Wallerstein

entre nations.   Dès qu'un pays va connaitre des problèmes, il va avoir tendance à protéger les activités   de ses entreprises au détriment des autres.   Les risque sont limités grâce à la domination d'un Etat hégémonique. (Braudel &   Wallerstein)   Comment un ordre mondial peut exister?   Grâce à un Etat qui impose un ordre mondial. La puissance hégémonique c'est la puissance qui a les moyens de définir un ordre mondial, qui énonce les données d'un   ordre souhaitable.   Elle

société dans le sens où elle serait la conséquence de l'émergence d'une “société civile mondiale” et des demandes de celle ci. Quant à son émergence et à ses demandes, on peut reprendre les analyses célèbres et convergentes de Braudel (1979) et Wallerstein (1980). S'interrogeant sur les raisons de la suprématie économique de l'Europe entre le XVIème et le XXème siècle, ils mettent en exergue le fractionnement politique de cette région qui a permis à des acteurs économiques globaux de taille supérieure

fondamentalement et - 20 - exclusivement les structures politiques (superstructures). Parmi les travaux importants dans ce domaine, citons d’abord ceux d’Immanuel Wallerstein. Ce dernier soutient que le processus d’étatisation trouve son origine dans les mutations économiques qui marquèrent la fin du Moyen Age. En caricaturant à peine, Wallerstein soutient que l’État est le produit de la naissance du capitalisme marchand. Plus précisément, il considère que les sociétés historiques s’insèrent toujours dans

2009. • Nadège SOUGY, Patrick VERLEY, « La première industrialisation (1750-1880) », Paris, La Documentation photographique, n° 8061, 2008. • Patrick VERLEY, La Révolution industrielle, Paris, Gallimard, coll. « Folio Histoire », 2008. • Immanuel WALLERSTEIN, L’Après-libéralisme. Essai sur un systèmemonde à réinventer, Paris, L’Aube, 2003. © Magnard, 2011 – Histoire 1re – Livre du professeur Utiliser le manuel Cartes Croissance et mondialisation (xixe-xxie siècles) (p. 14-15) La confrontation de

premiers en revenus supplémentaires car les prix sont rigides, et dans les seconds par une diminution des prix). • Le monde est ainsi hiérarchisé entre les pays qui le dominent et ceux qui sont dominés : « l’économie monde » de F. Braudel ou I. Wallerstein ou les « cercles concentriques » de C.A. Michalet 2.3 … ce qui nous amène à refuser l’unicité du modèle d’insertion dans l’économie mondiale proposé par les théories traditionnelles 2.3.1 La maîtrise de l’insertion dans le commerce mondial

contribuer à étendre le modèle de l’état européen. Système international moderne et capitalisme Au lieu de voir les RI comme une juxtaposition de l’état, elles sont vue comme le produit du développement du capitalisme. Economie-monde (Braudel, Wallerstein) : « Un morceau de planète économiquement autonome, capable pour l’essentiel de sa suffire à luimême et auquel… Découpage du monde en plusieurs zones, pour expliquer la structure du système international qui s’oppose au principe d’égalité entre

ont besoin des pays du sud : obligation de fournir des ressources naturelles et contraintes sur les pays les plus pauvres qui ne peuvent construire de discours cohérent à l’AG Rôle de la CEPAL Prebish, Iglesias « capitalisme et économie monde » Wallerstein Le développement inégal Samir amin Critique du libre échange Remise en cause du modèle de Ricardo (modèle libéral) par des économistes non marxistes (List, Maurice Allais) Nécessite une stabilité des coûts de production qui n'existe pas, ne prend

été établi pourtant un certain compromis entre les deux camps. Ainsi la science s’occupe de la recherche de la vérité scientifique basée sur la méthode expérimentale tandis que la culture humaniste des questions concernant le Beau et le Bien (Wallerstein, 2006). Autrefois, avoir une culture humaniste, connaître du grec et du latin, était un signe de grand prestige pour la bourgeoisie. Mais avec la montée de l’économisme et la domination de l’esprit technocratique les études humanistes se marginalisent

l’Australie, de l’Océanie et de l’Amérique par les Européens aux XVe et XVIe siècles ont existé des formes variées de mondialisation, autrement dit d’européanisation du monde » (p. 26). Il précise même, en reprenant à son compte les travaux d’Immanuel Wallerstein, que c’est « à travers le choc des deux guerres mondiales » que l’économie-monde « s’est réellement mondialisée » (p. 26). Cependant, dans la suite de son analyse, il ne tient pas suffisamment compte de cette dimension historique à caractère pluriséculaire

commerçante, la bourgeoisie industriel, et le prolétariat. La différenciation social qui est un processus de complexification des sociétés rend de plus en plus difficile l’agrémentation terres sociale et donc génère une demande d’Etat. Immanuel Wallerstein : Montre comment le 1er capitalisme à générer un surplus qui va faire naître des gouvernements fort, des bureaucraties et aussi des armées puissantes qui sont capable de faire régner l’ordre sur les mer et les terres. Barrington Moore : Les progrès