Walras équilibre Général

manufactures spécialisées dans le commerce international mais aussi de limiter le besoin de produits importés. Pour obtenir ce résultat, l'intervention de l'État est nécessaire: premièrement l'État doit favoriser la production de marchandises en général et les activités exportatrices en particulier en faisant en sorte qu'il y ait selon la formule mercantiliste «abondance d'hommes et d'argent». L'abondance des hommes signifie une forte quantité de travail et donc une forte production. Cela exige

(monétaire ou troc). On ne peut vendre que ce que l'on possède (droit de propriété). Le marché a besoin de la présence d'institution marchande c'est à dire des institutions essentielles pour que le marché puisse fonctionner. La monnaie est l'équivalent général des marchandises. D2 : Le fonctionnement des marchés concurrentiels. La demande. Elle dépend de deux éléments essentiels sur le marché : Son prix et ce que je suis prêt à donner. C'est une fonction décroissante des prix. Loi de la

nature, le fonctionnement et l'évolution du capitalisme. 4.2. Une théorie de l'entrepreneur 1ère idée : Sans innovation, l'économie est stationnaire (pas de croissance économique) : état stationnaire de Ricardo, reproduction simple de Marx, équilibre général walrassien (tous les agents sont satisfaits et ne désirent plus changer leurs dotations). L'économie stationnaire prévaut avant le capitalisme et fonctionne à l'image d'une boucle fermée se reproduisant à l'identique (Schumpeter fait l'analogie

CORRIGES DES EXERCICES EXERCICES N°6 à 17 TABLE DES MATIERES B) MULTIPLICATEURS ET HORIZON TEMPOREL ............................................... 27 EXERCICE 6 : Equilibre de long terme.............................................................. 27 EXERCICE 7 : Augmentation de la dépense publique financée par emprunt.... 31 EXERCICE 8 : Augmentation de la dépense publique financée par l'impôt....... 34 EXERCICE 9 : Réduction des impôts financée par emprunt .............................

l’étranger. On a affaire à un gain en nature. Ce gain de nature résulte d’une meilleure organisation de la production au niveau internationale. La monnaie et ses considérations ne comptent pas dans la démonstration. Parmi ces valeurs réelles, il y a équilibre de la balance des paiements. Par conséquent, il n’existe pas de surplus ni de déficit commercial. L’intérêt du commerce ne vient pas d’un gain prélevé sur un autre pays. Il s’agit d’invalider le raisonnement mercantiliste. 3) La question

constitue le régulateur le plus efficace de l’activité économique. La recherche de l’intérêt individuel permet de réaliser l’intérêt général car il existe une main invisible (le marché) qui guide les passions individuelles vers le bien de tous. L’harmonisation des intérêts étant naturelle, il n’y a dès lors plus aucune raison pour que l’Etat fasse passer l’intérêt général au-dessus de la somme des intérêts privés. L’Etat doit donc se garder d’intervenir au-delà de son domaine naturel (Etat gendarme)

demande et donc des prix, plaçant, du coup, l'ensemble des acteurs de cette industrie dans l'obligation de réduire leur production afin de faire augmenter les prix et la demande. A partir de là, comme le démontre Léon Walras, l'équilibre réalisé sur ce marché entrainera un équilibre général sur l'ensemble des marchés. Enfin, le revenu qui n'est pas destiné aux transactions sur les marchés est destiné aux marchés des capitaux (investissement) ou bien peut être épargné dans le but de bénéficier des rémunérations

telle règle n'existe pas. Il y a plus de deux siècles, Condorcet l'avait déjà remarqué à propos du vote (paradoxe de Condorcet). Dans un ouvrage publié en 1951, intitulé Choix collectif et préférences individuelles, Kenneth Arrow le montre de façon générale. Il prouve que la seule règle permettant de déduire un classement collectif cohérent à partir des classements individuels est la règle dictatoriale, qui consiste à prendre pour classement collectif celui d'un individu particulier. On parle à ce propos

grands courant de la pensée économique 2 Le courant libéral Leurs précurseurs (début Rév. Ind. - XVIII-XIX) : Adam Smith David Ricardo Jean-Baptiste Say Les libéraux plus récents sont appelés les néo-classiques : Walras Marshall Pareto 3 caractéristiques : ● l’individualisme : l’être humain recherche et ne recherche que son intérêt personnel et ne cherche qu’à satisfaire au mieux ses désirs. Cet individualisme repose sur les droits de propriétés individuelles

conséquent le problème d'accumulation d'argent et de capital devient secondaire tout comme la lutte des classes. Cependant la Première Guerre Mondiale et la crise de 1929 et la Seconde Guerre Mondiale montrent la limite de ce courant = théorie générale de Keynes apparut en 1936 est l'ouvrage fondamental par lequel Keynes impose à l'ensemble des économismes une vision différente de type macro-économique; dans cet ouvrage Keynes met l'accent sur le phénomène global de la société et non sur les comportements