Vérité Unanimité

d'une cité gouvernée par des philosophes ; la politique ne doit pas être l'affaire des habiles mais celle des sages. La foule restera toujours soumise à ses passions, le philosophe au contraire a réussi à s'élever au-dessus d'elles et à contempler la vérité et la justice.

les lois. Dans un premier temps, la rationalité et la logique devrait toujours guider nos choix. Pour ainsi faire, il est nécessaire d’approfondir nos connaissances par rapport à un certain sujet afin de faire un choix éclairé et qui tire vers la vérité absolue puisque sinon nous oublions des aspects du sujet qui pourrait être primordial à notre réflexion. C’est au nom de la rationalité que nous ne devons pas répondre à l’injustice par l’injustice. Socrate dit, en d’autres mots, dans le Criton de

personnages (aux noms différents au sein même de l'œuvre) misérables vivent ensemble. Par ailleurs, on constate un lien important, une impossibilité de se séparer tout comme une vieille intimité entre Estragon et Vladimir. Ces deux personnages, en vérité, n'ont pas les mêmes noms si on lit la pièce ou si on la regarde. Ce sont Didi et Gogo qui appartiennent en propre à l'espace scénique de la représentation. Ils sont inséparables et constituent ce que l'on peur nommer un couple ou une paire, peut-être

simulacre et simulation Simulacre et simulation Un simulacre désigne une apparence qui ne renvoie à aucune réalité sous-jacente, et prétend valoir pour cette réalité elle-même. Selon Baudrillard, un simulacre est, avec ses propres mots la « vérité qui cache le fait qu'il n'y en a aucune ». Exemple de simulacre : Dans le chapitre " Du Nihilisme ", Baudrillard fait remarquer que, lorsque la toute-puissance de Dieu ne peut être ressentie qu'à travers l'icône qui le symbolise, l'icône religieux

réelle et deuxième partie dans le rêve. Nerval se plonge dans son rêve et le rêve avale sa vie. Il ne distingue pas la limite entre ces deux derniers et par conséquence, il la perd. C’était exactement le monde mental de Nerval.          I.4.a. La vérité du monde réelle chez deux narrateurs     Nerval  en troisième chapitre a dit que (ici a commencé pour moi ce que j'appellerai l'épanchement du songe dans la vie réelle).      I.5. Le refuse de se laisser emprisonner dans le temps       Deux histoires

connaissance universelle est une connaissance que l’on partage avec les autres. De la même manière, la pensée cartésienne comme toute pensée philosophique a pour fonction de nous élever vers la vérité. Or la vérité, c’est ce qui produit entre les hommes une entente, un accord mutuel (cf. Hegel, Platon). La vérité n’est pas ce qui nous divise mais ce qui nous rassemble, et on peut penser qu’il est contraire à l’essence même de la pensée que de produire une telle dissociation entre mon existence et celle

/ et puis / certes / bien que. Je veux argumenter en opposant des idées, des faits: Pour marquer une forte contradiction : - mais / en revanche / alors que / tandis que / au contraire / et non / bien que. Pour rectifier : - en réalité / en vérité / en fait. Pour marquer une opposition modérée : - cependant / néanmoins / pourtant / toutefois. Pour surenchérir ou atténuer : - voire / même / du moins / tout au moins / à tout le moins. Je veux définir la cause : -car / parce que / puisque

A la vérité qui dérange, faut-il préférer l’illusion qui réconforte ? Intro Nous avons tendance à croire une chose vraie lorsqu’elle nous arrange. Lorsque l’idée que nous nous étions faite de cette chose est prouvée fausse, nous préférons penser que la vérité est compromise entre la pensée et la réalité. Cette idée était alors une illusion. L’illusion nous permet de ne pas croire à l’erreur, l’illusion est notre déformation de la réalité, parce que nous préférons croire ce que nous souhaitons.

deuxième partie les raisons qui poussent à s’écrire. Les écritures de soi sont difficiles à écrire à cause de sa sincérité, il faut dire la vérité pour que le lecteur le croie : l’auteur fait à cet effet un pacte autobiographique pour que ses juges, les lecteurs, aient confiance en lui. Il n’est à mon avis pas possible de dire rien que la vérité, c’est dans la nature de l’homme de mentir, surtout quand on a honte de son comportement, lorsque qu’on a fait une bêtise, blessé gravement quelqu’un

clivages politiques engendrés par les notions de progrès, de bonheur, a été nourrie puis entretenue par un abus publicitaire de termes philosophiques détournés de leur sens originel. On a chargé les mots d'étiquettes moralisantes au détriment de toute vérité et de toute liberté. Il est vrai que le 19° siècle finissant fut accusé de sombrer dans le scientisme, c'est-à-dire la croyance dans une science qui résoudrait tous les problèmes philosophiques. Le même langage est repris aujourd'hui avec des accents