Willy Brandt

la frontière. Plus de cinq cent personnes furent tuées en essayant de le franchir. Une ouverture au compte-goutte depuis 1971 [modifier] L'ouverture du mur de Berlin en novembre 1989 Au début des années 1970, pendant le gouvernement de Willy Brandt en Allemagne de l'Ouest, des accords ont été conclus entre les deux Allemagnes pour ouvrir très partiellement le mur. A très faible dose, et seulement après avoir acquis un visa, les Allemands de l'Ouest pouvaient se rendre pour quelques jours

3:La situation particulière de Berlin Ouest est que dans le territoire de l'URSS: le RDA, il y a un petit bout qui appartient à la RFA . Document 2 1:Le texte a. est un discours du maire de Berlin-Ouest Willy Brandt, il a été fait le 13 août 1961. Le texte b. est une lettre venant de Washington Post datant du 16 août 1961, c'est surement une réponse au discours du maire de Berlin qui fait allusion aux mesures prises par le régime de Ulbricht (chef du parti

divise par un rideau de fer -Berlin divisé, par un mur dès les années 1960, en 2 aussi -Présence d’aéroport dans tous les secteurs. -Couloirs Aériens dirige de l’Allemagne Ouest vers Berlin Ouest TEXTE 8 page 108 : -Allocution Radiotélévisée de Willy Brandt, le 3 septembre 1971, parlant sur la possibilité de la pacification de Berlin dans les années 70, ce qui permet au berlinois de l’est de circuler librement dans Berlin Ouest. LE BLOCUS DE BERLIN : -Risque sur le transport entre les secteurs

un avion pour les mener au Caire contre une entrevue du maire du village olympique avec les otages. Il pense que les terroristes ne sont que quatre. Pendant ce temps, les jeux continuaient leur cours normalement, malgré le malaise du chancelier Willy Brandt. Assaut final La police veut récupérer les otages et appréhender les terroristes lorsqu’ils embarqueront dans l’avion. Une équipe de policiers est embusqué dans l’avion et cinq tireurs d’élite (qui sont en réalité des chasseurs amateurs) sont

| | | |Pourquoi la construction du mur était-elle | |Discours de Willy Brandt |inévitable selon le « Washington Post » | |Maire de Berlin-ouest le 13 aout 1961 |

abandonnés par le camp occidental. Ce sentiment se corrige avec la visite de Kennedy a Berlin Ouest en 1963 lorsqu’il dis ‘Ich bin ein Berliner’ (je suis un Berlinois). L’Ostpolitik (politique de rapprochement entre les 2 Allemagnes lancée par Willy Brandt) et la Détente (volonté de dialogue entre EU et URSS afin de limiter les risques de conflits nucléaire) permettent quelques passages entre les 2 mondes. Les 4 puissances occupant Berlin réaffirment en 1971 le statut de la ville, en essayant d’ameliorer

|- déstalinisation ≠ libéralisation |- rupture sino-soviétique | | | |leur domination |- ostpolitik (Willy Brandt) |- révoltes dans le bloc soviet : Varsovie (1956) & Budapest | | | | |- Tiers-Monde (1952) : notion géopolitique :

l’Est, libéral à l’Ouest. Bipolarité : Partage du monde entre deux puissances ( USA et URSS ) Détente : Apaisement des relations Est-Ouest à partir de 1962. Ostpolitik : Politique de réconciliation avec les pays d’Europe de l’Est menée par Willy Brandt, chancelier de la RFA. Course aux armements : Rivalité accentuée entre les Etats pour accroître leurs capacités militaires, notamment nucléaires. Théorie de la dissuasion : Théorie selon laquelle la peur de l’utilisation de l’arme nucléaire

1972 : accords SALT1, limite nbre de missiles intercontinentaux que possèdent URSS & USA - Juillet 73 - aout 75 : conférence à Helsinki (CSCE) sur sécu et coopération en Europe. Accord sur respect droits de l’homme - Ostpolitik du chanceleir all Willy Brandt, rapprochement entre les 2 Allemagnes. Se reconnaissent mutuellement et rentrent à l’ONU

camps. La tension entre Etats-Unis et URSS est à son comble. Le 27 juin 1963, le président américain, John F. Kennedy effectue un déplacement à Berlin-Ouest. Il se rend au Mur de la honte en compagnie du très populaire bourgmestre social-démocrate, Willy Brandt, futur chancelier et prix Nobel de la paix. Il prononce alors un discours dans lequel il déclare en allemand: "Ich bin ein Berliner", "Je suis un Berlinois". Une citation, restée fameuse, qui fait savoir aux Soviétiques et au reste du monde que