Wilhelm Grimm

avant tout une morale, leur visée est donc didactique. Ainsi, les fables répondent parfaitement à cette théorie. Ensuite, les contes pour enfants sont didactiques, notamment avec les morales qu’ils énoncent. Dans Le Petit Chaperon rouge, les frères Grimm conseillent aux enfants de ne pas s’adresser aux inconnus et une pléthore de contes, tels la Belle aux bois dormants ou la Belle et la Bête, expliquent que l’amour est le plus important. Les contes sont en général assez courts et plaisants. Et le

revues ou des catalogues illustrés. Création d’un livret de contes relié, regroupant les productions personnelles des stagiaires. Liste des contes à raconter : Les 6 cygnes ( Frères Grimm) L’Ogre devenu végétarien (conte russe) Le petit Chaperon rouge (Charles Perrault) Les lutins (Frères GRIMM) Dame Holle (Grimm) Frau Berchta (légende d’Alsace) La légende du bretzel Le Pot qui tiptopait (ronde trad. Populaire) Roule-Galette : (conte populaire français) Papa devient chèvre (adaptation de CF) L’oiseau

(1772-1801) est particulièrement rep´resentative de cette volonté de synthèse. 2) Le second romantisme s´épanouit dans divers centres culturels : Heidelberg, Berlin, Dresde. Ses représentants sont Arnim, Werner, Kleist, Eichendorff, les frères Grimm, Brentano. Alors le premier romantisme croyait au progrès, était en quête des pouvoirs perdus par l´homme, le second nie le progrès, refuse la raison, pour faire l´apologie de l´intuition et en particulier des intuitions collectives (contes), qui vont

film. J'ai bien aimé « la compagnie des loups » qui date de 1984. Je constate que le réalisateur (Neil Jordan) a une très bonne imagination car il a mélangé de différents contes tels que : Le Petit Chaperon rouge de Charles Perrault, des frères Grimm principalement, ainsi que Barbe bleue, ou encore La Belle et la Bête, Le Chat botté, etc. dans le but de dominer l’érotisme et la féminité, et la femme en général, qui n’est plus offensée mais supérieure. Par exemple, pour l’histoire de la Belle et

revalorise alors l’âme du peuple et ses traditions populaires. Les frères Grimm sont fondateurs dans ce type de mouvement. Ils étaient linguistes et ils publient leurs « Contes enfantins et domestiques » non pas en songeant à divertir mais en pensant à faire œuvre scientifique. Ils voulaient mettre les traditions populaires allemandes connues par écrit. D’autres recueils apparaitront ensuite en Italie et en Russie par exemple. Avant Grimm, les contes populaires étaient très peu notés. Les Contes de La Fontaine

comment, bien plus tard, les observations scientifiques entraîneront sa réhabilitation en particulier dans le monde littéraire. A. Le loup dans l’Histoire : un personnage à éviter ! Si dans les contes traditionnels de Perrault ou des frères Grimm par exemple, le loup occupe toujours le rôle du personnage méchant, cruel et solitaire, ce n'est pas sans raison. A toutes les époques ou presque, le loup a été considéré comme un animal nuisible et malfaisant mais c’est néanmoins au Moyen Age qu’on

renforce le coté humoristique, a chaque pays un quiproquo et donc un problème . Les personnages du conte sont plus ou moins réalistes, l'auteur peut donc en faire des personnages comique ou pathétique comme dans Ensel et Gretel des conte des frères Grimm où deux frère et soeur sont perdus volontairement dans la forêt par leurs parents . Une moral est ennuyeuse, un conte l'explique de manière distrayante . Le conte est une oeuvre qui est interressant pour tout ages, Voltaire, Perrault,la Fontaine

souvent le déclic de volonté d’indépendance et de désir de nouveau départ. Ainsi dans Cendrillon, œuvre populaire dont il existe une multitude de versions de par le monde mais très connu à travers la version de Charles Perrault et celle des Frères Grimm, ce critère entre en jeu. Une fragile jeune fille est la domestique et le souffre-douleur de sa belle-mère et ses demi-sœurs. Une fée marraine apparaît et la transforme en une jolie princesse ; elle peut ainsi aller au bal du prince et aussitôt l’un

compte que les hommes étaient souvent représentés comme des personnes méchantes, sans coeur ou encore comme des personnes niaises ou très stéréotypées. Nous pouvons aussi étudier les contes d'autres auteurs de différentes époques comme les frères Grimm du XVIIIème siècles.

s'adresse? Jusqu'où peut aller la provocation? La jeunesse peut-elle tout supporter? Joël Pommerat et Olivier Py ont tous les deux repris des contes des frères Grimm (siècle précédent) pour les adapter à la scène car ce sont des mythes qui offrent le « moyen de parler aux enfants de ce dont on ne leur parle pas ». Les contes de Grimm sont emprunts de merveilleux mais sur un fond de gravité, exactement comme les représentations des deux contemporains. « Ce sont des récits purs presque sans style