Vraisemblable Théâtre

Lecture analytique 1: Art. (TABLEAU RÉSUMÉ). L'exposition partie 1 à 3 (p.15 à 17) -Composition du passage: 3 "tableaux" sont différents des scènes. L'entrée et la sortie du personnage indique le début et la fin de scène (théâtre classique). L'histoire que raconte la pièce est racontée en 1 journée. Le découpage de l'acte c'est quand il y a des ellipses durant la scène. Il y a des effets sur le temps. -Il y a un effet de flashback puisque dans la scène 1 où Marc annonce le flashback et

Littérature Comparée Le théâtre contemporain Introduction : Auteur = dramaturges depuis années 50 : Beckett , Ionesco, Adamov ; héritiers de Jarry, et des surréalistes, marqués par la psychanalyse et mette en scène des personnages profondément divisés ; enfin ils ont lu Antonin Arteau et donne au corps et à l’espace une grande place. 2 partis pris : refus du réalisme et du théâtre de boulevard/ refus de divertir. Années 70 : Nouveau Roman (Duras, Saurault, Butor) expulse les effets du réel

Problématique. I. La représentation a) un encrage réaliste Zola justifie cette épisode en quelques mots : « un soir, ils allèrent ensemble au théâtre Italien ». Comme ils ont l’habitude de le faire, Maxime et Renée se rendent tous les deux puisque Saccard préfère se consacrer à ses activités financières. Le lieu est donc défini puisque c’est le théâtre Italien qui est une référence identifiable pour le lecteur d’un roman réaliste. L’encrage réaliste est également donné par la référence à l’actrice

Théâtre (genre littéraire) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Théâtre. Édition originale du Mariage de Figaro de Beaumarchais en 1785Le théâtre est un genre littéraire particulier qui concilie à la fois littérature et spectacle (avec des cas limites puisque certaines pièces ont été destinées à la lecture, par exemple Théâtre dans un fauteuil d'Alfred de Musset). Le mot théâtre garde la marque de sa racine grecque

É TAPE 3 : TRAVAIL DE RECHERCHE Objectifs • Initier les élèves à un mouvement du théâtre modern e ( l’absurde) et les amener à réfléchir sur les liens entre celui-ci et le tragique. • Appliquer les informations recueillies à un texte précis : extrait de Ionesco, La Leçon (texte B, p. 29). Déroulement Mener la re c h e rche au CDI à partir d’orientations fournies par le professeur. Consulter les manuels de français puis les dictionnaires (des auteurs et des oeuvres). Ultérieurement, le

constitue une scène d’exposition puis nous analyserons sa dimension métapoétique.  I – Un prologue qui fait fonction d’exposition  A – Un prologue original : Ce prologue semble s’ouvrir sur des coulisses et non sur le plateau : EFFET de THEATRE dans le THEATRE. Nous sommes bien sur le plateau pourtant, le rideau est levé puisque le discours didascale évoque « le décor neutre » à « depuis que ce rideau s’est levé ». Les acteurs sont bien sur scène : « tous les personnages sont en scène ». Toutefois

que l’œuvre littéraire est un miroir, alors qu’elle n’a aucune vocation à l’être. En effet, la littérature ne serait en ce sens qu’un mécanisme d’illusions, où le créateur de l’œuvre “met au monde” une fiction, qui se donne les apparences du vraisemblable. C’est ce que l’exemple de Flaubert et du petit fait vrai, analysé par R.Barthes permet de démontrer. Le métronome sur la cheminée dans L’Education sentimentale n’est là que pour créer un “effet de réel”. D’autre part, ce mécanisme repose sur

de ses héros. Il peint l’amour comme une passion généreuse fondée sur l’estime ; son théâtre est « une école de grandeur. » Corneille cherche à provoquer l’admiration de lecteur en lui montrant des hommes exceptionnels qui par leur force de volonté triomphe de tous les obstacles. Les héros de Corneille sont trop souvent des hommes exceptionnels qui sont trop vertueux pour être vraisemblable. Si parfois le théâtre de Corneille manque de vraisemblance c’est que Corneille peint des hommes « tel qu’ils

l'antiquité, avec notamment Antigone de SOPHOCLE, en effet c'est en cette époque que le théâtre fût créé ainsi que la tragédie. C'est donc théoriquement à ce moment là que la tragédie était la plus fidèle à elle même, la plus pure. Puis nous irons au XIXe siècle avec comme cadre le drame romantique, comme exemple nous prendrons Hernani de V. HUGO. Ce dernier exemple nous mènera fin XXe siècle avec un théâtre plus poétique, celui de J.-L. LAGARCE et de sa pièce Juste la fin du monde. Nous reviendrons

lui-même de Nouvelles françaises (1623) donc trente ans avant Segrais, reprend la même distinction, fondée sur les mêmes critères, dans sa Bibliothèque française (1664-1667) : « On commençait aussi de connaître ce que c’était que des choses vraisemblables par de petites narrations dont la mode vint, qui s’appelaient des nouvelles. On les pouvait comparer aux histoires véritables de quelques accidents particuliers de la vie des hommes. Nous avions déjà vu les nouvelles de Boccace et celles de la