Contact L'apprentissage du silence Publié le 4 janvier 2011 par Thomas Dalet Le mot silence vient du Latin « silentium », lui même du mot « Silere » qui signifie rester silen‐ cieux. L’une des premières choses que l’Apprenti fraîchement initié apprend après le bruit et le va‐ carme de l’initiation c’est qu’il va devoir garder le silence pendant toute la durée de son appren‐ tissage. Ce silence, il en a déjà fait l’expérience avant l’initiation en étant livré à ses seules

Le silence « Le silence est d’or », enfant on me l’a dit et répété, mais je ne comprenais cet adage que comme une manière plus élégante de me dire « tais-toi ».Originaire du Sud-Ouest, j’ai un tempérament plutôt volcanique… et bruyant : je m’exprime (souvent avec passion), je donne mon avis (pas toujours réfléchi ni opportun…), je m’emporte (plus souvent que je ne le souhaiterais…)… et même en dormant parait-il je parle ! J’ai été élevée dans une famille bruyante, où l’on parle

Le Silence Méthode Iniatique Au commencement, ou peut-être, juste après le commencement était le silence. Pas le silence que nous croyons connaître, mais un silence tout autre. C'était l'époque d'avant la guerre des mots. Il y a très longtemps, si longtemps que nul n'en garde souvenance, les poètes ne vivaient pas sur terre. Ils habitaient une planète très loin de la notre. Si lointaine que nul œil humain, même aidé du plus grand des télescopes n'a jamais pu la voir. En ce temps là, sur les

Haïku. Bashô. Kenneth White part en 1985 au Japon pour refaire le parcours du fondateur des Haïkus, Bashō Matsuo. Bashô, né en 1644, reprend la route cinq ans avant sa mort, à l’âge de 45 ans, en 1689, au travers d'un grand voyage pour atteindre le Nord de Honshu. Le voyage du poète japonais dure cinq mois, à l'issue duquel il écrit son œuvre d'art Oku-no-Hosomichi, traduite en français sous le titre de La sente étroite du Nord profond : un écrit sous forme de récits poétiques dit Haïku. Le haiku

Guiseppe Ungaretti est un poète de nationalité Italienne né à Alexandrie d'Égypte, qui a écrit durant une cinquantaine d'années, au fil de ses voyages et expériences. Sa poésie est comme on le verra très attachée au souvenir, et les trois poèmes choisis font plus particulièrement référence à sa ville natale d'Alexandrie. La lumière elle aussi est un trait commun entre les textes, et semble être en lien avec le souvenir. Ces poèmes sont trois façons d'aborder le thème du souvenir, trois « visions »

tous ceux qui veulent bien voyager. Il n'y a par contre aucun emploi de la 1ère personne. Des conseils construits en opposition /pour libérer le voyageur et non le contraindre. Les conseils de Segalen sont plus une ligne de conduite, une attitude à suivre, il ne cherche pas à persuader et convaincre les gens de faire ce qu'il dit. La prescription du poète repose sur des paradoxes : on trouve des oppositions : « ville/route » ; « montagne/plaine » ; « son/silence » ; « seul/foule » ; « épice/fadeur » ;