Werrason

Il semblerait que le roi de la fôret Werrason, serait à la recherche d’un autre co-producteur pour la poursuite de l’album Techno Malewa volume 2, son actuel Partenaire Diego Music ayant du mal à suivre le rythme financièrement.Voulant recréer la même collaboration que celle du premier volume. A savoir Le deal consista, Werrason s’était occupé de tous les frais d’enregistrement et des répétitions à Kinshasa tandis que le producteur Diego Music avait pris en charge ceux de France, notamment au studio

d’illustrer toute cette partie qui suivra, avec des propos extraits de la musique de l’artiste congolais Werrason, y compris cette petite caricature16 que nous jugeons de nature didactique. Dans une certaine mesure, nous allons passer de « Malewa-restaurant », au « Malewa-musique », ce qui nous permettra, comme signalé ci-haut, d’exploiter des fragments de la musique de l’artiste congolais Werrason, même s’il n’est pas exclu que nous y revenions d’un moment à l’autre, selon que la nécessité se présentera

folkloriques. Autodidacte, il poursuit sa formation en écoutant du jazz, notamment George Benson, mais aussi du classique ou des musiques latines. En 1997, il entre dans le groupe de ndombolo mythique au Congo, Maison mère, qui accompagne le chanteur Werrason. L’un des piliers du groupe, en tant que musicien, mais aussi arrangeur et compositeur sur de nombreux albums, il y acquiert son surnom, Flamme, du nom du capitaine Flamme, ce héros du dessin animé des années 80. Il y restera dix ans, participant