Vue Champ Lexical

Acte I, scène 3. Phèdre Mon mal vient de plus loin. A peine au fils d'Egée Sous ses lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi, Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit, tourments inévitables. Par des vœux

de style:parallelisme(je l'aimais[...]en Aulide) >Champ lexical:possession >champ lexical de la vue >Elle aime son bourreau >Eriphile triste et desesperée - Champ lexical de la vue l.11 l.5 II. La fatalité >Champ lexical du destin(destructeur,fatal,fatal amour) >gradation:étrangère,inconnue,captive >changement de registre >Les dieux s'acaharnent sur Euriphile >Une union impossible >Mise en valeur de l'heroine tragique - l.24-25 l.2 Champ lexical de la fatalité Le classicisme est un mouvement

semblait pénétrer en elle, la jeune femme éprouva une 35 sorte de malaise. Elle eut un sourire forcé, et échangea quelques mots avec Laurent et son mari ; puis elle se hâta d’aller rejoindre sa tante. Elle souffrait. Axe Outils d'analyse Champ Relevé lexical « petit de l'enfance Laurent », Interprétation « des cajoleries Madame Raquin (mère) considère toutes maternelles » Laurent comme un enfant. Elle n'a pas du tout le même regard que Thérèse : elle l'a connu enfant. Discours direct

comment cet incipit annonce-t-il l'ambiance générale du roman ? - comment cet incipit met-il-en place l'environnement du personnage ? - comment la descente aux enfers du personnage est-elle montrée dans cet incipit ? - comment les différents points de vue permettent-ils de passer du réel au fantastique ? - comment cet incipit annonce-t-il une suite fictive ? - comment cet incipit passe-t-il du réel au fantastique ? Comment l'incipit fait-il une transition entre le réel et le fantastique ? En quoi l'incipit

intégralité : Une critique de la société parisienne Plan I Un récit anecdotique 1. Un Persan selon les apparences 2. Transition 3. Un vrai Persan II Le jeu de l’apparence et de la réalité 1. Double aspect mis en valeur par le champ lexical de la vue 2. Mise en évidence de l’apparence 3. Mise en évidence de la réalité III L’enseignement de la lettre 1. La Critique des Parisiens 2. La Critique d’un comportement peu réfléchi 3. Réflexions philosophique et sociologique INTRODUCTION

donne-t-il de l’incendie ? Le romancier évoque ce brasier d’une manière particulière. En effet, il utilise une métaphore filée pour le décrire. Néanmoins, le point de vue du narrateur sur cette fournaise n’est pas évidant. Cette calcination s’apparente à une chimère qui possède des caractéristiques provenant de divers animaux, avec le champ lexical de la faune, tels que les insectes par le mot « dard » l.8, les mammifères grâce aux termes « langue » l.8, et « tête » l.3. Ainsi le feu est animalisé, il apparait

tableau : « panneau » (l.1) « tableau » (l.3) « œuvre » (l.7) *Progression de l’intérêt soulignée à l’aide de verbes : « interpeller » (l.1) « frappé » (l.2) « fascina » (l.5) « intrigué » (l.7) « transporté » (l.9) *Description du tableau précise, champ lexical adapté, de la peinture : « contours et tons » (l.2) « teintes ocres et bistres » (l.3-4) « peint avec une vigueur candide et une rigueur des lignes» (l.4) « symétrie parfaite » (l.8) « de pourpre et d’or » (l.14) « harmonie de l’œuvre, son ordre

I La guerre selon le point de vue deCandide : Un spectacle grandiose. 1/Le champ de bataille, le théâtre d’une grande mis en scène : Selon Candide, la bataille est assimilée à un spectacle séduisant champ lexical de l’esthétique « beau, leste, brillant, ordonné, harmonie » -tournure restrictive ‘’rien n’était si beau’’ -1ère phrase : rythme allègre + sensibilité visuelle : sorte de chorégraphie : l.4 ‘’d’abord’’/ l.5 ‘’ensuite’’l.5 ‘’ de chaque côté’’ Tout semble bien maitrisé . Effet de symétrie

Tartuffe sans crainte d’être trahi à son mari. 1. Une rencontre secrète -Des indices de lieu tels que « ce lieu », « porte », « ici », « enfermé » nous montre bien que la rencontre se fait dans un lieu retiré écarté des regards. -La présence du champ lexical du secret : « secrets », « crainte de surprise », « tirer la porte », « seul avec vous » conforte l’idée de l’aspect secret de cette rencontre. 2. La malice d’Elmire -Elmire entreprend de dévoiler un secret à Tartuffe, mais pour cela elle fait

différents : au Mal qui connote tout de suite la folie humaine et interroge sur ses origines, s’oppose le portrait serein d’un « dormeur » en pleine nature. DEUX SONNETS QUE TOUT SEMBLE OPPOSER : Les champs lexicaux : en majorité, champ lexical de la guerre et de la religion dans Le Mal et champ lexical plutôt de la nature dans Le dormeur du val. Un tableau collectif / le portrait d’un seul homme Une ponctuation qui suggère l’indignation et la vive émotion du poète dans Le Mal, construit en une