Watteau Fete Dans Un Parc

romantique. L’impératrice Joséphine, assise sur un rocher du parc de son château de Malmaison, semble en pleine rêverie. Son bras gauche soutient délicatement sa tête, dans une attitude pensive, son bras droit passe devant son buste et engage une torsion du corps vers la droite. La blancheur de la robe et le rouge profond du châle contrastent avec les tons vert sombre du paysage. Filtrant à travers les frondaisons des arbres du parc, la lumière du soir éclaire la carnation délicate et fait scintiller

extérieurs ». 63 * FRANCOIS MANSART (1598-1666) - CHATEAU MAISON-LAFITTE (1642-1650) : C’est l’une des premières œuvres classiques. Mansart adopte un type de château ouvert sans cour intérieure, articulé en diverses ailes qui s’ouvrent soit sur le parc, soit sur la cour d’entrée. Ce plan en U, qui réunit le corps central et deux ailes raccourcies de même hauteur. On retrouve les apports de la Renaissance française : pilastres engagés, toitures autonomes «à la Mansart» à forte pente (qui sont une

différentes pour inspirer un artiste de ce temps là. ANTOINE WATTEAU (1684-1721) C’est l’artiste qui va inaugurer cet art, les rocailles. Son héritage est l’art baroque donc c’est pour lui facile de créer autre chose. Une de ses œuvres notamment connue est « L’ILE DE CYTHERE » c’est le tableau qu’il offrira à l’Académie. Elle représente une histoire de Vénus. Il invente un genre pour ce peintre il appartiendra à la fête galante : c’est un parc, jardin, paysage dans lequel vont évoluer des personnes

de mes jours ; mon existence m'échappait ; je me mourais de sentir, de jouir ; je tombais dans l'anéantissement.» Nicolas Lancret : La Camargo dansant (vers 1730) La grâce libre et la fantaisie capricieuse des décors champêtres de Lancret et de Watteau étaient très goûtées au milieu du XVIIIe siècle. Après 1750, ce furent les rocs tourmentés, les tempêtes, les vagues en furie de Claude Joseph Vernet qui eurent la faveur. (Wallace Collection, Londres). Gagnés par ces influences, les propriétaires

dévelopé la critique d'art au XVIII siecle, en particulier sous la plume de Diderot. Lacademeie continut dexecé son jou sur l'art, mais l peinture d'histoire va etre délessai par les artistique au profit d'un nouveau type de peinture, les scène de genre ( fete galente, pastorale scène de comédie) des genre mineur vont triomphé sur cette peinture d'histoire. Levoyage d'Italie est deja un element de formationdes artiste au XVII, mais au XVIII a partir des année 1750, il devien il etape obligatoire dans la

deux pattes. Page 73 - « gaudriole » : ici, relations sexuelles amusantes. Page 74 - « partouzards » : amateurs de « partouses », activité sexuelle collective dont le voyeurisme accepté est l'élément essentiel. - « Watteau [...] Cythères » : le peintre français Watteau a peint ‘’L'embarquement pour Cythère’’, l'île des amours. Page 75 - « la matérielle » : ce qui assure la vie quotidienne (l'argent). - « vie picoreuse » : faite de petits profits et de petites dépenses prudentes, à la

de mes jours ; mon existence m'échappait ; je me mourais de sentir, de jouir ; je tombais dans l'anéantissement.» Nicolas Lancret : La Camargo dansant (vers 1730) La grâce libre et la fantaisie capricieuse des décors champêtres de Lancret et de Watteau étaient très goûtées au milieu du XVIIIe siècle. Après 1750, ce furent les rocs tourmentés, les tempêtes, les vagues en furie de Claude Joseph Vernet qui eurent la faveur. (Wallace Collection, Londres). Gagnés par ces influences, les propriétaires

mes jours ; mon existence m'échappait ; je me mourais de sentir, de jouir ; je tombais dans l'anéantissement.» Nicolas Lancret : La Camargo dansant (vers 1730) La grâce libre et la fantaisie capricieuse des décors champêtres de Lancret et de Watteau étaient très goûtées au milieu du xviiie siècle. Après 1750, ce furent les rocs tourmentés, les tempêtes, les vagues en furie de Claude Joseph Vernet qui eurent la faveur. (Wallace Collection, Londres). Gagnés par ces influences, les propriétaires

princesse et ses gentilshommes ne résistent pas davantage aux charmes de ses dames d'honneur. Sans se l'avouer, chacun, au fond de son cœur, a déjà rompu ses vœux. Retenus par le respect humain, ils s'espionnent mutuellement. Dans un coin retiré du parc, chacun d'eux exhale son amour en déclamant les chants poétiques qu'il lui inspire. Longueville sera surpris par Du Maine à l'instant même où il proclame sa passion : le roi, caché non loin de là, survient à son tour pour reprocher à Longueville d'en

déguisements et les stratagèmes qui marquent la pièce était déjà présente dans les tableaux de Watteau et de Fragonard, deux peintres contemporains de Marivaux. On retrouve en effet chez eux les couleurs de la fête, la sensualité, le goût du masque, le goût du théâtre (voir le tableau de Watteau : ‘’L'amour au théâtre italien’’) et la célébration de I'amour (voir le tableau de Watteau ‘’L'embarquement pour Cythère’’). Watteau créa le genre pictural des «fêtes galantes», variation sur les thèmes entrelacés du