Vérités Nécessaires Leibniz

qu’il faut déduire d’un récit ou d’un discours. Cela concerne les Fables ou les apologues, qui sont des récits plaisants et divertissants qui ont pour but de délivrer une leçon de morale. Dans Candide, Voltaire cherche à s’attaquer à la thèse de Leibniz, laquelle énonçant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il va ainsi la mettre à l’épreuve en faisant sortir son protagoniste, Candide, de son château utopique de Thunder-ten-tronckh pour qu’il puisse affronter le monde réel. À travers

nature. Il donne un argument p 1424 = la science elle-même (pure naturalisme comme la physique) est obligé d’accepter en son sein des traces métaphysique non-exprimé, maitriser et approfondie ; des obscurités ( en particulier la notion de Force). Cf. Leibniz et la monade = il y a une identification entre la force et l’accès de la métaphysique. Pour Schopenhauer, pour toucher le fond de la réalité métaphysique, le passage du corps est fondamentale. Ex: « la naturalisme en vogue aujourd’hui …etc ». La science

de matière fournie par l’expérience, est-il possible de connaitre des objets situés au delà de l’expérience, comme le sont les objets métaphysiques ? Au contraire de l’idéalisme, théorie soutenue par Descartes ou Platon selon laquelle la vérité est du coté des idées, l’empirisme dont le plus pertinent de ses représentants est David Hume est la théorie selon laquelle toute connaissance provient de l’expérience sensible, c'est-à dire des données de la sensation.

cartésiens, qui est fausse, vaine, ambitieuse, et qui ne représente qu'un "ramassis d'abstractions", et la nouvelle métaphysique, la vraie, celle de Locke, qui contient la connaissance dans les bornes de l'expérience et qui peut ainsi atteindre des vérités. Hume, de même, nous dira qu'il faut détruire la fausse métaphysique et il voudra montrer qu'il faut employer, dans l'étude de l'esprit humain, la "méthode expérimentale" illustrée par Newton dans la mécanique célestre. Il se proposera, en quelque

pouvons éprouver de la pitié pour un animal mais la pitié sera nécessairement plus forte pour un homme. L’instinct : C’est un comportement qui connait trois propriétés. Il est inné, (il provient du corps de l’être vivant considéré) il est alors nécessaire. Exemple un lion va sauter sur la gazelle car il un corps de lion. 1) Son innéité, sa nécessité, provient donc de l’organisation du corps 2) Il est spécifique, c’est-à-dire qu’il caractérise une espèce. Il est relatif à une espèce, tous

rappeler le célèbre « Connais-toi toi-même » inscrit à l’entrée du temple d’Apollon, est selon Socrate le début de toute sagesse et le fondement de toute connaissance. Comment en effet, vivre avec un parfait inconnu qui se trouve être nous-même? Il est nécessaire d’avoir au moins quelques bases à notre sujet. De plus, que peut-on connaître si l’on est incapable de se connaître soi-même? En quoi et qui pouvons-nous avoir confiance? Il nous faut être capable de parler du « je », sinon on ne peut avoir une

la connaissance : La perception constitue l’origine de notre rapport au monde. Tout échange avec le monde extérieur passe par la perception. Elle est notre seul accès à la réalité, et par conséquent la condition nécessaire mais non suffisante de toute connaissance.Pour atteindre la vérité, la perception doit être relativisée et ordonnée, mais on ne peut s’en passer. Toute connaissance passe par la perception. - Selon Aristote, cette tâche de structuration appartient à la philosophie. - Kant ira plus

projet de Descartes de refondation de la connaissance. Son ambition est de trouver un principe indubitable pour toutes les connaissances à venir. Ce projet passe par un doute systématique de tout ce qui peut être susceptible du point de vue de la vérité.  La mise en œuvre méthodique du doute correspond à la critique du contenu de l’esprit. Il s’agit de faire « table rase » de ce que Descartes avait pris pour des connaissances, des principes. ∆ Le doute c’est l’ « échopé » (= arrêt, suspension du

siège tant bien que mal contre les croisés du roi Sai... Suite Le mal décrit un certain type d'événements, de comportements ou d'états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, et sources de souffrances morales ou physiques. Selon Leibniz, il est possible de distinguer1 : le mal physique, souffrance qui affecte une créature intelligente et sensible ; le mal métaphysique, ou imperfection de la créature ; le mal moral, comme faute. Parmi les problèmes que suscite l'existence du

de mon existence. Il ne s'agit pas d'un raisonnement, mais d'une intuition. L'intuition est, selon l'étymologie, une sorte de vision, une vision immédiate de l'esprit. Immédiate, c'est-à-dire sans étapes, directe, instantanée. Par l'intuition, la vérité se dévoile comme en un éclair. L'intuition est à distinguer du raisonnement, qui est discursif, qui procède par étapes, selon un enchaînement, une succession, et non immédiatement. Descartes parle (Discours de la méthode, II) des "longues chaînes