Vulgarisation

l’année suivante. La collaboration des deux frères Boex, marquée par l’apparition des ouvrages signés J.-H. Rosny commence en 1886. Ils publient ensemble des contes et des romans axés sur des thèmes parlant de la nature, de la préhistoire, de la vulgarisation scientifique et bien évidemment du monde fantastique. Leur premier livre « Nell Horn de L'armée du salut » est publié en 1886. Par la suite, « Les Xipéhuz » apparaît en 1887. C’est un roman fantastique qui illustre parfaitement un genre tout à

française de photographie sont le foyer d'une passion partagée. La virtuosité de Le Gray n'alla pas sans agacer certains de ses émules : si La Lumière et le Bulletin de la Société française de photographie lui sont tout acquis, les revues de vulgarisation scientifique Le Cosmos et Le Propagateur sont beaucoup moins amènes. Il y est accusé de ne publier que des formules inapplicables pour mieux garder le secret de ses tours de main, de décrire ses opérations en termes trop désinvoltes, trop peu scientifiques

formule «progrès scientifique» fait problème: au sens strict, elle ne peut désigner qu'un accroissement des connaissances, incontestable, mais auquel le public a le plus souvent difficilement accès (au passage, on évoque le problème permanent de la vulgarisation scientifique). Mais les scientifiques eux-mêmes sont les premiers à souligner l'importance de leur ignorance par rapport à ce qu'ils peuvent savoir, et l'on ne doit pas oublier que l'évolution historique d'une science aboutit avant tout à y multiplier

articles sur la mémoire, le professeur Lieury a également rédigé des manuels traitant de la psychologie cognitive. S’attachant à montrer que la mémoire n’est pas réduite à l’apprentissage par cœur, il a publié de multiples ouvrages et articles de vulgarisation scientifique à destination du grand public (parents d’élèves notamment). Alain Lieury participe, encore aujourd’hui, à de nombreuses émissions de radio et télévision en tant qu’expert de la mémoire (juin 2010, JT 20H de France 2, reportage sur

contre le racisme... Albert Jacquard soulève les problèmes de la société moderne: la pollution, l'écologie, l'insufisance et l'insalubrités de logements loués... Devenu scientifique de haut niveau, il est l'auteur de beaucoup de livres de vulgarisation scientifique ou de livres d'humanisme grâce auxquels il éspère faire évoluer les gens. Ses livres sont: Éloge de la différence (1981), Moi et les autres (1983), Cinq milliards d'hommes dans un vaisseau (1987), Abécédaire de l'ambiguité (1989)

faisait fureur dans les salons, au grand mécontentement de ses nombreux adeptes. La vulgarisation des Sciences : La complexification des sciences augmente aux XVIIe et XVIIIe, liée à la spécialisation et au perfectionnement des différents domaines. Fontenelle, Algarrotti (Le Newtonianisme pour les dames) ou Voltaire s’attache à diffuser les progrès des sciences, la théorie de Newton par exemple. La vulgarisation passe aussi par des cours publics qui passionnent les élites mais qui créent un malentendu :

petite pour être filtrée avec le reste des impuretés dans les infrastructures déjà en place. Les informations étaient très pertinentes et ils semblaient connaître leur sujet sur le bout des doigts. Il n'y avait pas beaucoup d'outils visuels de vulgarisation cependant, mais des supports visuels comme des affiches nous montraient les informations sous forme abrégée. L'aspect chimique du sujet était très intéressant, notamment la façon qu'on pourrait se débarrasser de l'oestrogène dans l'eau en lui faisait

National d'Etude Démographique), en 1968. Expert en génétique auprès de l'OMS de 1973 à 1985, il enseigne également dans les Universités de Genève et de Paris VI. Scientifique de haut niveau, Albert Jacquard est l'auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique ou d'essais dans lesquels il cherche à diffuser une pensée humaniste moderne pour faire évoluer la conscience collective. Sorte "d'Abbé Pierre laïque", Albert Jacquard participe à tous les combats qu'il estime justes, comme le droit

dans son discours un divorce de la science et de la culture qu'il explique par une difficulté de vulgarisation des découvertes scientifiques à partir du XXème siècle. Il entend le mot culture comme un ensemble de connaissance sur un sujet. En effet le côte de plus en plus abstrait des sciences rend le travail de popularisation délicat. C'est ce qui explique la création du prix Kalinga, prix de vulgarisation scientifique. Dans le passé science était réservée aux scientifiques mais aujourd'hui les

et généticien ; il est l’auteur de plusieurs essais, dont Et l’homme dans tout ça ? (2000), Raisonnable et humain ? (2004), Le secret de la salamandre (avec Fabrice Papillon, 2005) et L’homme ce roseau pensant (2007). Il procède à un travail de vulgarisation scientifique dans beaucoup de ses œuvres littéraires. Anciennement membre du Comité consultatif national d’éthique (une organisation dont la mission est de permettre aux citoyens de comprendre les enjeux éthiques que soulèvent certaines avancées