Warner Management

Étude de cas : « Warner Theatres » ESLSCA SOMMAIRE I. Procédez à une rapide analyse financière de la filiale salles de cinéma de Warner, en vous limitant à l’étude des grandes tendances............................................................................... 3 II. Pensez-vous que la valeur des capitaux propres de la filiale salles de cinéma de Warner soit supérieure, inférieure ou égale à 526,8 M€ ? Pourquoi ?....................................... 4 III. Que pensez-vous du traitement

2007 by Warner Books All rights reserved. Except as permitted under the U.S. Copyright Act of 1976, no part of this publication may be reproduced, distributed, or transmitted in any form or by any means, or stored in a database or retrieval system, without the prior written permission of the publisher. Warner Business Books Hachette Book Group USA 237 Park Avenue New York, NY 10169 Visit our Web site at www.HachetteBookGroupUSA.com. Warner Business Books is an imprint of Warner Books Warner Business

uneconomic: nearly 50 per cent of the retail price of a CD was taken up by the costs of manufacture and distribution. The internet as we know it today was switched on in January 1983, and at that point a light ought to have gone on in the heads of senior management of recording companies. For the net was effectively a vast machine for shipping bits from one place to another - efficiently, quickly and at virtually zero cost. As far as the record industry was concerned, it was a technology made in heaven; it

représente un exemple significatif de son vision global et sa stratégie. Il faut compter aussi qu’il a transformé totalement la démodée Compagnie Générale des Eaux, à l’une qui rivalise avec les entreprises de communication bien établies comme AOL Time Warner et Disney. D’une manière d’un autre, en convaincant ses actionnaires français et le gouvernement, il a fait l’impossible. Du fait, le gouvernement proclamait son bonheur que Messier plantait «le drapeau français aux Etats-Unis ». On devrait

d'œuvres audiovisuelles d'origine européenne sur les télévisions françaises)[2]. La plupart des grands groupes opérant dans les industries culturelles sont également leaders dans le secteur des médias écrits, audiovisuels et d'Internet : AOL Time Warner, Lagardère, Bertelsmann, Sony, etc. Ces conglomérats financiers que l'on peut qualifier de « médiatico-culturels », ayant grandi par croissance externe ou fusion, sont présents sur les principaux marchés des produits culturels éditoriaux (livres,

être dans la même maison ou dans une autre ville. L’achat interactif, à partir d’un catalogue, les clients peuvent commander plusieurs centaines d’articles instantanément. Par exemple, Chrysler qui présente ses différents modèles de véhicules ; la Warner Brothers Stores qui propose une grande variété d’articles, des jouets, vêtements, … En conclusion, la technologie numérique qui a pour origine l’ordinateur, les débuts de celle-ci ont de nombreuses conséquences sur la manière dont on fait de la

l'image. 1925 : la technique était au point mais les industriels ont tardé à se lancer de peur des conséquences économiques. C'est la même chose pour le numérique en 2011. Premier film parlant au cinéma: Le chanteur de jazz (Alan Crosland, 1929, Warner Bros). Réalisé en 1927. Film réalisé avec le Vitaphone, un procédé d'enregistrement du son sur disque de cire qui est ensuite synchronisé avec le projecteur (permet d'enregistrer du son sur 10 minutes). 1929 : Année officielle de l'avènement du

l’exposition, les studios Warner Bros., Disney, Twentieth Century Fox, Sony, Paramount. Et bien sûr, Tim Burton et son équipe, Derek Frey et Holly Kempf entre autres, sans qui cette exposition n’existerait pas. Bienvenue dans la Galaxie Burton ! Serge Toubiana Directeur général de La Cinémathèque française TIM BURTON, L’EXPOSITION 7 mars – 5 août 2012 à La Cinémathèque française Une exposition conçue par The Museum of Modern Art, New York Réalisée grâce au mécénat de Warner Bros. et du Groupe

hollywood a pris son essor. Les huit plus grands (les majors) ont pris le contrôle de toute la chaîne cinématographique de la production à la distribution et ceci au niveau mondial. Elle sont aujourd’hui 6 : Fox, Disney, Parmount, Sony, Universal et Warner Bros. Un deuxième décrochage entre le cinéma américain et les autres cinémas se produit en 1929 avec l’arrivée du parlant. Le coût des films quadruple et les structures françaises n’ont pas les moyens nécessaires pour suivre l’évolution technologique

tard Screen Gems. Harman, Ising, Maxwell et Freleng décidérent de suivre leur propre voie et formérent Arabian Nights Cartoon Studio puis Harman-Ising Studio. Ils vendirent un personnage ressemblant à Oswald nommé Bosko à Leon Schlesinger et à la Warner Bros.. Puis ils commencèrent à travailler sur les premiers épisodes de la série Looney Tunes. La petite histoire voudrait que Walt dessina dans le train le ramenant de New York à Los Angeles, un personnage reprenant le graphisme d'Oswald, mais