Winston Churchill

en Europe le 8 mai 1945 par la capitulation sans condition du IIIe Reich, puis s’acheva en Asie et dans le monde le 2 septembre 1945 par la capitulation sans condition du Japon, dernière nation de l’Axe à connaître la défaite. Winston CHURCHILL pour la Grande-Bretagne et Charles de GAULLE représente la FRANCE libre MOLOTOV Ministre des Affaires Etrangères et Joseph STALINE pour l’Union SOVIETIQUE Franklin Delano Roosevelt, président des

forment la « Grande Alliance » avec la France et le Royaume-Uni, laquelle ne survit pas à la victoire contre l'Allemagne nazie. L'URSS ressort de la guerre victorieuse. Elle occupe l'ensemble des pays de l'Est mais n'entend pas s'y retirer : Winston Churchill dénonce rapidement la prise du pouvoir par l'Armée rouge dans ces pays et évoque l'existence d'un « rideau de fer » coupant l'Europe en deux. Aux Etats-Unis, le président Truman, qui craint que la misère en Europe en 1945 ne la fasse basculer

Pakistan. Tou­ tefois, les négociations échouent. Wavell propose alors à Londres un plan prévoyant la constitution d’un gouvernement intérimaire indien, et ce dans le but de rédiger une Constitution. En juin 1945, le Premier ministre britannique Winston Churchill accepte le plan de Wavell. Les dirigeants du Congrès sont ainsi libérés et invités à discuter à Simla. Cependant, malgré l’accord sur la parité entre hindous et musulmans, la conférence est un échec. Jinnah entend être le seul à nommer les membres

communisme en Europe de l’est occupée par l’armée rouge. En Allemagne, dénazifiée et occupée, les tensions montent entre les 3 occupants occidentaux (Etats-Unis, Royaume-Uni et France) et l’URSS, surtout à Berlin. En 1946 le premier ministre anglais Winston Churchill alerte les américains dans un discours qui restera célèbre pour l’expression qu’il emploie : le rideau de fer. Notions : guerre froide ; monde bipolaire / monde multipolaire ; terrorisme ; nationalités I. 1947 - 1949 : la constitution des

dirigeants seront exécutés par les nazis, appelle à une fédération européenne pour l'après-guerre (voir aussi : Fédéralisme européen). Dans un célèbre discours prononcé en 1946 à l'université de Zurich, l'ancien Premier ministre britannique Winston Churchill déclarait : « Il existe un remède qui, s'il était généralement et spontanément adopté par la grande majorité des peuples dans de nombreux pays pourrait, comme par miracle, rendre l'Europe aussi libre et heureuse que la Suisse de nos jours

appelle à poursuivre le combat depuis l’Angleterre 22 juin 1940 : Pétain signe l’Armistice à sa demande B. Le déroulement de la guerre l La guerre contre l’Angleterre sera dure pour Hitler Gigantesque offensive aérienne à la fin de 1940. Winston Churchill, Premier Ministre, mobilise toutes les énergies et met tout en œuvre pour gagner cette bataille promettant à ces concitoyens « du sang, de la sueur et des larmes ». Hitler, faute de pouvoir prendre le dessus sur l’Angleterre décide de renoncer

consiste en une redistribution sociale au profit des plus démunis (assurances maladies, retraites, allocations…)) - Fin de la Guerre = Poussée de la Gauche (d’où toutes ces réformes) avec pour meilleur exemple la défaite au Royaume-Uni du héros Winston Churchill contre le représentant du Parti Travailliste : Attlee (1er ministre de 1945 à 1951) - Nouvelles idéologies pour la paix et la punition des criminels de guerre B/ Les procès des criminels de guerre - Procès de Nuremberg (de Novembre 1945

première défend l’idée du «leader né» (2). Les chercheurs ont longtemps été convaincus que les leaders étaient des êtres supérieurs dotés de dispositions naturelles pour montrer la voie, et que pour avoir la destinée d’un Alexandre le Grand, d’un Winston Churchill, d’un Charles de Gaulle ou d’un Franklin D. Roosevelt, il fallait posséder dès la naissance un certain nombre d’attributs non modifiables: haute taille, intelligence supérieure, forte personnalité, humour, charisme, vision, courage, etc. C’est

l’Union soviétique ne respecte pas les accords pris à Yalta et à Potsdam. À mesure que les tensions politiques s’attisent, le fossé idéologique entre l'Est et l'Ouest est de plus en plus important. C’est dans ce contexte que, le 5 mars 1946, Winston Churchill prononce son célèbre discours, «Le nerf de la paix» (discours du Rideau de fer)), au Westminster College de Fulton (Missouri). Ce discours marque pour certains le début de la Guerre froide. Il expose la division entre les puissances occidentales

et en une zone spéciale pour Berlin qui sera occupée conjointement par les trois Puissances »2. Berlin est lui aussi divisé en trois secteurs d’occupation. Lors de la conférence de Yalta (4-11 février 1945) sur la côte de Crimée, en Ukraine, Winston Churchill, Franklin Roosevelt et Joseph Staline, reprennent les accords de Londres concernant l’Allemagne avec une possibilité pour la France de participer au « partage », en constituant une zone issue des zones britannique et américaine. L’objectif est