Westphalie

LES TRAITES DE WESTPHALIE 1648 INTRODUCTION Lucien Bély, à l’occasion d’un colloque célébrant le cent-cinquantième anniversaire de la signature des traités de Westphalie, écrit dans L’Europe des traités de Westphalie que ces derniers fixent les relations internationales pour plusieurs siècles et sont même d’une certaine manière « l’acte de naissance de l’Europe moderne ». Ces traités sont signés le 24 octobre 1648 à Münster et Osnabrück, deux villes situées en Westphalie. Ils mettent fin

La paix de Westphalie « Que la paix soit chrétienne, universelle, perpétuelle, et qu’elle soit une amitié vraie et sincère »entre les parties. C’est là le résultat des efforts pour trouver un accord durant la guerre de TRENTE ANS, les traités de Westphalie mêlèrent le traditionnel au nouveau. C’est le 24 octobre 1648 à Münster et Osnabrück en Westphalie que la paix fut signée. Les diplomates de presque toute l’Europe assistent cérémonieusement à la signature des traités qui mettent fin à l’un

de plus beau de la Westphalie et le château de Thonder-ten-tronckh où il a vécu. C’est pourquoi il affirme : « Et quoiqu’en dit maître Pangloss, je me suis souvent aperçu que tout allait mal en Westphalie. » (ligne 1283-1286) La virgule (après Pangloss) sépare la phrase en deux. Ce qui se trouve à gauche nous montre que Candide n’a plus rien à faire des arguments que Pangloss pourrait lui dire par la suite. Il sait maintenant qu’il existe un meilleur endroit que la Westphalie. Ce qui est à droite

Décrivé le baron Thunder-ten-tronkch : Le baron de Thunder-ten-tronkch est enfaite un baron de pacotille, c'est un baron certes mais il est faible tout comme ca richesse. Voltaire cite: "Monsieur le baron était un de plus puissants seigneurs de Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d'une tapisserie." Ces deux phrases sont une démonstration pure de l'ironie Voltairienne, il fait passé des éléments banals pour de choses extraordinaire c'est alors

ils sont reduits a une seul qualité : candide : innocence cunegonde : sensualité … – le heros eponyme est jeune « jeune garcon » II- Cepandant , des indices empechent d'adherer au conte merveilleux. – ancrage spatial realiste « westphalie » – intrusions de l'auteur « je crois » qui installe le doute sur la veracite des evenements racontés – onamastique burlesque : – le nom du baron : Thunder-ten-tronck est imprononcable , sous l'angle de la

"incipit" = début de l'action. Cela sert à présenter les personnages, un contexte, les actions... Tout est idyllique, les choses ne vont pas. Problématique: Le paradis présenté est il vraiment idyllique? I- L'incipit 1) Le temps et le lieu : La Westphalie est un comté en Allemagne le lieu précis. Utilisation de l'imparfait et du passé simple = nous sommes dans un récit. 2) Les personnages: présentation de Candide, Pangloss (autorité intellectuelle) lui enseigne l'éducation. Le Baron et la Baronne

Pangloss et enfin la conception du bonheur de Voltaire. La formule par laquelle débute le conte « Il y avait … » permet d’attendre une fin classique comme « Ils vécurent heureux … » mais ici ce n’est pas le cas il y a une régression spatial, la Westphalie est remplacée par la Turquie, le château laisse place à une métairie et un derviche remplace Pangloss. Candide se rend compte que le monde est beaucoup plus vaste que le château de Thunder-ten-tronk où il y avait passé sa vie. L’Orient fait référence

y avait en Westphalie » du chapitre 1 nous laissait imaginer une fin heureuse alors que Voltaire clôture cette œuvre par une parodie de la situation finale du conte. Voltaire décrit en une phrase ce que sont devenus les personnages : lignes 129 à 132, on remarque alors la différence avec la fin habituelle des contes traditionnels où les personnages vivent heureux. De plus, le cadre spatial a changé entre le premier et le dernier chapitre : nous somme passés d'un château en Westphalie à un jardin

des enfants qui jouent y avec.L’Eldorado un endroit sans prison où le roi est au service du peuple et de la science. Pourtant, Candide qui avoue -lui-même -que le château de La Westphalie ne présente rien en le comparant à ce pays utopique , n’a pas pu se trouver dans un tel ieu: « Ceci est bien diférent de la Westphalie et du château de monsieur le baron : si notre ami Panglos avait vu Eldorado, il n’aurait plus dit que le château de Thunder-ten-tronckh était ce qu’il avait de mieux sur la tere

ses terres, il veut dire par la qu’il faut travailler son raisonnement et sa pensée. Il donne à l’homme une morale de simplicité et de modestie. III) Clôture du récit a) Un début « Il y avait en Westphalie » → une fin pas attendu « happy end » Horizon trompé (régression) : Westphalie → Turquie château de TTT → petite métairie beauté de C → laideur de C b) des personnages recyclés : Candide devient sage Cunégonde laide Martin