Waterman

Bureaucratie Sloan (30) Divisions autonomes 1940 1960 Deming (50) Qualité, Plan – Do – Check - Act Drucker (54) Décentralisation, DPO, innovation Shingo, Ohno (~60) Flexibilité, flux tendu, toyotisme Gélinier (65, 68) Innovation, DPPO 1980 Peters, Waterman (83) Modèle de l’excellence (7 clés, 8 attributs) Archier, Sérieyx (84) Modèle du futur (6 points) Facteur humain Relations humaines  Mary P. Follet (30) Participation aux objectifs, compétences Mayo (33) Humain, relations dans l’industrie Maslow

utiliser de manière plus optimale ses compétences. Pour en conclure, à travers les processus et les procédures de management des ressources, le cas IBM indique bien le renouveau des principes de l’excellence édictés dans les années 80 par Peters et Waterman. Les huits leviers de l’excellence semblent inspirer positivement la gouvernance et le management de l’entreprise : * Privilégier l’action ; * Rester à l’écoute du client ; * Favoriser l’autonomie, l’innovation et l’esprit d’entreprise ;

résultats obtenus à partir des politiques mises en œuvre, à apprécier la cohérence et le maintien des politiques à long terme, à confronter les évaluations quantitatives et leurs probabilités respectives. Ainsi comme l’avait remarqué T.J. Peters et R.H. Waterman dans leur livre “Passion de l’excellence” qu’aux fervents de la planification un formalisme bureaucratique excessif est nuisible… et peut conduire à là sclérose, même dans le cadre d’une mission d’audit stratégique. I. Quel rôle de l’Etat dans le

résultats obtenus à partir des politiques mises en oeuvre, à apprécier la cohérence et le maintien des politiques à long terme, à confronter les évaluations quantitatives et leurs probabilités respectives. Ainsi comme l’avait remarqué T.J. Peters et R.H. Waterman dans leur livre “Passion de l’excellence” qu’aux fervents de la planification un formalisme bureaucratique excessif est nuisible… et peut conduire à là sclérose, même dans le cadre d’une mission d’audit stratégique. I. Quel rôle de l’Etat dans le

partage le marché du surfwear en France, et dans une moindre mesure à l’international. Son logo, le fourflower, est synonyme d’un lifestyle décontracté, au plus prêt de la nature et des sports de glisse. Son ambassadeur, Laird Hamilton, représente le waterman par excellence, qui ne vit que pour un sport dont il repousse sans cesse les limites. La vague qu’il surfa sous l’œil des caméras en août 2000 à Teahupoo Polynésie Française- est ainsi considérée comme le plus gros tube jamais ridé de tous les temps

Sloan (30) Divisions autonomes Deming (50) Qualité, Plan – Do – Check - Act Drucker (54) Décentralisation, DPO, innovation Shingo, Ohno (~60) Flexibilité, flux tendu, toyotisme Gélinier (65, 68) Innovation, DPPO Peters, Waterman (83) Modèle de l’excellence (7 clés, 8 attributs) Archier, Sérieyx (84) Modèle du futur (6 points)  Mary P. Follet (30) Participation aux objectifs, compétences Mayo (33) Humain, relations dans l’industrie Maslow (43) Pyr. besoins

au service Les dimensions de la qualité d‘un service sont:       Philippe Fattal USJ/ Institut de gestion des entreprises La période contemporaine 66  Quelques maîtres mots de la période contemporaine: Tom Peters et Robert Waterman, consultants de chez McKinsey ont identifié les 7 S (strategy, system , structure, style, skill, staff, shared-value).  Tom Peters a plus tard développé la théorie du «chaos management ».  Philippe Fattal USJ/ Institut de gestion des entreprises

systématique) ; Ce point de vue se retrouve dans les travaux de sociologues américains (CYERT, MARCH, OLSEN, SIMON) ou français (CROZIER). Il inspire également l’ouvrage de PETERS et WATERMAN : Le Prix de l’excellence. En dépit des apparences, ces deux courants de pensée ne sont pas antinomiques. D’ailleurs, les firmes que PETERS et WATERMAN considèrent comme des champions de l’approche incrémentale (Procter & Gamble, 3M, General Electric, Texas intruments…) sont également des groupes qui ont plusieurs dizaines

L’APPROCHE SOCIO-CULTURELLE Section I- L’école décisionnelle (H. Simon) Section II- La théorie comportementale de la firme (Cyert et March) Section III- La théorie du pouvoir (M. Crozier) Section IV- L’approche par la culture (W. Ouchi, T. Peters et R. Waterman, D. Bollinger et G. Hofstede …) CHAPITRE V : ORDRE, DESORDRE ET COMPLEXITE DES ORGANISATIONS Section I- Les approches contractualistes : Théorie D’agence et Théorie des coûts de transactions. Section II- La théorie du chaos appliquée aux organisations

s’intensifient dans les années quatre vingt avec la publication de divers ouvrages mettant en évidence les facteurs de dérive du contrôle de gestion ou encore son manque de performance au sein des entreprises : « Le Prix de l’excellence de Peters et Waterman , 1992 » (les huit leviers de la performance) est l’un des ouvrages de l’époque qui a implicitement nui au contrôle de gestion. Suite à cela apparaissent ou se renforcent dans les années quatre vingt dix et deux mille divers outils et techniques: