Walter Scott Bovary

Misérables de Victor Hugo, ainsi que Atala et René de Chateaubriand.II. Les Romansa) Le roman historiqueLe roman historique est apparu au XVIIème siècle mais son âge d’or est le XIXème.On peut dire qu’il rencontre un véritable succès vers 1830 avec Walter Scott qui publie Ivanhoé en 1819, dans ce roman il évoque la société du XIIème siècle. Les auteurs s’inspirent de faits historiques et de personnes réelles auquelles ils mêlent des événements et des personnages fictifs.Le roman doit paraître vraisemblable

Le roman offre donc souvent l’histoire d’un ou plusieurs personnages à qui il arrive des aventures. • Personnages inventés : plusieurs personnages => Emma Bovary, Anna Karénine + nombreuses actions. B - L’évasion. Le roman fait oublier les soucis, le réel pendant le moment de la lecture. Evasion. • On rêve avec le héros. Cf. . Emma Bovary qui lit elle-même beaucoup. • Cf. les robinsonnades du XIXe : les Nouveaux Robinsons suisses et toute la vogue des histoires qui se déroulent sur une île déserte

exploits ou les échecs d'un être de fiction : le héros. 1. Le héros épique : à travers ses exploits et sa réussite, nous admirons les qualités humaines qui le portent à surpasser le mal et la médiocrité. Exemple : tous les héros de Walter Scott, ceux qui font rêver Emma Bovary, mais aussi ceux de Chrétien de Troyes, Harry Potter ou James Bond. 2. L'antihéros : ses faiblesses le rendent plus proche du lecteur et suscitent sa compassion. Il est victime de son inadaptation à un monde hostile qui se révèle

qu’elle retiendra de ses lectures seront déterminant pour la suite de sa vie c’est pourquoi nous nous pencherons sur ce qu’Emma en a retenu. Pour conclure cette partie, nous essayerons de cerner l’avis de l’auteur sur les lectures de Mademoiselle Bovary. Que lit-elle ? Tout d’abord, il faut distinguer deux grands types de lectures chez Emma. Premièrement il y a les lectures romantiques : Paul et virginie (p64), puis une ribambelle de lectures romantiques (p66 ligne 23 à p67 ligne 4) puis

rêverie et modèle son imagination. Par ailleurs, Flaubert exprime son ironie à travers l’engouement pour les livres, ce qui laisse deviner sa propre méfiance envers la littérature romanesque. 1-Le portrait de la lingère Roman d’une éducation, Madame Bovary décrit avec précision les influences subies par Emma dans le cadre quotidien du couvent ; ainsi c’est la fréquentation de la lingère qui donne à Emma le goût des romans. Ce passage s’ouvre sur un petit récit très simple, presque un conte de la vie

Madame Bovary de Gustave Flaubert. Commentaire composé concernant la satire du romantisme faite dans le roman de Flaubert. Extrait Etudié : Rencontre de Léon et D’Emma Bovary dans « leur » appartement. Résumé : Madame Bovary, écrit au XIX siècle est une œuvre qui a causé de nombreuses polémiques au sein de ses contemporains. Madame Bovary, héroïne du roman, s’adonne à la passion amoureuse et tente ainsi de fuir son quotidien prosaïque et l’ennui de son mariage. Nous allons étudier un extrait

de suicides; ce qui montre bien l'effet du romanesque sur les lecteurs. Dans la littérature française, c'est Adolphe de Benjamin Constant qui met en scène un amour qui connait lui aussi une fin tragique. Des écrivains comme les sœurs Brontë ou Walter Scott mettent en scène des personnages hors du commun, comme le tourmenté Heathcliff dans les Hauts de Hurlevent. Le titre du roman (Wuthering Heights) est d'ailleurs évocateur : les deux héros vivent dans la lande déserte et orageuse. Les personnages

général des choses qui nous environnent. On retrouve ici l’une des grandes règles classiques héritées d’Horace, le poète latin : l’œuvre littéraire a pour mission d’instruire autant que de plaire. Stendhal proteste contre les romans historiques de Walter Scott. « Il est plus facile de décrire un serf du Moyen Âge que les mouvements du cœur humain. »  Le personnage, en effet, se sait ou se sent responsable de ses actes. En cas d'échec, il s'en prendra à lui-même ou à la société. Héros, protagoniste

L’INVENTION DES NOMS PROPRES DANS MADAME BOVARY Essai d’onomastique flaubertienne L’examen approfondi du nom des personnages est souvent une aide précieuse pour qui veut comprendre l’élaboration d’une œuvre romanesque. Dans cette optique, une étude de l’onomastique dans le roman de Flaubert Madame Bovary a été publiée autrefois par Jean Pommier, dans un numéro de la revue Mercure de France, le 1er juin 1949. Cette étude, « Noms et prénoms dans Madame Bovary »1, intéressante quoique très incomplète

exploits ou les échecs d'un être de fiction : le héros. Le héros épique : à travers ses exploits et sa réussite, nous admirons les qualités humaines qui le portent à surpasser le mal et la médiocrité. Exemple : tous les héros de Walter Scott, ceux qui font rêver Emma Bovary, mais aussi ceux de Chrétien de Troyes, Harry Potter ou James Bond. L'antihéros : ses faiblesses le rendent plus proche du lecteur et suscitent sa compassion. Il est victime de son inadaptation à un monde hostile qui se révèle