Walter Benjamin Commentaire

contes, récits autobiographiques, théâtre, poésie, récits pour enfants. Paris, L'Harmattan, 1990 384 p. ISBN 2-7384-0949-0 Brève notice sur chaque oeuvre (1834 à 1989) et dates de naissance et de Dictionnaire mort des auteurs. Index. Présentation par Benjamin Stora: Instrument de par titre travail pour tous ceux qui s'intéressent à la littérature algérienne ; le livre propose des résumés analytiques ou suggestifs des oeuvres écrites ou traduites en français par les écrivains et intellectuels algériens

autres variables sont souvent oubliées : les revenus perdus pendant les nombreuses années durant lesquelles les clients sont allés se procurer un meilleur service ailleurs et les revenus des clients potentiels qui sont également perdus á cause des commentaires négatives véhiculés par le bouche-à-oreille. Enfin, il y a des couts moins facilement quantifiables, tels que le manque á gagner lorsque les postes ne sont pas pourvus ou la perte des connaissances et de l´expérience que possèdent les employés

discours scientifiques – illustreront une tentative de typologie des stéréotypes de sexe fondée sur les catégories suivantes. Les discours stéréotypés sur la différence sexuelle. Ce sont des discours qui catégorisent les hommes et les femmes, des commentaires qui prennent la forme de généralisations comme dans les exemples attestés suivants : "c'est plutôt un bouquin pour des hommes" ou bien "on ne laisse pas une femme toute seule" ou encore "ça doit être un truc de mecs ça". Ces discours stéréotypés

Génie du christianisme (1802). Pour les libéraux ou les progressistes, en revanche, le fondement de toute doctrine politique est la liberté qui s’incarne avant tout dans l’individu : « Par liberté j’entends le triomphe de l’individualisme », écrit Benjamin Constant (1829). La liberté et l’égalité doivent être intégrées dans « l’âge positif » où, selon le philosophe Auguste Comte dans son Cours de philosophie positive (1853), règnent l’ordre et le progrès. Le peuple devient ainsi l’objet d’une véritable

370 PRÉFACE Mettez de la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

11:28 Français 1re – Livre du professeur contrasté  : les oppositions qui se succèdent sont pour la plupart nettement comiques et l’exagération en est un ressort fréquent. Non content de cette connivence, il interpelle à travers de ses commentaires son lecteur : «Pour parler plus humainement et plus intelligemment...» (l. 8) «Quelque critique murmurera de la comparaison à cause du peu de proportion qu’il y a de la tortue à un homme, mais j’entends parler… » (l. 30-31). « je m’en sers de

grand tirage, fût-elle de propagande. On ne demandait pas à Kaldheï de relater une quelconque réalité (en l’occurrence particulièrement complexe), mais bien d’écrire un récit « de l’ère de la reproductibilité technique » (selon l’expression de Walter Benjamin), de participer à l’élaboration du récit mythique à l’adresse de la grande foule. Ce qu’il fit. Encore fallut-il peaufiner la fable car un rédacteur en chef avait remarqué que le soldat tenant les jambes de son camarade portait une montre à chaque

370 PRÉFACE Mettez de la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

la couleur dans votre gris par Hervé SÉRIEYX © Éditions d’Organisation Qui dira jamais l'indicible ennui distillé par tant de Démosthène de sièges sociaux, d'orateurs ânonnants, cramponnés à leur rétroprojecteur, tentant de compenser, par des commentaires redondants, l'indigence de transparents soporifiques. Nous, les auditeurs, nous la payons cher, cette civilisation de la communication où tout ce qui dirige, pilote, contrôle une organisation se doit dorénavant de parler aux personnes qui la composent

conventicule. Nous ne dirons pas ici le moindre mot de la valeur relative des civilisations que nous comparons. Il est vrai que le destin de l'humanité ne peut qu'épouvanter celui qui en contemple une période. Mais il est bon de garder pour soi ses petits commentaires personnels, comme on le fait à la vue de la mer ou de la haute montagne, à moins qu'on ne se sente la vocation et le don de les exprimer sous forme d'œuvre d'art ou de prophétie. Dans la plupart des autres cas, la prolixité des discours « intuitifs