Vérité Subjective

cesse de prouver que la philosophie qu’il définit, à la suite des philosophes antiques, comme la recherche du Souverain Bien, est discutable dans le sens où elle s’appuie sur la raison humaine. Or, dit-il, la raison humaine est subjective et ne peut être détentrice de La vérité, ce que Montaigne exprime notamment lorsqu’il définit la raison comme une « apparence de discours que chacun porte en soi. » Il estime que le jugement de l’homme varie selon son état de santé, par exemple : un homme malade n’aura

La vérité se situe-t-elle au-delà du monde sensible, comme le soutient Platon dans l’allégorie de la caverne ? Découvrir le monde intelligible par le détachement du monde sensible et de ses limitations permet d’accéder aux idées universelles. Il est vrai que nos sens nous offrent des outils pour émettre des bases dans nos connaissances du monde et nous permettent d’observer des phénomènes afin de mieux les comprendre. Mais comment établir un consensus d’une vérité absolue si tout le monde interprète

soi et sur le monde. Or, avec l’émergence de la philosophie et de la science, certaines réponses de la religion ont été remises en question, et surtout le discourt religieux ne peux plus se présenter comme une certitude objective ; l’élaboration de vérité objective est le privilège de la raison et donc de la science. Opinion commune : »Croire » s’oppose ainsi radicalement à »savoir », l’homme qui croit est celui qui accepte de ne pas savoir, de s’en remettre à sa subjectivité. Et inversement,

Annexes : cours, 1) Socrate Le courant le plus riche est le courant socratique. Ce courant unique a tellement marqué la pensée grecque que l’on classe les philosophes en présocratiques et socratiques. Socrate : recherche de la vérité ou « accouchement de la vérité » et combat c/ sophistes. Vie : né en 469 / mort en 399 avant JC (5ème). Hoplite dans l’armée, il participe à la guerre du Péloponnèse avec courage et initiative. Il fut prytane (chargée des affaires de la Boulé) en 406 mais participera

Chapitre 1 PHILOSOPHIE ET VÉRITÉ Chapitre 1 PHILOSOPHIE ET VÉRITÉ Apparu dans la langue grecque : Philos (l’ami) Sophia (sagesse) Terme sagesse : complexe, suggère respect (capacité à reconnaître, à suivre, à écouter ; facilité, résignation, soumission), raisonnable, rationnel, lucide (connaissance), docilité. Pour reconnaître, il faut avoir la conscience d’absence de savoir. Ignorant = absc totale de savoir de vérité. Socrate : « La seule chose que je sais, c’est que je ne sais rien »

représente ce que je suis. ». De plus, celle-ci implique le rejet de tout dogmatisme ou absolutisme. La notion de vérité absolue est inacceptable. Chaque culture spécifique a sa vérité propre dans les domaines scientifique, éducatif ou religieux. La tolérance moderne propose une conception nouvelle de la vérité qui la suivante : « point de vérité absolue, toute vérité est relative et subjective ». Dans nos sociétés modernes, cette tolérance apparaît alors comme une logique abstraite, universelle et quasi

sens comme fondement de la vérité (l’empirisme) Penser que le raison a toujours raison, indépendamment de l’expérience aboutit à émettre des dogmes détachés de tout contenu réel. De plus, à supposer que l’évidence intellectuelle soit un critère fiable dans le domaine logico-mathématique, il ne peut pas en être un dès qu’il s’agit de connaître le monde extérieur. En effet, on ne peut acquérir d’informations que par l’expérience sensible. L’empirisme pense que la vérité ne peut être connue que par

d’accord sur les vérités mathématiques : 2 x 2 = 4 et sur les vérités scientifiques, même si cela prend parfois du temps : c’est la terre qui tourne autour du soleil ; il est d’autres vérités qui font débat, qui semblent relever des cultures, des personnalités des uns et des autres. La nécessité de reconnaître la diversité des cultures, la personnalité de chacun implique la reconnaissance des différents points de vue. Mais la tolérance exige-t-elle la reconnaissance de la pluralité des vérités ? Après tout

Si toute vérité est susceptible de se réduire au point de vue de tout un chacun, qu'en est-il du sens même de la philosophie qui se définit par la recherche de la vérité, une même vérité autour de laquelle tous les esprits en droit et en fait, seraient susceptibles de s'accorder ? Y a-t-il en somme une possibilité d'accorder une vérité hypothétique que tout un chacun revendique confusément, avec la fin ultime de vérité universelle que la philosophie se fixe au risque de se perdre elle-même si cette

suffire a demander la nullité du mariage. Le fondement de l'article 180 alinéa 2 peut prononce l'annulation du mariage. En effet l'erreur sur les qualités essentielles de l'épouse est bien réelle étant donne qu'elle c'est abstenue de dire la vérité sur son passe sentimental et sur sa virginité a son époux, par conséquent le mensonge est établit selon MX. De plus l'annulation du mariage peut également être prononce sur le fondement de l'article 146 du code civil car aucun consentement véritable