Vroom Valence Expectation

de motivation de VROOM (1964) V = VALENCE : C’est la valeur qu’on donne au résultat qu’on obtient (attirance). Exemple : prestige, salaire, etc… Pour obtenir ce résultat le salarié doit être performant. Le lien entre la performance et ce que ça apporte, ce sont des données subjectives (l’individu construit ça). I = INSTRUMENTALITE : Le lien s’appelle l’instrumentalité de la performance (résultat du résultat). Exemple : obtention du DUT, pour avoir un métier. E = EXPECTATION : Est-ce que je me

morale et l'éthique dans l'application des procédures, sont considérées comme des déterminants du sentiment d'équité. . II. Les théories du choix cognitif Kanfer (1990) regroupe dans sa taxonomie les théories des expectations -valences (théories E x V), de l’attribution et de la dynamique de l’action, au sein d’un paradigme qui a dominé la recherche empirique sur la motivation au travail depuis le début des années 1960 : celui des théories du choix cognitif. Elles reposent

phase taylorienne 4 B - La phase des relations humaines 4 C - La pyramide de Maslow (1954) 6 D - L’enrichissement au travail 7 E - Les théories X et Y de Mac Gregor 8 F - La théorie de Vroom : Expectation, Instrumentalité et Valence 10 G - Les besoins implicites de l’homme au travail Selon E. Thorsrud 11 II - Les outils de motivation classique 13 A - Pourquoi des outils de motivation ? 13 B - Quelques outils 14

besoins importants que pour obtenir des récompenses dont ils n’attendent la satisfaction d’aucun besoin. Les principales théories qui expliquent les processus de la motivation sont celles des attentes, et de l’équité. La théorie des attentes (Vroom) C’est au cours des trois dernières décennies qu’est apparue la théorie des attentes en matière de motivation .A la base de cette théorie se trouvent quatre hypothèse sur les causes du comportement dans les organisations . Premièrement

Victor Vroom. Contrairement à Maslow ou Herzberg, Vroom ne se concentre pas sur les besoins mais plutôt sur les résultats. Tandis que Maslow et Hertzberg examinent les besoins internes et les efforts dépensés pour les satisfaire, Vroom sépare l’effort (qui résulte de la motivation), la performance et les résultats. Vroom émet l’hypothèse que pour qu’une personne utilise son effort, la performance et la motivation doivent être liées. Il propose donc trois concepts de perceptions : Valence, Expectation

question « comment un individu est-il motivé ? », ce qui consiste à analyser de quelle manière des variables interagissent pour conduire à la motivation. Parmi les théories de processus, la théorie EIV (Vroom, 1964) considère que la motivation résulte de trois variables :  • E = expectation - L’individu attend un certain résultat ou une certaine performance suite à son effort. L’individu est motivé s’il se sent capable d’accomplir le travail demandé. La perception de sa propre capacité est liée

MASLOW – HERZBERG – VROOM L’homme est au cœur de l’entreprise, il prend les décisions, agit, innove, et produit. Ses compétences constituent une ressource stratégique clé, source d’avantages concurrentiels durables. Il convient de gérer cette ressource afin qu’elle contribue à la réalisation des objectifs de l’entreprise. Il existe des théories comme la théorie des besoins de Maslow et la théorie bi factorielle d’Herzberg ou la théorie des attentes de Vroom : VIE : V=VALENCE OU VALEUR I=INSTRUMENTALITE

question « comment un individu est-il motivé ? », ce qui consiste à analyser de quelle manière des variables interagissent pour conduire à la motivation. Parmi les théories de processus, la théorie EIV (Vroom, 1964) considère que la motivation résulte de trois variables :  * E = expectation - L’individu attend un certain résultat ou une certaine performance suite à son effort. L’individu est motivé s’il se sent capable d’accomplir le travail demandé. La perception de sa propre capacité est liée

sont également susceptibles d’être utilisées dans le cadre de l’attribution et vont donc avoir un impact sur la motivation de l’individu Pour Bandura, la motivation est comme un renforcement, l’opération qui affecte le comportement en créant des expectations qui anticipent les gains futur ou qui permettent d’éviter les difficultés futures. Il différencie cependant cette forme de renforcement, du renforcement skinnerien car ces derniers est automatique et donc non contrôlée par l’individu VII. positionnement

motivation. Celle-ci proviendra d’autres facteurs tels que l’intérêt du travail, les responsabilités, l’autonomie…Il précise la théorie 25. 27 – Vroom : un salarié est motivé s’il sait qu’il est capable de fournir le travail demandé (expectation), formation que son travail sera récompensé (instrumentalité), à la juste valeur espérée (valence). 28 – Cyert & March : précisent dans la théorie du décideur politique que les individus ont des buts différents. Les objectifs de l’organisation