Walter Scott Bovary

pour unique but de raconter encore et toujours des histoires d’amour. En effet, l’amour est une source d’intérêt inépuisable pour le lecteur; celui-ci lit en effet souvent des romans pour se rêver une autre vie (comme le faisait Emma dans Madame Bovary). Nous aspirons tous à aimer et à être aimer et un roman narrant une merveilleuse histoire d’amour fera palpiter n’importe quel lecteur. Pensons à Belle du Seigneur où Albert Cohen y décrit avec justesse les frénésies, l’exaltation et la transe que

«MADAME BOVARY» - «LA INFLUENCE IDÉOLOGIQUE PAULA PRÉNERON VINCHE Universidad de Alicante REGENTA»: Il y a quelques années, un critique français, Claude Burgelin (1974: 7), déclarait surprenant que le pouvoir idéologique de Madame Bovary et ses conséquences sur la société —ainsi le rôle qu'il a pu jouer sur la condition féminine— ait été si peu étudié. Cependant nous pouvons affirmer qu'en 1884 déjà, en Espagne, un grand écrivain avait constaté et dénoncé l'influence idéologique de la littérature

exploits ou les échecs d'un être de fiction : le héros. 1. Le héros épique : à travers ses exploits et sa réussite, nous admirons les qualités humaines qui le portent à surpasser le mal et la médiocrité. Exemple : tous les héros de Walter Scott, ceux qui font rêver Emma Bovary, mais aussi ceux de Chrétien de Troyes, Harry Potter ou James Bond. 2. L'antihéros : ses faiblesses le rendent plus proche du lecteur et suscitent sa compassion. Il est victime de son inadaptation à un monde hostile qui se révèle

Musset, Lorenzaccio (1834) ou Confessions  d’un  enfant  du  siècle (1836) Gautier, Mademoiselle de Maupin (1835) (préface) Nerval, Sylvie (1853) ou Aurélia ou le rêve et la vie (1855) *Baudelaire, Les Fleurs du mal (1857/1861) *Flaubert, Madame Bovary (1857) ou L’Éducation  sentimentale (1869) Verlaine, Fêtes galantes (1869) ou Romances sans paroles (1874) *Zola, L’Assommoir  (1877) et La Curée (1871) ; ou Nana (1880) et Germinal (1885) Barbey  d’Aurevilly,  Les Diaboliques (1874) Maupassant

pharmacien Homais ? Entre le moment où Flaubert prépare le plan de son roman en 1849 et la publication de Madame Bovary en 1857, le personnage du pharmacien, Homais, a pris beaucoup d’ampleur. Quel rôle joue‐t‐il dans le roman ? Autres formulations de la question : (il s’agit de sujets donnés à l’occasion de la lecture d’autres œuvres, mais dont j’ai conservé la syntaxe : Madame Bovary n’a encore donné lieu à aucun sujet dans le cadre de notre matière)  Quelles relations entretiennent Homais et le

Noir (1830), La Chartreuse de Parme (1839) - Balzac : La Peau de Chagrin (1831), Eugénie Grandet (1833) Le Père Goriot (1835) , Les Illusions perdues (1843), Les Chouans (1829)…. (voir la Comédie Humaine) - Flaubert : Madame Bovary (1856), L’Education sentimentale (1869) Salammbô - Victor Hugo :Les Misérables (1862) Quatre-vingt-treize (1873) Notre-Dame de Paris (1831) L’Homme

origine. Le lecteur de l’époque s’identifie à elle car le est un véritable modèle. C’est ce principe d’identification à des héros parfaits vivant des aventures extraordinaires qui explique d’ailleurs le caractère d’Emma Bovary, dans le roman de Flaubert : Emma lit des romans de Walter Scott et s’identifie à travers eux à des héros qui la font rêver, par leur caractère ou les aventures qu’ils vivent. Le cas d’Emma montre donc que, dans une certaine mesure, c’est l’identification au personnage qui fait apprécier

importance (BALZAC, ZOLA, MAUPASSANT, …) Il y a une expansion du domaine colonial, ce qui provoque un certain exotisme dans la littérature. Le romantisme (± 1800- ± 1850). - Le mouvement débute en Allemagne (GOETHE) et en Grande-Bretagne (Walter SCOTT) vers 1750. Il mettra un demi-siècle à gagner la France. - La sensibilité et l’individualisme règnent: on parle beaucoup du moi qui souffre (le « mal du siècle », le « Spleen », la « Weltschmerz » = mélancolie sans objet précis). - La forme devient

le roman fabuleux est une aventures permettant au le lecteur de s’évader vers un autre monde, de se détendre mais aussi de rêver. Le lecteur peut ainsi fuir et rêver avec le héros comme le symbolise le roman de Gustave Flaubert intitulée Madame de Bovary qui rêve d'une vie mondaine comme les princesses des romans à l'eau de rose dans lesquels elle se réfugie pour rompre l'ennui, ennui dans laquelle se retrouve le lecteur intéressé par l’histoire de cette femme qui voyage grâce à la lecture. La recherche

2.3.1.3. L’échec comme le principal instrument d’une « éducation sentimentale » L’Education Sentimentale est, tout comme, Madame Bovary, un roman de l’échec, les deux protagonistes ayant un destin tragique. Mais il y a une différence : tandis qu’Emma a préféré la mort que la vie monotone dans une société médiocre, une société où elle ne trouvais pas son lieu, Frédéric va vivre avec toutes ses désillusions et ses souvenirs, à coté de son meilleur ami, Deslauriers. Il y a encore une similarité entre