Vulgate

regarder, l’exercice le plus flagrant des ruses de la raison n’est pas tant dans le soin que le capitaliste, le brasseur de bière ou le boulanger portent à leurs intérêts, mais, contre toute attente pour qui s’en tiendrait à la lecture diffusée par la vulgate, dans l’action de la sympathie, principe invisible par définition, mais cette fois-ci pleinement scientifique, à l’instar de la gravitation universelle. Les hommes n’ont pas choisi d’êtres sensibles aux sentiments de leurs semblables : ils sont sympathiques

appelé Lamia, une déesse serpent libyen, dont le nom est probablement une variante grecque de Lamashtu. Comme Lamashtu, Lamia a également tué des enfants. Sous le couvert d'une belle femme, elle a également séduit les hommes jeunes. Dans la Bible Vulgate latine, Lamia est donnée comme la traduction de l'hébreu Lilith (et dans d'autres traductions, il est considéré comme une "chat-huant» et «monstre nuit"). Il convient de rappeler que ces démoniaques "les femmes" sont essentiellement des personnifications

prendre, concernant l'éducation, au verbalisme, à l'autoritarisme et au dogmatisme. Mais c'est précisément à cette triple défaillance que, une fois subordonnée à la promotion des idées (fût-ce des idées justes), cette histoire de l'éducation, devenue vulgate pédagogique, risque, à son tour, de succomber. Le traitement réservé à l'Antiquité grecque et romaine par cette sollicitation du passé n'est pas moins instructif. Ce que l'on continue à requérir de l'Antiquité, c'est qu'elle fournisse cette réserve

auteurs. Je pars du principe qu'ils ne cherchent pas à me tromper... Et, à ce moment là, je cesse effectivement de faire de la philosophie. Car rien ne m'assure qu'on ne cherche pas à m'induire en erreur. En URSS, on a longtemps présenté une vulgate marxiste comme étant de la philosophie. Comment savoir si le choix des philosophes opéré par le manuel est honnête ? L'Etat ne cherche-t-il pas à me manipuler ? Si je refuse ma confiance alors je suis dans l'embarras. La question apparaît massive

correspondance avec eux. Erasme est alors connu pour être un grand penseur et un homme instruit : il maîtrise le grec et le latin et est docteur en théologie. Le projet de retraduire la Bible germe en lui lorsqu’il s’aperçoit que certains passages de la Vulgate (version latine de la Bible) ont été mal transcrits du grec au latin. Il fera publier sa propre traduction du Nouveau Testament pour rétablir l’exactitude des textes sacrés. Sa conception de la foi est proche de celle de Luther dans le sens où il

des choses dans leur état pur, sans distorsion humaine. C´est pour cela que l´humanisme a été intéresse par les écrits originaux de la Bible. Les humanistes ont cherché a plus se rapprocher des Évangiles originaux, car la Bible catholique, nommée Vulgate a l´époque, était très modifiée. Le message original avait été mal transmis donc les humanistes préfèrent retourner aux textes plus anciens comme les écrits en hébreux. La traduction de la Bible de l´hébreux à l´allemand par Martin Luther, qui était

* Le différend qui m’a opposé à S. Guillon ne relève pas de la susceptibilité blessée ou, pire encore, de l’appel à la censure. J’ai dénoncé, je persiste et signe, des méthodes et des propos de facho, mal déguisés sous un look de bobo et une vulgate supposée gaucho. Alors pour en finir, voici quelques mises au point… 1. Après avoir quitté le studio de France Inter, je n’ai appelé personne et notamment pas le Président de Radio France. Je n’ai demandé ni excuses ni sanction contre Guillon

comparaison effectuée par André Chervel à des paradigmes de conjugaison, puisque les extraits doivent être appris par cœur et ont pour seule fonction d'être un modèle pour les productions des élèves. Ce type de recueil, que Pierre Kuentz nomme « vulgate », répond tout à fait à la conception de la littérature de l'époque, à savoir une science, fondée sur la rhétorique ou sur la poétique, obéissant à des règles et soumise à des influences. Ainsi la littérature n'a pas besoin d'œuvres entières, mais

382, qu' il devient un des familiers du Pape Damase qui le charge de traduire la Bible en latin d’après la version grecque de la septante et les manuscrits hébreux conservés. Il meurt en 420. Plusieurs fois révisée, sa version de la Bible, appelée vulgate, est reconnue comme version officielle de l’Église par le Concile de Trente. Jérôme, installé à Bethléem, part des manuscrits en hébreu pour traduire l’Ancien Testament et cherche conseil auprès de lettrés juifs. Plusieurs épisodes ont été ensuite

première évocation à la ligne 6 : « à travers un verre (through a glass) », cette expression, dans les cultures de langue anglaise, évoque la Première Épître aux Corinthiens, XIII : dans la Bible du Roi Jacques, le per speculum in enigmate de la Vulgate est traduit we see through a glass darkly. La note de l’édition Folio classique nous en précise le contexte. Cela ouvre la voie à une question permanente dans le roman, du premier au dernier chapitre. Plus encore qu’une question, il s’agit d’un thème